La mobilisation britannique Pour France Télévisions, le respect de votre vie privée est une priorité Video 1914-1918, la Champagne notice archives video ina.fr Jalons Pour l'histoire du temps présent Au début de l'année 1917, le nouveau commandant en chef de l'armée française, le général Nivelle, souhaite sortir d'une guerre de position qui s'éternise et percer le front adverse en concentrant une attaque brusque et massive sur un point donné : l'objectif fixé est le Chemin des Dames, aux confins de l'Aisne et de la Champagne, dont le relief permet à ses occupants d'obtenir un avantage stratégique indéniable, notamment pour l'usage de l'artillerie. L'offensive est lancée le 16 avril 1917, impliquant les 5ème et 6ème armées des généraux Mangin et Mazel. Dès la première journée, l'échec est patent : l'avance n'avait été que de 500 mètres au lieu des 10 kilomètres prévus. L'Etat-major s'entête cependant et insiste en relançant plusieurs fois l'offensive. Le plateau de Craonne fut l'un des secteurs les plus disputés à l'Est du Chemin des Dames. Les conséquences de cette hécatombe furent une importante baisse de moral au sein de l'armée française.
Affiche mobilisation générale Détails Affichages : 1807 Les Etudes Sorguaises, soucieuses de transmettre le devoir de mémoire, ont réalisé cette 16ème parution « Souvenir des Poilus Sorguais » pour que les générations actuelles et futures n’oublient pas le sacrifice de leurs aînés qui ont combattu durant la première guerre mondiale 1914-1918 . En quatre ans, 136 Sorguais y ont laissé leur vie, certains avaient à peine 19 ans, ils étaient encore adolescents. Ils ont connu le froid, la neige, la pluie et la boue, la faim et en plus la peur, ne sachant pas de quoi serait fait le lendemain. Que ces quelques pages qui vont suivre rendent hommage à leur ténacité, leur bravoure, leur courage et leur sens du devoir bien fait ! Les origines de la guerre Les origines de la Première Guerre mondiale ont été à la fois anciennes et nombreuses. I. - Les souvenirs de la défaite de la guerre contre la Prusse et de l’annexion de l’Alsace et de la Lorraine qui s’ensuivirent avaient été durement ressentis par les Français. La guerre
28 juin 1919 : le traité de Versailles entre paix et revanche | France info Les 27 délégations dans la galerie des glaces du château de Versailles. © DR Il n'aura fallu que 45 minutes pour signer la paix qui met fin à quatre années d'hécatombe sans précédent. 27 délégations représentant 32 puissances se sont réunies dans la galerie des glaces du château de Versailles. Le traité crée la Société des nations et définit les sanctions contre l'Allemagne, forcée à accepter ce qu'elle considère comme un "diktat". Ils sont quatre. Quatre messieurs bien habillés, réunis dans une bibliothèque. Les négociations durent depuis six mois et les quatre alliés ont eu bien du mal à s'accorder sur une version finale. Mais sa colère et sa frustration n'est rien à côté de celle de l'Allemagne. Elle doit aussi signer un texte sur lequel elle n'a pas eu un mot à dire. Partout en Allemagne, le traité n'est déjà plus appelé que par son surnom : le "Diktat" de Versailles. - La signature du traité de Versailles instaurant les conditions de paix le 28 juin 1919 - J.
CRID 14-18 Voir aussi: une chanson antimilitariste de 1917 Ecouter une version libre de droits de la Chanson de Craonne, au format mp3 (enregistrement par la classe de CM2 de l'école Madame de Sévigné de Dieppe durant l'année scolaire 2008-2009, en cours de musique avec Régis Delcroix, musicien intervenant en milieu scolaire.) La Chanson de Craonne est depuis longtemps un élément central dans la mémoire de la Première guerre mondiale. Chantée notamment par Marc Ogeret et Maxime Leforestier, elle est également présente dans plusieurs films dont Un long dimanche de fiançailles (J. Donnons d'abord le texte stabilisé tel qu'il a s'est imposé dans l'après-guerre, d'abord publié sous le titre "Chanson de Lorette" par l'écrivain et militant communiste Paul Vaillant-Couturier en 1919, titre transformé à partir des années 1920 en "Chanson de Craonne", et qui est aujourd'hui la version que chacun connaît : Refrain : Adieu la vie, adieu l’amour, Adieu toutes les femmes. Adieu, m'amour!
AAAA 019 École alsacienne - Les Dessins de la Grande guerre Scènes de guerre Jean Bruller (Vercors) relate ici précisément l’état d’esprit dans lequel ces dessins ont été produits dans la préface au tome II de l’Histoire de l’École alsacienne de Georges Hacquard : « Tout cela se passait du temps de la Première Guerre mondiale, entre ma douzième et ma treizième année. Il régnait bien entendu alors, à l’École alsacienne, un vif patriotisme en accord avec son nom. Dans nos dessins d’enfants, sous la houlette de l’excellent et charmant Maurice Testard, nous rivalisions de brocards sanglants contre le kai¬ser et ses soldats à casques à pointe. Mais c’était entièrement de notre cru ; car je n’ai pas souvenir que nos professeurs, s’il exaltaient en nous l’amour de la patrie, nous aient jamais enseigné la haine ni la vengeance, je ne les ai jamais entendus se laisser entraîner, contre l’ennemi, aux excès de langage ni aux basses injures. » Un obus vient de toucher un cuirassé allemand. Auteur : Olivier Duchemin, élève de 1912 à 1919. Auteur : ?