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Évolution, tendances et enjeux de la publicité en ligne

Évolution, tendances et enjeux de la publicité en ligne
Saviez-vous que la première bannière publicitaire avait été affichée il y presque 20 ans ? C’est en effet le 27 octobre 1994 que la publicité en ligne a commencé à être utilisée sur le portail Wired. Avec cette première bannière, le magazine Wired ne se doutait pas qu’il allait poser les bases du principal levier de monétisation des contenus en ligne. Aujourd’hui les bannières publicitaires sont omniprésentes. L’article qui suit a pour ambition de vous expliquer les dernières évolutions et les enjeux du display, il m’a été inspiré par une conversation très enrichissante que j’ai eu avec Patrick et Andrès, les fondateurs de Viuz. Un contexte économique difficile Les bannières publicitaires ont permis au web de devenir ce qu’il est aujourd’hui : une source inépuisable de contenus. La bannière est morte, ou pas, vive la publicité native, ou pas ! Tout ceci est parfait, sauf que la publicité native présente trois principaux désavantages : Moins de pollution, plus de pertinence

Native Advertising: The AdBlock Antidote? AdBlock and Adblock Plus, the web’s most popular extensions and open-source content filters, have offered people a quick-fix solution to make online browsing more seamless and smooth. “Surf the web without annoying ads!” Adblock Plus proclaims, having roped in over 200 million downloads since 2011. But do web surfers really have a choice when they’re constantly bombarded with intrusive ads? Erik Martin, general manager at Reddit, argues that netizens are being “pushed” into using ad-blocking software just to escape the chaos of pop-up and auto-play video ads that have for so long plagued our modern, broken web. As more and more web surfers—specifically internet-savvy millennials—continue to take advantage of easy-to-install plug-ins like AdBlock and Adblock Plus, the end of the display and pre-roll ad may not be too far off. How AdBlock is affecting advertisers Native advertising: The AdBlock antidote? And other intriguing experiments are underway.

The Future of Advertising: Big Data, Ad Blockers & Native Ads ‘We’re no longer advertising agencies. We’re brand guardians.’ M&C Saatchi Group CEO Lisa Thomas and Ogilvy CEO Cheryl Giovannoni took the stand at Future of Advertising as The Guardian grilled these two experts on grand plans for big data and content creation… So, ‘big data’… What’s the fuss all about? Cheryl> Increasingly when it comes to data, consumers are thinking about the value exchange. Lisa> Agreed. How is new technology affecting the creative process? Cheryl> It’s a step into the unknown – look at Facebook, they’ve just invested in Oculus Rift without concrete plans as to how they’re going to develop it within the business. Lisa> It’s an interesting time for creatives – partnership deals and prototyping means we’re working with technology that’s not always perfect from launch. With the rise in native advertising, how do you see content-driven campaigns affecting roles within your agencies? Do some brands lend themselves more easily to producing engaging content?

White Paper: The Comprehensive Guide to Native Advertising A Vocus eBook Native advertising – the purchasing of sponsored content on social networks and online websites – dominated digital marketing conversations the past year. Market research company BIA/Kelsey estimates that U.S. native ad spending on social sites might have reached $2.36 billion in 2013, or 38.9 percent of total U.S. paid social ad expenditures. How can you effectively work native advertising into your marketing mix? Finally, we’ll show you the ethical issues to avoid with sponsored content. What is Native Advertising? A survey from Online Publishers Association says native ads include “content integrated into the design of the publishers site, living in the same domain, as well as content either provided by, produced in conjunction with or created on behalf of our advertisers that runs within the editorial stream.” The Interactive Advertising Bureau defines six types of native ad units in its mustread, “Native Advertising Playbook“: Content Marketing vs. Publishers

Repenser la publicité : l'utile au cœur de la stratégie de marque La brand utility gagne de plus en plus de place dans la stratégie de marque en remplaçant la publicité pure. Les marques veulent aller plus loin et proposer un véritable service utile pour l'utilisateur. Brand utility, brand content, native advertising… La multiplication de nouveaux termes relatifs à la communication de marque reflète la volonté des publicitaires et marketeurs d’adopter des approches innovantes pour construire une image de marque unique et créer un attachement durable à la marque.Ces concepts s’intègrent dans une démarche visant à rompre avec la conception traditionnelle de la publicité. Développer sa brand utility : un facteur de compétitivité Parce qu’elle pousse les marketeurs à repenser la proposition de valeur en profondeur pour concevoir un service utile en adéquation avec les valeurs de la marque, la brand utility est un facteur d’innovation particulièrement crucial dans un contexte de crise et de concurrence soutenue. Penser « usage » avant « message »

Native Advertising Predictions For 2015: With mobile content consumption tipping over 50% Following the hype of native advertising in 2014, here are some insights into what to expect in 2015. Mobile-first content 2014 saw mobile content consumption tip over the 50% mark: we now spend more time on mobile than we do on TV. In June, The Guardian revealed that 60% of weekend readership is now on mobile. As if we needed more evidence, Facebook’s Q4 earnings show that they generated 66% of revenues from mobile ads. Building upon this trend, in 2015 we will continue to see mobile rise. Brands need to make sure that the content they create is designed mobile-first, not second, taking into account the close screen and feed-based environment of the mobile experience. The rise of the content card In a mobile-first world, user experience is critical. The content card will become a standardised format for presenting content across all social platforms and digital media publishers. Twitter and Facebook have led the way, serving up elegant user and advertiser content in feeds.

Native Advertising is a Revenue Generator, But Only 20% of Market is on Board - NativeMobile.com It’s the billion dollar question of 2014: Does native advertising work? If you ask the Huffington Post, which saw an increase of native advertising revenue of 347 percent from Q2 2013 to Q2 2014, they would probably say yes… as would most other publishers and brands making the move to native. Then again, the reason it seems like there should be more positive case studies is because… well, there should be. But too few brands and publishers are getting on board the native ad train, say the authors of a new report. A recent Cxense “Extraordinary Insight” survey of more than 260 publishing executives documents growing interest in native ads and their value, but also indicates that the market has been slow to move. Just 20 percent of respondents, according to the survey, are running native ads today. Of course, targeting is one of the keys to success. “When done correctly, native ad content can be a boon to publishers.

Les Native Ads peuvent-elles sauver la pub ? Décryptage d’un phénomène en 20 chiffres clés Selon une étude récente d’Infolink, le taux de clic du display classique est tombé en dessous de 0,1% et 86% des internautes souffrent de «Banner Blindness» et ne remarquent plus les espaces publicitaires traditionnels. Un déclin ineluctable aggravé par l'usage mobile et qui ouvre une opportunité aux Native Ads, ces publicités contextuelles, insérées directement dans l’expérience de lecture de l’utilisateur et dont le but est de valoriser la persuasion plutôt que la promotion. Au premier, plan de cette révolution et persuadés que la consommation media du future sera intégrée, verticale et mobile, Twitter, Linkedin, Facebook et Pinterest ont tous lancé leurs différents formats de Native Ads l’année dernière. Un renouveau des formats publicitaires et de leurs emplacements fort opportun à un moment où les chaines de TV ne peuvent plus garantir un reach massif sur le segment des 18-35 ans, convoité par les publicitaires… Mais les éditeurs ne sont pas en reste. Les marché des Native Ads

Le grand flou autour du native advertising sur les médias en ligne Crédit: NYT Regardez ce contenu sur la préparation physique des danseuses du corps de ballet de New York publié sur le site du New York Times. Ce “reportage”, dont le format ressemble à s’y méprendre à celui de Snowfall, faisant la part belle à l’écriture, aux photos, dessins et aux vidéos, n’est pas une commande de la rédaction du New York Times, mais d’une marque de chaussures, Cole Hann. Même chose pour ce long format sur l’incarcération des femmes dans les prisons, avec des témoignages d’anciennes détenues en vidéo, des chiffres mis en scène dans des graphiques: il a été payé par Netflix pour la série “Orange is the new black”. Ces deux exemples sont ce que l’on appelle du “native advertising”, une publicité qui reprend les codes journalistiques du média qui l’héberge. Critères Les “native advertisings” sont protéiformes, si protéiformes qu’un oeil non aguerri peut avoir du mal à les discerner. 1. les “native advertisings” entrent “en adéquation avec la ligne éditoriale du site” Tarifs

La publicité en ligne pour les petites entreprises | Groupon Works France Cela vaut-il la peine d’utiliser des annonces visuelles ? Il existe deux grands types de publicité en ligne auxquels nous sommes tous familiers : les annonces rémunérées à chaque clic, qui sont les liens publicitaires qui apparaissent lorsque vous effectuez une recherche Web ou utilisez Facebook et les bannières publicitaires, qui apparaissent au sommet ou au bas de votre écran. Avec une recherche sur les mots-clés et un texte convaincant, les annonces rémunérées à chaque clic fonctionnent et je partagerai quelques conseils utiles à ce sujet dans mon prochain article de blog. Mais parlons tout d’abord des bannières publicitaires, parce que, d’une manière générale, ça ne fonctionne pas. Avec une rémunération insignifiante de 0,1% par clic, cette forme de publicité en ligne a autant de chances de rencontrer du succès qu’en a une campagne téléphonique. • 8 % des internautes représentent 85 % de clics sur les annonces publicitaires (et certains d’entre eux ne sont pas même des humains !) 1.

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