Seconde édition du livre "La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne"
Réactions de lecteurs (et de lectrices...) Franchement j’en ai eu les larmes aux yeux. A la fois tendre et violent, passionné et réaliste. Que ne l’avez-vous écrit 20 ans plus tôt, je comprends désormais tant de choses ? Comme d’habitude, je vais lire avec le plus vif intérêt votre livre. Permets-moi de te dire que je suis émerveillée par ce ton juste, ce ressenti exceptionnel, cette honnêteté médicale et ce respect vis à vis des femmes qui, en soi, ne choisissent pas vraiment... elles suivent... (…) l’expérience maternelle exactement comme si vous l’aviez vécue dans votre propre chair. J’en suis déjà à la conclusion. J’espère que ce livre contribuera à faire bouger les lignes. J’espère que votre livre aura beaucoup de succès et pourra changer certains esprits et méthodes qui paraissent en effet le plus souvent encore trop liés aux reliques de notre société judéo-chrétienne. Un GRAND MERCI M. En tant que femme, je ne peux que vous remercier et vous encourager dans cette voie. Eh bé !
« La domination masculine est encore partout »Entretien avec Françoise Héritier
Cette anthropologue de renom, disciple de Lévi-Strauss, va faire grincer des dents *. Alors que l'époque salue la progression sociale des femmes, Françoise Héritier démontre que cette idée est fausse et qu'au contraire la suprématie masculine reste universelle.Dans un précédent ouvrage, l'anthropologue Françoise Héritier démontrait que la différence des sexes est à l'origine de toute pensée. Elle racontait les premiers humains, observant la nature, regardant leur corps et découvrant qu'il y a du mâle et du femelle, du sperme et du sang, du jour et de la nuit, du chaud et du froid, de l'humide et du sec. Cette catégorisation binaire, faite « aux aubes de l'humanité », structure la pensée. Aujourd'hui, la disciple de Claude Lévi-Strauss, professeur au Collège de France, va plus loin. Elle démontre que la suprématie masculine est universelle.
Parution du livre "La brutalisation du corps féminin (...)"
La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne Considérons cent femmes tirées au sort. Toutes auront été confrontées à une forme ou une autre d’une médicalisation spécifiquement liée à leur sexe : vaccins (rubéole…), hormones pour un oui ou un non, traitement de la ménopause, dispositifs contraceptifs, aide à la procréation, cicatrices d’épisiotomie ou de césarienne, hystérectomie, mammographie, etc. Mathématicien de formation, le Dr Marc Girard s’est spécialisé en recherche clinique et en épidémiologie, avec un intérêt tout particulier pour les effets dommageables des traitements médicaux (iatrogénie). Edité par l’auteur, 4 square Paul Fort, 78760 Jouars-Pontchartrain E-mail : agosgirard@free.fr Dépôt légal : janvier 2013 140 pages, 15 €, port gratuit pour la France (contacter l’auteur pour les envois à l’étranger) [1]. Disponible directement chez l’auteur (4 square Paul Fort, 78760 Jouars-Pontchartrain) : Disponible également sur Amazon.fr [2]. Table des matières 1. 2. 3. 4. E.
La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne: Amazon.fr: Marc Girard
Le corps des femmes | Un blog participatif où les femmes racontent leurs corps