Sans-abri, SDF : l'errance aujourd'hui (1ère partie) - Bruxelles Santé Mais pourquoi parler d’errance et ne pas recourir au terme de SDF ou à celui de sans-abri ? Essentiellement pour ne pas focaliser l’attention sur les individus. Car, même si c’est toujours un parcours individuel (fait de manques fondamentaux, de violence, d’échecs répétés, de ruptures) qui conditionne l’errance, il s’agit aussi– on ne peut plus se le cacher – d’une problématique collective, d’une « question de société » liée à des conditions structurelles d’ordre politique, économique et institutionnel. La seconde raison est plus anecdotique : ce choix permet d’éviter le terme de « sans-abrisme », que non seulement le dictionnaire de l’ordinateur souligne en rouge mais qui s’inscrit dans la litanie de néologismes fatigants que l’époque fabrique en continu. L’errance humaine existe certes depuis toujours, à commencer par les sociétés de pasteurs et chasseurs nomades. L’errance contemporaine Cette législation a fait l’objet de plusieurs critiques : Espace public, espace privé
Infographie. Si les PIB m’étaient comptés L’Asie – et en particulier la Chine – pèse lourd dans l’économie mondiale. Mais ce sont les États-Unis qui se taillent la part du lion. Cette infographie permet de voir en un coup d’œil la part des quarante plus grandes puissances, mais aussi de chacun des continents, dans l’économie mondiale. Avec un PIB de plus de 18 000 milliards de dollars, les États-Unis représentent la plus grosse part du gâteau. Ils pèsent plus que le Japon, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la France, l’Italie et l’Inde réunis. De leur côté, le Nigeria, l’Égypte et l’Afrique du Sud, les trois plus grandes économies africaines, ne représentent, une fois rassemblés, qu’à peine 1,52 % du PIB mondial. Ce travail a été créé par Howmuch.net, un blog américain consacré à la datavisualisation économique, qui fonctionne sous licence Creative Commons.
Raconter le monde avec des messages : Enterre-moi, mon Amour Article originellement publié sur le blogue du Fonds des Médias du Canada. Cet article est un bon exemple du contenu que vous pouvez recevoir régulièrement dans votre boite mail si vous vous abonnez (gratuitement) à La Lettre des Nouvelles Narrations. Envoyer des messages depuis un téléphone est devenu l’une de nos activités préférées. Les applications de messagerie cumulent plus de 5 milliards d’utilisateurs actifs – un chiffre qui n’inclut même pas les services classiques d’envoi de SMS. Parmi les pionniers, le jeu mobile Lifeline a particulièrement marqué les esprits : vous y conversez avec un personnage seul sur une lointaine planète. L’immense succès commercial et critique de ce jeu a inspiré de nombreuses œuvres. Pour parler de l’émergence de ce nouveau genre ludique, j’ai discuté avec Florent Maurin, le créateur et producteur d’Enterre-moi, mon Amour. Le téléphone pour raconter le réel « Une migration, c’est en réalité une série de choix à faire. 700 000 signes Un nouveau genre
Broken Hopes, Oslo’s Legacy Qu’est-ce qu’un sans-abri ? A Bruxelles et en Belgique, les analyses ont longtemps été calquées sur la catégorisation de Maryse Bresson qui, en 1998, distingue « trois mondes de la marginalité qui se succèdent dans un processus de dégradation » : la « galère », la « zone » et la « cloche ». La première catégorie regroupe les personnes qui, à un moment de leur existence, connaissent une rupture brutale, perdent leur logement, mais arrivent à rebondir plus ou moins rapidement. La seconde, la « zone », correspond aux « chroniques », pour utiliser un terme aujourd’hui décrié. Ils fréquentent assidument les services sociaux, mais leur relogement pérenne est un travail long, voir à sans cesser recommencer. La troisième, « la cloche », regroupe ceux qui vivent en rue et qui ne fréquentent que ponctuellement les services sociaux. Dans l’imaginaire commun, la figure symbolique du sans-abri correspond à cette troisième catégorie, celle de la « clochardisation ».
Où sont les riches ? L’Amérique du Nord est la région qui compte le plus grand nombre de personnes fortunées. Cette infographie publiée le 27 mars sur le site de Howmuch, s’appuie sur les données de la société de conseil en immobilier Knight Frank qui publie chaque année un rapport sur les ultrariches. Elle montre que ce sont les États-Unis qui accueillent le plus de personnes disposant d’un patrimoine supérieur à 500 millions de dollars, hors résidence secondaire. Howmuch est un blog américain consacré à la datavisualisation économique fonctionne sous licence Creative Commons.
Secret spectacles The Sochi Project Driemaal daags een gehaktbal met room De treinreis vanuit een plek als Moermansk, of ver weg in Siberië duurt vele dagen. Vanuit heel Rusland komen in de vroege lente, zomer en herfst honderdduizenden naar Sotsji, om een periode in een sanatorium te slijten. Vaak is dat nog geregeld via hun gemeenten, fabrieken, werkgevers of vakbond, maar steeds worden de tripjes ook zelf geboekt. De treinreis vanuit een plek als Moermansk, of ver weg in Siberië duurt vele dagen. Maar als ze eenmaal voorbij de bergen komen en voor het eerst de Zwarte Zee zien, waar met enig geluk een dolfijn uit het water springt, de kleine kiezelstrandjes met de grote, witte hotels, palmbomen en theeplantages – dan is het het allemaal waard geweest. Kuststrook Sotsji Sotsji regio... Aantekeningen in behandelingsboekje. In Sotsji moet de all-inclusive vakantie zijn uitgevonden. In Sotsji moet de all-inclusive vakantie zijn uitgevonden. Bandieten uit Moskou Viktor Aleksejvitsj op het privéstrand van sanatorium Metallurg.
Sans-abri, SDF... : l'errance aujourd'hui à Bruxelles (2ème partie) - Bruxelles Santé En janvier 2001 paraissait le rapport d’une recherche commanditée par la COCOM au Groupe d’Etude sur le Racisme, les Migrations et l’Exclusion (GERME) [1], un document qui fait toujours référence aujourd’hui. Les professionnels qui y sont interrogés s’accordent sur un point au moins : le nombre de lits d’hébergement ne peut pas être déterminé par le seul critère climatique, même si le froid est évidemment un facteur aggravant. L’organisation du secteur doit être repensée en d’autres termes parce que les sans-abri ont besoin d’un lit en toutes saisons, que leurs conditions de vie ne sont pas forcément meilleures en été [2], et que le nombre de demandes varie en fonction de facteurs non saisonniers (p. ex. l’afflux de candidats réfugiés). De fait, les personnes que nous avons rencontrées sont unanimes : le phénomène parfois dénommé « sans-abrisme » ne va pas diminuer. La diversité des « figures » du sans-abri Vivre à la rue Qui participe à ces groupes de parole ?
Comment les riches détruisent le monde, par Hervé Kempf (Le Monde diplomatique, juin 2008) Les trois ou quatre générations situées à la charnière du troisième millénaire sont les premières dans l’histoire de l’humanité, depuis que les bipèdes arpentent la planète, à se heurter aux limites de la biosphère. Cette rencontre ne se fait pas sous le signe de l’harmonie, mais sous celui d’une crise écologique majeure. Soulignons-en quelques aspects. Le premier d’entre eux est l’inquiétude nouvelle des climatologues : ils raisonnent depuis quelques années sur l’hypothèse d’une irréversibilité possible du changement climatique. Jusqu’à présent, on pensait qu’un réchauffement graduel interviendrait, mais que, quand l’humanité se rendrait compte de la gravité de la situation, il serait possible de revenir en arrière et de retrouver l’équilibre climatique. Une deuxième observation est que la crise écologique ne se réduit pas au changement climatique. Cette entrée en matière définit l’urgence politique de notre époque. Comment ? Pourquoi cela est-il un moteur de la crise écologique ?
Snow Fall: The Avalanche at Tunnel Creek - Multimedia Feature Santé mentale et exclusion sociale La Chine est-elle si riche ? Courrier International et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu.