Faire bouger les petits, tout un défi ! - Intégration du guide « Gazelle et Potiron » Apprendre à sauter, à glisser, à courir, à passer par-dessus ou en-dessous d’un obstacle : voilà des compétences liées à l’activité physique que doit acquérir un enfant dans ses premières années de vie. Bouger, c’est prouvé, aidera le petit d’aujourd’hui à devenir un grand en forme dans quelques années. C’est, en gros, le principe qui a guidé la coordonnatrice en saines habitudes de vie pour Vie en forme dans Beauharnois-Salabery, Brigitte Asselin, dans l’élaboration d’un grand projet qui dure depuis 2012 et qui vise à former les éducateurs et éducatrices à la petite enfance en développement moteur. Créer des liens « Mon rôle a été de trouver une façon de pérenniser les formations qui étaient données dans les CPE et les milieux familiaux en développement moteur, explique Brigitte Asselin. Le projet a été un tel succès que Vie en forme a pu financer tous les milieux de garde qui souhaitaient recevoir cette formation. Des espaces à utiliser Jouer dehors
Organisation mondiale de la santé Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Organisation mondiale de la santé (OMS), est une institution spécialisée de l'Organisation des Nations unies (ONU) pour la santé publique. Cette organisation dépend directement du Conseil économique et social des Nations unies et son siège se situe à Genève, en Suisse, sur la commune de Pregny-Chambésy[1]. Selon sa constitution, l'OMS a pour objectif d'amener tous les peuples du monde au niveau de santé le plus élevé possible, la santé étant définie dans ce même document comme un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ». Sa directrice générale actuelle est le Dr Margaret Chan depuis le . Histoire[modifier | modifier le code] Précédents[modifier | modifier le code] La constitution de l'OMS a été votée par la conférence mondiale de la santé le 22 juillet 1946[2]. L'Organisation mondiale de la santé a été fondée le . Composition[modifier | modifier le code]
Santé mentale La santé mentale définit le bien-être psychique, émotionnel et cognitif ou une absence de trouble mental. Le terme est relativement récent et polysémique. La santé mentale est selon Jean Sutter[2] perçue comme « [l']aptitude du psychisme à fonctionner de façon harmonieuse, agréable, efficace et à faire face avec souplesse aux situations difficiles en étant capable de retrouver son équilibre. » L'Office of the Surgeon General[3] la définit comme : ''une fonction mentale saine, se traduisant par des activités positives, l’établissement de liens enrichissants avec d’autres personnes et la capacité de s’adapter au changement et de faire face à l’adversité. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) « la santé mentale est un état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive et d'être en mesure d'apporter une contribution à la communauté. »[5]
Prendre la « bonne » décision | Nicole Bordeleau Avez-vous déjà remarqué que la vie est une succession de décisions au quotidien? Du matin au soir, nous sommes appelés à faire des choix: entre deux céréales, entre deux vêtements à porter, entre regarder la télé et terminer un roman… Prendre ce genre de décisions, ce n’est pas très angoissant. Mais certains choix comme celui de déménager, d’acheter une voiture ou de changer d’emploi sont plus importants. Et d’autres comme avoir un enfant, retourner aux études ou prendre sa retraite risquent d’avoir un impact encore plus grand sur notre vie. Face à des choix de vie aussi cruciaux, on peut facilement se sentir confus, désorienté et angoissé. Personnellement, lorsque je suis face à une décision importante, j’aime me rappeler l’enseignement du Bouddha: » ce que tu cherches à l’extérieur, tu le découvriras dans le silence de ton coeur. » C’est là, dans notre for intérieur, que se trouve la réponse à notre question, la solution à notre problème. Votre coeur a quelque chose à vous dire.
25 outils et méthodes pour la gestion des émotions des enfants Le cerveau des enfants est immature. Ce qui implique qu’ils ont des difficultés à gérer leurs émotions, d’où les tempêtes émotionnelles qu’ils subissent. Mais, nous pouvons les aider développer leur intelligence émotionnelle. Voici quelques ressources pour cela. Les émotions primaires : Tout d’abord, un peu de vocabulaire : Paul Ekman, le psychologue qui a inspiré la série Lie to me, évoque 6 émotions primaires : la peur, le dégout, la colère, la surprise, la joie et la tristesse. Daniel Goleman, rendu célèbre pour son livre « L’intelligence émotionnelle » cite les 8 émotions les plus communément mentionnées : la colère, la tristesse, la peur, le plaisir, l’amour, la surprise, le dégout et la honte. Je me suis basé sur la version de Daniel Goleman pour la roue des émotions ci-dessous. D’autres informations utiles : Les émotions ne sont ni négatives ni positives, elles sont. – le besoin de sécurité. – le besoin de stimulation. – le besoin affectif ou social. – le besoin d’autonomie. 14. 15.
Développer la confiance en soi des enfants Confiance en soi et estime de soi ne sont pas synonymes. Elles sont bien sûr liées mais elles se développent et s’entretiennent différemment. C’est notamment intéressant pour les apprentissages scolaires (mais pour tous les aspects de la vie finalement : les relations avec les autres, la prise d’initiative, la gestion des échecs, la capacité à se remettre en question…). Définition Dans le livre Apprendre à apprendre , André Giordan et Jérôme Saltet écrivent que la confiance en soi est à mettre en rapport avec les capacités : elle concerne ce que nous sommes capables de faire. « Ai-je les ressources internes nécessaires pour affronter cette situation ? « Suis-je capable d’y arriver ? « Suis-je à la hauteur ? Une mauvaise confiance en soi entrave sérieusement les études car la moindre erreur ou la moindre remarque va contribuer à déstabiliser la personne qui souffre de manque de confiance en elle : La confiance en soi est le produit de l’histoire familiale, sociale et scolaire : 1. 2. 3. 4.
Climat scolaire - L'estime de soi en questions L'estime de soi est une qualité de base pour tout individu. Elle correspond à la valeur que chacun s'accorde, à partir de la conscience de ses ressources et de ses manques, de sa capacité à surmonter les obstacles, à rectifier ses erreurs et à trouver des solutions pour agir. C'est un sentiment personnel qui se construit et évolue tout au long de sa vie, à partir de ses expériences propres à travers le regard de l'autre. Pourquoi la question de l'estime de soi se pose à l'école ? L’estime de soi est fondamentale : parce qu'elle est nécessaire à la réussite scolaire ;parce qu’elle permet une autonomie de pensée, une prise de risque pour se lancer et progresser dans tout apprentissage. Nouveauté, surprise, difficulté, tâtonnement, échec, déstabilisation et restructuration sont partie intégrante de tout apprentissage. L’estime de soi se construit selon des modalités aujourd’hui bien repérées, à savoir : Qu'est-ce qui favorise une bonne estime de soi ?