4 étapes pour établir une veille informationnelle efficace Que vous soyez une entreprise (PME, TPE,…), une association, une marque ou encore un indépendant, réaliser une veille concurrentielle et informationnelle sur le Web se révèle être une stratégie plus que vitale. Afin qu’elle soit la plus efficace possible, 4 étapes seront nécessaires et quelques outils vous seront indispensables. Qu’elle soit concurrentielle, informationnelle ou encore d’e-réputation, la veille est une pratique devenue incontournable. Établir votre stratégie / ciblage La première étape est déterminante puisque c’est elle qui conditionne l’efficacité des actions que vous allez ensuite mener. Votre stratégie doit s’appuyer sur un travail effectué au préalable : le persona. Que recherchent vos clients ? L’outil Google Analytics vous aidera à répondre à ces questions et à déterminer des profils types de visites. Protection de votre environnement La deuxième étape consiste à construire une protection autour de votre environnement, par l’utilisation des Google Alertes.
Différence entre la curation et la veille d'information | CURATION2WEB La curation en mode pédagogique : Dossier pratique La curation de contenus est une pratique qui s’est diffusée depuis quelques années : une utilisation « qui consiste à sélectionner, éditer et partager les contenus les plus pertinents du Web pour une requête ou un sujet donné ». Phase en aval dans un processus de veille, la curation a l’avantage de considérer que les articles, médias et données recherchées et identifiées doivent être mis à disposition en mode ouvert ou partagé sous une forme aisément consultable. Savoirs CDI (site de ressources professionnelles pour les enseignants-documentalistes) propose un dossier (publié en juin 2014) sur la curation en contexte pédagogique. La curation pour apprendre : Mode d’emploi Ce document propose une approche pratique, méthodologique et de réflexion sur les pratiques possibles et le visage pluriel de la curation avec des outils sélectionnés (Paper.li, Scoop-It, Pinterest, Pearltrees, Storify), ressources et liens externes. Des exemples de dispositifs pédagogiques. Sommaire du dossier Curation
Des outils pour s’organiser, sans être submergé Les outils numériques dédiés à l’organisation, multiples et variés, rivalisent d’ingéniosité et de fonctionnalités nous promettant et nous conduisant même à des usages que nous n’aurions sans doute pas imaginés avant de les découvrir. Une journée ordinaire avec mes appareils connectés À peine réveillée par la douce mélodie programmée sur mon smartphone, une alerte Google me rappelle qu’il est temps de partir : Google Calendar a pris en compte l’adresse et l’horaire de mon premier rendez-vous de la journée, enregistrés quelques jours plus tôt sur mon agenda électronique. Une consultation rapide de Netvibes me permet de me tenir au courant de l’actualité : sur mon Dashboard, j’ai regroupé les sites qui m’intéressent en m’abonnant à leur flux, j’y consulte aussi directement mes comptes Facebook et Twitter pour rester en contact avec mes «amis» ou «abonnés». Installée devant mon ordinateur de bureau, je vais pouvoir transmettre sans délai le document que je viens de finaliser. Références :
Veille : la diffusion plus importante que la collecte La veille est souvent présentée en un cycle en 4 étapes : définition des objectifs, collecte, analyse et diffusion. La collecte fait l’objet de nombreux articles (surtout au niveau outil), mais il arrive parfois de ne pas assez mettre l’accent sur la diffusion (enfin, au-delà de l’outil encore une fois). Allons plus loin en partant de ce postulat : et si la collecte d’informations, et encore plus d’opinions, devait être pensée en fonction de la diffusion et non des capacités de collecte et de traitement ?!... Tout d’abord, concentrons nous sur la veille en e-réputation (et/ou d’opinions) qui, comme le souligne Christophe, diffère souvent en terme de fonctionnement et d’objectifs de la veille dite stratégique (concurrentielle, brevets, juridique, etc.). De plus, et il est toujours intéressant de le rappeler, l’information devient stratégique par son utilisation (elle ne l’est pas par nature) et une veille doit servir d’appui à une prise de décision. Pas de collecte sans diffusion Au final…
Les 5 étapes de la veille L’AFNOR définit la veille comme une « activité continue en grande partie itérative visant à une surveillance active de l’environnement technologique, commercial, etc., pour en anticiper les évolutions ». C’est l’art de détecter et d’interpréter les signaux faibles pour leur donner du sens, de fournir la bonne information, au bon moment, à la bonne personne pour lui permettre de prendre la bonne décision, de bien agir et idéalement de faire évoluer son environnement dans un sens propice. Autrement dit, la veille se définit comme un processus informationnel par lequel l’entreprise se met à l’écoute de son environnement dans le but créatif de découvrir des opportunités et de réduire des incertitudes, voir d’anticiper des menaces. 1. Le ciblage doit permettre de définir les besoins de veille de l’entreprise. 2. Le sourcing consiste en une réflexion sur les outils et canaux de veille en fonction du ciblage : 3. 4. 5.
5 étapes pour une diffusion efficace de sa veille Si la diffusion parait plus importante que la collecte dans une stratégie de veille, c’est que l’information prend de la valeur par son utilisation (et pas seulement son stockage). Comme les objectifs, la collecte ou l’analyse, la diffusion demande d’être pensée, et les résultats d’être présentés comme des « produits de veille ». Voyons quelques étapes nécessaires à la mise en place d’une stratégie de diffusion. Il y a quelques temps, j’ai donné une formation URFIST-CNRS (avec Maureen Dumans) sur la mise en place d’une stratégie de veille. Comment faire pour être lu ? Voici donc quelques réflexions/méthodes que j’ai partagé lors de cette formation, et que je formalise ici sous la forme de 5 grandes étapes. Première étape : penser communication et pas seulement documentation Il faut donc, de mon point de vue, aborder cette étape comme une stratégie de communication, et prendre en compte certains éléments : ==> Le public visé et ses pratique/attentes Deuxième étape : définir son public
Le principe de la curation en une infographie Le Web deviendra t-il bientôt le champs de bataille entre les antis et les pros curation ? L’importance du contenu pour un site Web, blog n’est plus à démontrer, tant sur la côté qualitatif que sur l’aspect : le SEO. Que l’on le veuille ou non la curation existe et il vaut mieux l’intégrer à ce jour, dans une pratique métier. Pour Marc Rougier CEO de scoop.it la curation est la conjonction de trois axes : SélectionnerOrganiser / EditerPartager des contenus existants Nous pouvons définir 5 étapes dans la curation : Définir son sujet de veilleRécolter les sourcesSélectionner le contenuÉditorialiser le contenuPartager Voici une infographie qui résume en 5 étapes le principe de la #curation Le principe de la curation en 5 étapes by Jérôme Deiss
Bulletin de veille sur les compétences informationnelles Un peu de plus de 150 références ont été dépouillées depuis le mois de mars 2014 et neuf articles ont retenu notre attention pour ce bulletin. Les thèmes couverts sont le libre accès, la prospective technologique, les comportements informationnels et les modèles de formation documentaire. Le libre accès Le développement des diverses voies de publication en accès libre complexifie le choix du périodique où envoyer son manuscrit. Zhao (2014) propose d’ajouter le processus de la publication savante dans le domaine des compétences informationnelles et souligne en quoi le bibliothécaire peut jouer un rôle proactif à ce sujet. Du côté des cours en libre accès, il y a Hays et collègues (2014) qui souhaitent davantage de développement en ce sens par les bibliothécaires alors que Gore (2014), explore l’impact des MOOCs sur les services de bibliothèque. Prospective technologique Comportements informationnels Les formations documentaires Bibliographie Ahmad, Pervaiz, Mark Brogan, and Michael N.
L'enquête sur les pratiques informationnelles, 2ème édition Au premier trimestre de l’année 2009-2010, le comité de rédaction de Savoirs CDI avait proposé aux enseignants-documentalistes une enquête portant sur leurs pratiques informationnelles personnelles et professionnelles. Celle-ci avait rencontré un vif succès puisque 2063 personnes y avaient répondu, soit plus de 15% des enseignants-documentalistes de France. Une analyse en avait été livrée sur le site Savoirs CDI, sous la forme d’un feuilleton intitulé Plus belle la doc. Considérant les rapides évolutions des usages sur ce terrain des pratiques informationnelles depuis 2009, notamment la place toujours grandissante qu’y tiennent les réseaux sociaux ou les progrès de la lecture sur support numérique, le Comité de rédaction a souhaité lancer en avril 2013 une seconde édition de cette enquête. Parallèlement depuis le début de l'année 2014, le comité de rédaction s'est placé dans une démarche de recherche de l'amélioration du site.
Les 9 modèles d’enseignement des compétences informationnelles Dans le cadre d’une revue de littérature portant sur l’intégration des compétences informationnelles au premier cycle que j’ai eu à faire récemment, j’ai pu constater que le chapitre de livre Developing Faculty-Librarian Partnerships in Information Literacy de Susan Carol Curzon était cité régulièrement. Dans ce chapitre, l’auteure proposait neuf modèles d’intégration des compétences informationnelles dans l’enseignement universitaire. Les neuf modèles L’objectif premier de l’article de Curzon concerne le développement de la collaboration entre un département et un bibliothécaire comme étant la base d’un enseignement fructueux et durable des compétences informationnelles. Et c’est dans ce contexte que celle-ci élabore une classification des différents modèles possibles d’intégration de l’enseignement des compétences informationnelles dans les structures actuelles. Les modèles ont été gardés dans leur dénomination anglophone afin d’éviter une mauvaise traduction de ma part. Avantages
Culture numérique pour apprendre : outils, scénarios et pratiques Le Pôle e-learning de l’Université de Genève (Suisse) met à disposition des étudiants via le service MyPLE.ch (comme Personal Learning Environment, environnement d’apprentissage personnel) des ressources en ligne pour choisir et utiliser des outils numériques (voir ci-après). Ce projet initié dès 2011 comprend un ensemble de dossiers actualisés pour aider les étudiants dans leurs parcours et également à s’organiser pour une réussite dans leur cursus. Ces champs sont traités sous le prisme de l’apport concret de services et applications en ligne ou à télécharger avec 3 chapitres distincts de dossiers librement consultables en ligne et téléchargeables : Scénarios d’apprentissage avec le numérique,Fiche de culture numérique,Famille d’outils. Apprendre avec le numérique Scénarios d’apprentissage avec le numérique Fiche de culture numérique Licence : Contrat spécifique : merci de prendre contactGéographie : Europe
Accrodoc, l’autoformation aux compétences informationnelles vue par les enseignants Dans le précédent billet sur Accrodoc en date du 29 septembre 2014, je vous avais présenté cet outil dédié à l’autoformation des étudiants à la méthodologie de la recherche d’information. Conçu pour pallier l’absence de formation documentaire dans tous les cursus, Accrodoc se présentait aussi comme un outil d’accompagnement des différentes formations documentaires délivrées dans les facultés de l’Université Lyon 2. À cet égard cependant, il nous était difficile, à nous bibliothécaires, de mesurer si les supports mis à disposition étaient utilisés lors des cours de méthodologie ou recommandés par des enseignants en complément de leurs cours. Les statistiques du site indiquent une consultation saisonnière correspondant aux besoins immédiats des étudiants, sans qu’il soit possible de distinguer si ce pragmatisme visible était le seul effet des recherches autonomes de nos lecteurs ou la conséquence de prescriptions des enseignants dans le cadre des cursus. Les conclusions de l’enquête
Diplomates, journalistes... Que faire d'un nouveau continent marin, composé d'ordures, flottant sur des millions de kilomètres carrés ? Présenter avec clarté un problème écologique préoccupant (B1), découvrir un problème environnemental inquiétant et proposer des solutions (B2).