Taxonomie de Bloom La taxonomie de Bloom est un modèle de la pédagogie proposant une classification des niveaux d'acquisition des compétences[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Elle peut être résumée en six niveaux hiérarchiques[5]. À chaque niveau correspondent des opérations typiques. Depuis sa formulation en 1956, les critiques de la taxonomie de Bloom ont généralement porté, non pas sur l'existence des six catégories, mais sur la réalité d'un lien hiérarchique séquentiel entre elles[7]. Certains considèrent les trois niveaux les plus bas (connaissance, compréhension, application) comme étant hiérarchiquement ordonnés, mais les trois niveaux supérieurs (analyse, évaluation et synthèse) comme égaux. Ainsi, en 2001, une taxonomie révisée de Bloom a été proposée par plusieurs auteurs dont Lorin W. Chaque niveau englobe les précédents.
Entre sens commun et sciences ... - Google Recherche de Livres Les 7 compétences clés du travail de demain Michel Serres nous rappelait récemment que l’évolution des technologies nous force à être intelligents. Les technologies révolutionnent en effet notre environnement de travail et nous poussent à développer de nouvelles compétences. De nombreuses prospectives alimentent le débat et mettent en lumière les compétences qui feront la différence sur le marché du travail de demain. Quelles sont les évolutions dans les compétences distinctives ? Quelles doivent être les priorités en termes de développement des compétences ? Un consensus se dégage autour de 7 compétences Etre compétent dans son travail requiert un savant mix de compétences techniques (les hardskills), comportementales (les softskills), et sectorielles (je maîtrise les enjeux et la culture du secteur d’activité dans lequel j’évolue). 1. Une grande qualité relationnelle : Ecoute, partage, empathie, communication interpersonnelle, être en capacité à se «connecter» aux autres et d’établir des relations riches et sincères. 2. 3. 4.
HALDE dans le domaine de l’emploi, du logement, de l’éducation et de l’accès aux biens et services, sur la base de 20 critères prohibés par la loi : La Lutte contre les discriminations Le Défenseur des droits combat les inégalités fondées à partir des 19 critères prohibés par la loi, comme l’origine ou le handicap, dans le domaine de l’emploi, du logement, de l’éducation et de l’accès aux biens et services. Discrimination sur l’engagement syndical dans une entreprise de fruits et légumes Focus du : 16/11/2012Simone est commerciale en contrat à durée déterminée depuis 2005, dans une entreprise de fruits et légumes. Discrimination sur la couleur de peau dans un centre de formation Focus du : 13/11/2012Nathalie, Florence, Martine et Karine préparent dans un centre de formation des Yvelines un diplôme d’Etat d’auxiliaires de vie sociale. « Les discriminations liées à l'âge augmentent » Visite d’un campement de Roms à Chassieu près de Lyon Actualités Questions / Réponses Saisir S'informer
Identifier ses compétences : quelques repères Identifier ses compétences : quelques repères Posted by: Maxime Pollet Tags: capital ressources, compétences, Reconnaissance Posted date: août 30, 2013 | No comment Si les logiques compétences se développent et s’affirment (bilan de compétences, portefeuille de compétences, validation des acquis de l’expérience, certificat de compétences, gestion prévisionnelle des emploi et des compétences…), la compétence et son identification restent des problèmes épineux. Et avec l’orientation et la formation tout au long de la vie, les changements parfois réguliers d’employeurs, l’injonction de plus en plus forte à gérer sa carrière et ses projets professionnels, il devient de plus en plus difficile de faire l’impasse sur cette question. Mais avant tout, une petite précision sur la définition même de la compétence. L’identification des compétences : trois modes d’entrée L’entrée par les performances L’entrée par les pratiques professionnelles L’entrée par les ressources Animer une formation Share This
Perrenoud Essai Competences mêmes devoirs et les mêmes droits, la question des compétences peut être abordée dans un éclairage doublement optimiste. On dira volontiers : - que chacun a besoin de certaines compétences “ citoyennes ” pour participer à la gestion de cet ensemble harmonieux ; - qu’il a besoin d’autres compétences de base pour mener sa propre vie conformément à ses aspirations et à ses projets. En fonction de cette vision “ angélique ” de la société, on pourrait sans peine proposer des compétences telles que : • Savoir voter et prendre ses responsabilités dans un système politique démocratique et dans la vie associative, syndicale, etc. • Savoir, pour gagner sa vie, s’abriter, fonder une famille, conclure et respecter descontrats (de mariage, de travail, de bail, d’assurances, etc.) dans une société de libreconcurrence. • Savoir placer ou dépenser intelligemment ses ressources sur un marché libre et transparent, en se servant lucidement de l’information sur les produits et les services. système éducatif.
De la capacité à la compétence : un apprentissage par étapes et dans Construire une compétence Une compétence ne s’acquiert pas comme les connaissances, ce n’est pas une augmentation des acquis de même niveau. Il ne suffit pas de s’entraîner à faire un acte pour être compétent à le réaliser quels que soient les situations, le matériel, les protocoles en cours, les lieux, la personne à qui l‘on réalise le soin. Une compétence présente une construction complexe. Elle induit de connaître le sens de l’activité faite, la connaissance des règles de l’art pour la réaliser ainsi que celles des limites éthiques quant aux modalités de réalisation et de sa finalité. Construire une compétence nécessite une progression, c’est un parcours constitué d’étapes : partir d’une situation simple pour aller dans la complexité des connaissances et des savoirs faire et savoirs être, nécessités par une situation, en incluant forcément une attitude réflexive de la part de celui qui réalise l’activité. Les connaissances Ces représentations peuvent aussi ne pas exister.
Collaboration ou apprentissage collaboratif Cet article est incomplet. Il est jugé trop incomplet dans son développement ou dans l'expression des concepts et des idées. Son contenu est donc à considérer avec précaution. Lorsque les chercheurs (ou les enseignants) parlent de collaboration ou d’apprentissage collaboratif, ils mettent en évidence dans les conditions et les processus d’apprentissage, les structures d’interdépendance entre les apprenants. 1 L’interdépendance sociale des apprenants Selon Johnson et Johnson (1989), l’interdépendance représente les liens entre les individus [apprenants] d’un groupe. Enfin, une dernière école (Dillenbourg et al., 1996 ; Rouiller, 1998, cité par Dillenbourg et al., 1996, p.191) distingue ces deux termes par rapport à la structure d’interdépendance des apprenants que l'on va expliciter dans les deux sections suivantes: 1.1 Coopération La coopération correspond à une répartition des tâches entre les apprenants, où chacun peut accomplir de manière autonome et responsable sa part de travail.