Éloge de l'erreur : apprendre, c'est comprendre pourquoi on se trompe !
Apprenez à échouer ou vous échouerez à apprendre. – Tal Ben Shahar (psychologue) Les erreurs sont un sujet de discussion qui soulèvent les passions. Dans la conception traditionnelle, et bien répandue à l’école, l’erreur est souvent quelque chose de négatif. Elle se pense en termes de manque (ignorance, non acquisition ou non maîtrise, absence de travail ou d’efforts).
Postmodernité
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La postmodernité est un concept philosophique et intellectuel de la fin du XXe siècle qui tente, après l'effondrement des idéologies, de s'inscrire dans le prolongement du structuralisme et du déconstructivisme, tout en critiquant l'héritage du freudisme et du marxisme. Les post-modernes se situent dans la perspective de surmonter le désenchantement du monde, après la désagrégation des repères culturels ou religieux, le relativisme des sciences, la crise de l'idée de progrès, l'humanité confrontée aux faillites écologiques, économiques et sociales, et l'échec patent des utopies révolutionnaires. Caractéristiques de la société postmoderne[modifier | modifier le code]
Les élèves ont-ils besoin d'être notés ?
Imaginez trois images : sur la première, une tortue, sur la deuxième, une tulipe, sur la troisième, un ballon. Quelles sont les deux images qui ont en commun le même son ? Et bien voilà le genre de question qui sera bientôt posée aux 750 000 élèves de cours préparatoire.
Financement participatif : les trois freins à lever pour que le « crowdfunding » décolle
Le « crowdfunding » a acquis une légitimité certaine, en France. La preuve, c'est au ministère de l'Economie et des Finances que se sont tenues, le 30 septembre, les premières assises du financement participatif. Lequel consiste à mettre en relation quasi-directe - via des plates-formes Internet - des porteurs de projets en quête de financement avec des particuliers disposés à effectuer des dons, à prêter de l'argent ou bien à investir des capitaux. Quelques mois auparavant, à l'issue des assises de l'entrepreneuriat, le 29 avril, François Hollande lui-même avait décrit le crowdfunding comme « un mode de financement tout à fait précieux », à l'heure où les banques risquent de se montrer moins prêteuses à l'égard des PME, en raison des nouvelles contraintes règlementaires qui pèsent sur elles. Le président de la République avait alors prié son gouvernement de plancher sur des mesures destinées à favoriser l'essor du financement participatif.
Ce que le numérique change à ma façon d’évaluer les élèves
Professeur d’histoire et géographie, Jean-Pierre Costille raconte, à la première personne, comment les outils numériques modifient sa pratique d’enseignant. Jean-Pierre Costille est professeur d’histoire et géographie au lycée Jules-Haag, à Besançon. Il utilise depuis plusieurs années les outils numériques en classe, comme expliqué dans cet article. Il raconte ici, concrètement, comment ils lui permettent de mesurer régulièrement les progrès ou difficultés de ses élèves.
Le Mythe de l'éternel retour
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mythe de l'éternel retour est l'œuvre majeure de Mircea Eliade. Elle est divisée en quatre chapitres.
L’évaluation : ressources produites par le groupe thématique de l’académie de Versailles - Réforme de la scolarité obligatoire
Diaporama Le diaporama ci-dessous vise à présenter l’évolution de l’évaluation dans le cadre de la réforme. Déjà présent dans la loi d’orientation, le principe de l’évaluation positive est réaffirmé dans le décret du 31.12.2015 relatif à « l’évaluation des acquis scolaires des élèves et au livret scolaire ». Suite à la publication des arrêtés du 31.12.2015, les nouvelles modalités d’attribution du DNB ainsi que le contenu du livret scolaire sont également exposés dans le diaporama. Ce document, qui sert de veille documentaire, est réactualisé au fur et à mesure des publications des textes officiels (mis à jour le 20.01.2018).
Allons nous poursuivre la gouvernance post-moderne ?
Marcel Gauchet écrivait le 13 mars dans Le Monde que « Nicolas Sarkozy est le premier président post-moderne de la Vème République ». Sur la même page, Michel Maffesoli, un des sociologues de la post modernité, faisait le même constat, estimant qu’il était ainsi en adéquation avec les électeurs et laissant entendre que ceux-ci pourraient donc le réélire. Je m’étais moi-même permis d’écrire dans Rue89, en novembre, que la campagne électorale allait en quelque sorte, être celle de la modernité contre la post-modernité.