La mobilisation britannique Pour France Télévisions, le respect de votre vie privée est une priorité Video 1914-1918, la Champagne notice archives video ina.fr La grande guerre et Tardi L’exposition phare du 41e Festival est aussi un événement d’actualité : Tardi et la Grande Guerre donne le coup d’envoi des commémorations du centenaire de 14-18, tout en célébrant l’un des plus grands auteurs de la bande dessinée contemporaine. © JacquesTardi - Casterman Hanté depuis toujours, à travers son histoire familiale et son parcours d’artiste, par la dimension effroyable de la Guerre de 1914 – 1918, cette « Grande Guerre » qui devait être la « Der des der » pour tout ceux qui l’avaient vécue dans leur chair ou même seulement approchée, Jacques Tardi a commencé voilà presque quarante ans à en faire la matière d’une partie significative de son oeuvre. Son intérêt pour le sujet ne s’est jamais démenti depuis. De nombreux autres ouvrages de Tardi, tout au long de son itinéraire d’auteur, font également référence de manière plus lapidaire ou fugace à la Première Guerre mondiale – sans oublier les nombreuses illustrations qu’il a consacrées à ce sujet au fil des années.
Août 1914, la mobilisation générale Le 1er août 1914, l’ordre de mobilisation générale est décrété en France. Tous les Français soumis aux obligations de la conscription universelle masculine en vigueur doivent donc quitter leur foyer et revêtir l’uniforme. Retour sur un processus d’une ampleur jusque-là inconnue. Qui est mobilisé ? Tous les Français soumis aux obligations militaires de la conscription. La période de réserve terminée, le citoyen est versé dans l’armée territoriale. Aux premiers jours d’août, ce sont donc environ trois millions cinq cent mille Français et quatre millions d’Allemands qui sont mobilisés. Le trait commun à ces armées mobilisées tient surtout à la jeunesse de leurs unités d’active. L’annonce de la mobilisation La mobilisation générale est annoncée le 1er août 1914 dans l’après-midi : vers 16 heures en France, vers 17 heures en Allemagne. Depuis Paris, l’ordre de mobilisation a été télégraphié aux préfectures. L’appel du tambour redouble celui de la cloche. Le départ des foyers
L'appel du 18 juin 1940 [source] Sous-secrétaire d'état à la Défense nationale et à la Guerre depuis le 5 juin 1940, le général de Gaulle décide, en apprenant la démission du Président du Conseil, Paul Reynaud, le 16 juin, de partir « dès le matin » pour l'Angleterre afin de poursuivre le combat. Le général de Gaulle, accompagné seulement de son aide de camp, le lieutenant Geoffroy de Courcel, parvient à Londres dans la matinée du 17 juin 1940. Installé provisoirement au 7-8, Seymour Grove, il y rédige le texte de l'appel diffusé le lendemain, 18 juin 1940, vers 20 heures, sur les ondes de la B.B.C. Dans ses Mémoires de Guerre le Général expose les circonstances qui ont entouré l'Appel. « La première chose à faire était de hisser les couleurs. La radio s'offrait pour cela. Le général de Gaulle à la BBC « Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement. Charles de Gaulle
28 juin 1919 : le traité de Versailles entre paix et revanche | France info Les 27 délégations dans la galerie des glaces du château de Versailles. © DR Il n'aura fallu que 45 minutes pour signer la paix qui met fin à quatre années d'hécatombe sans précédent. 27 délégations représentant 32 puissances se sont réunies dans la galerie des glaces du château de Versailles. Le traité crée la Société des nations et définit les sanctions contre l'Allemagne, forcée à accepter ce qu'elle considère comme un "diktat". Ils sont quatre. Quatre messieurs bien habillés, réunis dans une bibliothèque. L'Italien Orlando, le Britannique Lloyd-George, le Français Clémenceau et l'Américain Wilson posent pour la photo. Les négociations durent depuis six mois et les quatre alliés ont eu bien du mal à s'accorder sur une version finale. Mais sa colère et sa frustration n'est rien à côté de celle de l'Allemagne. Elle doit aussi signer un texte sur lequel elle n'a pas eu un mot à dire. Partout en Allemagne, le traité n'est déjà plus appelé que par son surnom : le "Diktat" de Versailles.
Pour en finir avec dix idées reçues sur la guerre de 14-18 La Grande Guerre est un événement si immense qu'il suscite sans cesse interprétations et réinterprétations. Son fort impact sur la société française alimente également la circulation d'images et de clichés qui ne correspondent pas à l'état du savoir des historiens. Le point sur dix idées reçues. 1. La guerre était souhaitée par les industriels et les financiers Les interprétations marxistes des origines de la guerre, derrière les réflexions de Lénine sur l'impérialisme comme stade suprême du capitalisme, allouent une place centrale aux rivalités économiques accentuées par la baisse tendancielle du taux de profit, et au caractère prédateur des milieux industriels. Mais l'historiographie a montré que les interdépendances étaient en fait très fortes entre les économies et que, pour nombre de secteurs (assurances, sociétés minières...), la paix était préférable à la guerre. 2. 3. 4. 5. L'abondante consommation d'alcool est courante avant 1914. 6. 7. 8. 9. 10.
Afficher l'image d'origin sans titre CONTEXTE : Qui se bat ? Pourquoi ? 1. Les deux phases de la guerre Compétence : Je mémorise et situe les grands repères historiques grâce à une carte mentale 2. ACTIVITÉ : Histoire des arts – Maus de Art Spiegelman Deux liens pour répondre à vos questions sur le génocide (ex : pourquoi les Juifs/les Tziganes ?) Assassiner : la mission des Einstazgruppen « Le 22 juin 1941, Hitler déclenche l’opération Barbarossa, portant la guerre en Union Soviétique. Au printemps 1941, quatre groupes d’interventions mobiles (les Einsatzgruppen) sont formés en vue de liquider sur place les cadres du parti communiste et les Juifs. Un camp de la mort : Auschwitz-Birkenau (pour ceux qui avancent vite) 3. – Le point de départ : le bombardement de la base américaine de Pearl Harbor le 7 décembre 1941 – La guerre du Pacifique (1942-1945) -> voir dossier p 56 et p 59 – Hiroshima et Nagasaki : comment en est-on arrivé là ? L’essentiel
École alsacienne - Les Dessins de la Grande guerre Scènes de guerre Jean Bruller (Vercors) relate ici précisément l’état d’esprit dans lequel ces dessins ont été produits dans la préface au tome II de l’Histoire de l’École alsacienne de Georges Hacquard : « Tout cela se passait du temps de la Première Guerre mondiale, entre ma douzième et ma treizième année. Il régnait bien entendu alors, à l’École alsacienne, un vif patriotisme en accord avec son nom. Dans nos dessins d’enfants, sous la houlette de l’excellent et charmant Maurice Testard, nous rivalisions de brocards sanglants contre le kai¬ser et ses soldats à casques à pointe. Mais c’était entièrement de notre cru ; car je n’ai pas souvenir que nos professeurs, s’il exaltaient en nous l’amour de la patrie, nous aient jamais enseigné la haine ni la vengeance, je ne les ai jamais entendus se laisser entraîner, contre l’ennemi, aux excès de langage ni aux basses injures. » Un obus vient de toucher un cuirassé allemand. Auteur : Olivier Duchemin, élève de 1912 à 1919. Auteur : ?
La Guerre 14-18 - La couleur des larmes - Liste des peintres Guillaume Apollinaire Le brigadier marqué, Le pas de l'embusqué et Sans titre= The Marked Brigadier, The Shirker's Step and Untitled = Der maskierte Brigadier, Auf ruhigem Posten und Unbenannt, 1915-6 Alfred Basel Erstürmung von Stary Korczyn durch das Landsturminfanterieregiment Nr. 1, 22.
sans titre CONTEXTE : Qui se bat ? Pourquoi ? 1. Les deux phases de la guerre Compétence : Je mémorise et situe les grands repères historiques grâce à une carte mentale 2. ACTIVITÉ : Histoire des arts – Maus de Art Spiegelman Deux liens pour répondre à vos questions sur le génocide (ex : pourquoi les Juifs/les Tziganes ?) Assassiner : la mission des Einstazgruppen « Le 22 juin 1941, Hitler déclenche l’opération Barbarossa, portant la guerre en Union Soviétique. Au printemps 1941, quatre groupes d’interventions mobiles (les Einsatzgruppen) sont formés en vue de liquider sur place les cadres du parti communiste et les Juifs. Un camp de la mort : Auschwitz-Birkenau (pour ceux qui avancent vite) 3. – Le point de départ : le bombardement de la base américaine de Pearl Harbor le 7 décembre 1941 – La guerre du Pacifique (1942-1945) -> voir dossier p 56 et p 59 – Hiroshima et Nagasaki : comment en est-on arrivé là ? L’essentiel
Journal de tranchées Un journal de tranchées est un type de publication conçue et éditée par les soldats et les officiers sur le front pendant la Première Guerre mondiale dès l’automne 1914 quand le front se stabilise et que la guerre de positions commence. La diversité de ces journaux est grande : journaux de blessés et de prisonniers, journaux d’unités sur le front d’Orient ou d’Italie, journaux de marins, d’aviateurs, d’artilleurs, de soldats du génie, journaux de fantassins. Ils sont le propre des armées alliées (France, Royaume-Uni, Belgique et Italie) : du côté des armées des Empires centraux, il se développe plutôt une « presse du front » à l’initiative des états-majors allemands et autrichiens. Chaque armée allemande bénéficie ainsi d’une publication de qualité, souvent illustrée et rédigée par des officiers affectés à cette tâche. Dès la création de ces journaux de combattants, la question de leur dénomination est débattue.
sans titre INTRODUCTION : La France occupée Compétence : Je mémorise et situe les grands repères historiques et géographiques ACTIVITÉ – Réponds aux questions 1 à 4 p 74 1.Vichy, un régime antirépublicain Compétence : Je travaille en équipe en partageant des tâches, en étant actif et à l’écoute des autres ACTIVITÉ – Dossier p 76-79 2. Compétences Je mets en relation des documentsJe réalise une production multimedia ACTIVITÉ : Dossier p 80-81 – note des informations montrant les aspects de la collaboration Complète la vidéo sur Adobe Spark 3. Compétence : J’écris un développement construit avec l’aide de documents