Hot Spots. The Economist s'ineteresse aux villes d'aujourd'hui et de demain
Report Summary Hot spots is an Economist Intelligence Unit research programme, commissioned by Citigroup, which ranks the competitiveness of 120 of the world’s major cities. The Economist Intelligence Unit bears sole responsibility for the content of this report. The Economist Intelligence Unit’s editorial team built the Index, conducted the analysis and wrote the report. The findings and views expressed in this report do not necessarily reflect the views of the sponsor. Well over half of the world’s population now lives in cities, generating more than 80% of global GDP. Given the rapid growth and development of many cities, particularly in emerging markets such as China and India, competition between them for business, investment and talent will only get fiercer. Size alone does not determine a city’s growth potential. Competitiveness, however, is a holistic concept. Contributors Published:March 12th 2012 Author James Watson Editor Sudhir Vadaketh Interviewed for this report:
La Chine déménage! Aspects territoriaux d'une présence croissante en Afrique - Globe
Globe vous propose cette semaine de poursuivre la réflexion de Géraud Magrin, invité de Planète le mercredi 12 octobre 2011, en parcourant les conséquences de la présence chinoise en Afrique, tant sur le modelage du territoire, que sur les ressources du continent, ou sur les économies locales. Pour écouter l’emission, rendez-vous ICI. (photo vignette : l'entrée du site de forage de la centrale géothermique Olkaria, dans la vallée du Rift au Kenya, exploitée par une entreprise chinoise. La présence chinoise en Afrique se saisit à travers plusieurs indicateurs, qui varient selon les sources. La caractéristique de cette présence est qu'elle ne privilégie aucun pays. Pour Roland Pourtier, la présence massive de la Chine en Afrique est "l'évènement majeur de la dernière décennie" (dossier des Images économiques du monde en 2012, p. 22). Les premiers partenaires économiques de la Chine en Afrique sont l'Angola, le Soudan, l'Afrique du Sud et le Nigeria. Introduction en images et en vidéos !
Saskia Sassen, la ville globale aujourd'hui
Schéma AMM
Cartographie. Les villes prennent le pouvoir
Les mégalopoles sont les nouveaux moteurs de l’économie mondiale. De la Californie au delta de la rivière des Perles, en Chine, l’avenir s’écrit dans des pôles urbains tentaculaires. D’ici à 2025, il y aura au moins quarante de ces villes ultra-connectées dans le monde. Par-delà les frontières, elles inventent une autre forme de gouvernance et d’économie, affirme Parag Khanna, l’auteur de Connectography : Mapping The Future of Global Civilization (éd. Penguin Random House, avril 2016, non traduit en français). Dans ce livre, l’auteur, que le New York Times décrit comme “l’homme le plus connecté du monde” en raison de ses collaborations avec des universités du monde entier, décrit un futur où les frontières nationales reculeront et où les agglomérations – ainsi que les personnes – les plus connectées prendront le pouvoir. Ce constat, c’est aussi celui de l’Institut Mc Kinsey.
Les hyper-lieux : une nouvelle espèce d’espace dans la mondialisation
A l’encontre des analyses qui voient le monde comme de plus uniforme et indifférencié, le géographe et anthropologue Michel Lussault oppose les “hyper-lieux”. Des espaces intenses et divers où s’exprime la créativité et la volonté d’engagement social et politique de ceux qui les occupent. Aux “non-lieux“, autrefois théorisés par Marc Augé, le géographe et anthropologue Michel Lussault oppose aujourd’hui les “hyper-lieux“, comme régime spatial dominant à l’heure de l’urbanisation généralisée des espaces. D’où vous est venue l’intuition de définir les espaces urbains dominants d’aujourd’hui comme des “hyper-lieux” ? Michel Lussault – Cette question des hyper-lieux, par opposition à ce que Marc Augé appelle les non-lieux, je l’avais en tête depuis le début de mon travail au début des années 1990. (Flickr) Comment comprenez-vous le succès de ce concept de non-lieu ? Deux raisons au moins l’expliquent. Owen Byrne, The Mall, Toronto (Flickr/CC) Mais quel est ce rapport à la vérité des lieux ?
Des hyper-lieux de la mondialisation ?
Ce n’est pas parce qu’un concept n’apparaît pas explicitement dans les programmes qu’il est interdit de l’évoquer dans sa copie de bac, et encore moins de l’étudier en classe. D’où cet article sur les hyper-lieux de la mondialisation, notion théorisée par Michel LUSSAULT, géographe et professeur à l’Ecole normale supérieure de Lyon qui trouve légitimement sa place dans notre réflexion sur la mondialisation en fonctionnement et les territoires dans la mondialisation. Dans cette interview aux Inrockuptibles, Michel LUSSAULT explique que l’intuition de ce concept a longuement mûri en réaction au livre de Marc AUGE sur les non-lieux car il ne parvenait pas à comprendre ce nouveau concept désignant un espace que l’être humain ne s’approprie pas et où il resterait anonyme (les transports en commun, les supermarchés, les aires d’autoroute, etc.). Il a donc poursuivi et documenté sa réflexion pendant plusieurs années afin d’aboutir à une contre-proposition. Pour aller plus loin WordPress:
BRICS
Une vingtaine d’années plus tard, les faits lui donnent raison, car même si leurs économies possèdent des caractéristiques très différentes, ces pays des BRICS ont connu une ascension fulgurante dans l’économie mondiale. Carte des Pays des BRICS Qui sont les BRICS en 2024 ? En 2024, les BRICS se sont transformés en BRICS+ avec l’ajout de nouveaux membres. Ce nouvel ensemble représente désormais une puissance économique et géopolitique majeure. Les membres actuels, composés de nations émergentes, visent à renforcer leur influence face aux économies occidentales. Cette dynamique pourrait, par exemple, favoriser le développement de projets d’infrastructure communs ou des initiatives de dédollarisation. PIB mondial : l’ascension fulgurante des BRICS Entre 2000 et 2008, la croissance des BRICS est nettement supérieure à celles des pays développés. La place des BRICS dans l’économie globale ne cesse de croître. La croissance des BRICS vue du côté des marchés financiers À lire aussi sur notre site