Hot Spots. The Economist s'ineteresse aux villes d'aujourd'hui et de demain
Report Summary Hot spots is an Economist Intelligence Unit research programme, commissioned by Citigroup, which ranks the competitiveness of 120 of the world’s major cities. The Economist Intelligence Unit bears sole responsibility for the content of this report. The Economist Intelligence Unit’s editorial team built the Index, conducted the analysis and wrote the report. The findings and views expressed in this report do not necessarily reflect the views of the sponsor. Well over half of the world’s population now lives in cities, generating more than 80% of global GDP. Given the rapid growth and development of many cities, particularly in emerging markets such as China and India, competition between them for business, investment and talent will only get fiercer. Size alone does not determine a city’s growth potential. Competitiveness, however, is a holistic concept. Contributors Published:March 12th 2012 Author James Watson Editor Sudhir Vadaketh Interviewed for this report:
Le mur de Trump, une vieille histoire
La militarisation de la frontière mexicaine par les Etats-Unis remonte aux années 1970, et n'a cessé de s'accentuer depuis. Le contenu du décret de Donald Trump n'est qu'une surenchère de plus à ce comportement routinier des présidents républicains comme démocrates. Donald Trump décrète vouloir un contrôle opérationnel total, mais sans aucune précision quant à la mise en œuvre pratique du mur : kilométrage, renforcement de l'existant, financement... A écouter "Migrants hispaniques aux Etats-Unis", Les hommes aux semelles de vent 1) 1978 : Quatre premières barrières Les anti-migrants utilisent l'arrivée de 125 000 migrants cubains pour développer une politique obsidionale. 2) 1984 : 23 nouvelles bases pour les patrouilles Dans les années 1980, la "guerre contre la drogue" justifie pour Donald Reagan un dispositif renforcé à la frontière mexicaine. 3) 1991 : 22 km de barrières en Californie 4) 1996 : 8 nouvelles clôtures Georges W.
La Chine déménage! Aspects territoriaux d'une présence croissante en Afrique - Globe
Globe vous propose cette semaine de poursuivre la réflexion de Géraud Magrin, invité de Planète le mercredi 12 octobre 2011, en parcourant les conséquences de la présence chinoise en Afrique, tant sur le modelage du territoire, que sur les ressources du continent, ou sur les économies locales. Pour écouter l’emission, rendez-vous ICI. (photo vignette : l'entrée du site de forage de la centrale géothermique Olkaria, dans la vallée du Rift au Kenya, exploitée par une entreprise chinoise. La présence chinoise en Afrique se saisit à travers plusieurs indicateurs, qui varient selon les sources. La caractéristique de cette présence est qu'elle ne privilégie aucun pays. Pour Roland Pourtier, la présence massive de la Chine en Afrique est "l'évènement majeur de la dernière décennie" (dossier des Images économiques du monde en 2012, p. 22). Les premiers partenaires économiques de la Chine en Afrique sont l'Angola, le Soudan, l'Afrique du Sud et le Nigeria. Introduction en images et en vidéos !
Les Etats-Unis et le monde à travers les séries télévisées
Le dossier du dernier numéro du magazine Carto consacré à la géopolitique des séries est l'occasion pour nous de revenir sur les relations entre « les États-Unis et le monde » à travers le prisme de ces « produits culturels ». Sous la forme du divertissement, les séries nous offrent des représentations du monde qui nous éclairent sur les fondements et les modalités de la politique étrangère États-Unis comme sur ses enjeux et ses limites. Nous vous proposons ici une synthèse non exhaustive de l'article rédigé par la journaliste Francesca Fattori ainsi que quelques approfondissements sur les aspects les plus liés au programme de terminale (ou du moins quelques exemples de la manière dont on peut relier des connaissances à un document, quel qu'il soit). Nous nous limiterons à la période 2001 - aujourd'hui et nous focaliserons sur les rapports entre la 1ère puissance mondiale et le Moyen-Orient. Carte de la localisation des séries américaines (James Chapman) Generation Kill Sleeper Cell
Saskia Sassen, la ville globale aujourd'hui
Le monde peut-il se passer du leadership américain ?
La question du leadership américain est aujourd'hui très clairement posée. Lors d'un discours à la nation au moment de la crise syrienne, Barack Obama, voulant expliquer pourquoi il ne voulait pas passer par le Congrès pour accepter des frappes limitées sur la Syrie, a dit : "J'entends souvent dire que nous ne sommes pas les gendarmes du monde". Il a alors ajouté : "En effet, nous ne sommes pas les gendarmes du monde." C'est à mon avis une rupture complète dans la politique étrangère américaine, une rupture apparente, puisqu'en effet les américains se sont toujours donnés cette mission, non seulement d'apporter la liberté, etc., mais aussi de garantir la stabilité, la sécurité, de l'ordre mondial dont ils seraient, ou ils sont, les garants, d'un point de vue économique ou bien géopolitique. Y'a-t-il un abandon de ce leadership? Certainement pas.
Schéma AMM
Qu'est-ce que le soft power en géopolitique ?
Thomas SNEGAROFF Historien. Directeur de recherche à L'IRIS Thomas Snégaroff est un historien né en 1974, spécialiste des questions géopolitiques et des États-Unis.
Cartographie. Les villes prennent le pouvoir
Les mégalopoles sont les nouveaux moteurs de l’économie mondiale. De la Californie au delta de la rivière des Perles, en Chine, l’avenir s’écrit dans des pôles urbains tentaculaires. D’ici à 2025, il y aura au moins quarante de ces villes ultra-connectées dans le monde. Par-delà les frontières, elles inventent une autre forme de gouvernance et d’économie, affirme Parag Khanna, l’auteur de Connectography : Mapping The Future of Global Civilization (éd. Penguin Random House, avril 2016, non traduit en français). Dans ce livre, l’auteur, que le New York Times décrit comme “l’homme le plus connecté du monde” en raison de ses collaborations avec des universités du monde entier, décrit un futur où les frontières nationales reculeront et où les agglomérations – ainsi que les personnes – les plus connectées prendront le pouvoir. Ce constat, c’est aussi celui de l’Institut Mc Kinsey.