Internet, grandes surfaces, hard discount… Comment les Français font-ils leurs courses Les Français achètent-ils plutôt en ligne ou dans les grandes surfaces ? Ou préfèrent-ils les commerces de proximité ? Pour répondre à ces questions, l’Insee a dévoilé vendredi une étude sur les habitudes d’achats sur la décennie 2001-2011. Parmi les résultats à retenir : la nette augmentation en cinq ans des achats sur Internet pour les biens durables et culturels. 72% des dépenses alimentaires dans les grandes surfaces Les dépenses alimentaires restent quant à elles effectuées à 72% dans les grandes surfaces. Pour ce qui est de l’habillement, les Français se tournent encore massivement vers les magasins de vêtements. En vidéo sur le même thème - Achats sur Internet : quels sont les risques ?
Monter un réseau de distribution : Quand efficacité rime avec adaptabilité Ceux qui m’ont déjà lue auront compris, je suis amenée à beaucoup voyager dans le cadre professionnel et je réside à l’étranger depuis pas mal d’années. Je vais aujourd’hui partager avec vous une anecdote qui illustre assez bien le titre de cet article. Cette anecdote-ci, m’a été racontée par un ami récemment rencontré lors d’un voyage en Asie. Vous allez voir que la ligne droite n’est pas toujours le meilleur chemin pour arriver à ses fins. Mon ami en question, anglais, avait été mandaté par le ministère laotien de la santé pour monter un projet d’assurance maladie, une sorte de couverture santé locale. Après plusieurs mois de travail entouré d’une équipe de laotiens et d’occidentaux, le projet voyait le jour, l’assurance santé était prête et il ne restait plus qu’à informer la population laotienne de son existence afin de générer les adhésions. Cette anecdote illustre le sens de l’opportunisme de mon ami, mais aussi sa connaissance des étapes clés à respecter pour réussir.
Miliboo: Visite du premier showroom déco 100% connecté HIGH-TECH Le site de vente de produits de décoration miliboo.com ouvre à Paris son premier showroom où smartphones, tablettes et écrans tactiles guident le visiteur dans chaque rayon… Christophe Séfrin Créé le Mis à jour le Mots-clés Aucun mot-clé Transposer dans un magasin physique les techniques de vente du web et, pourquoi pas, réconcilier les deux univers, c’est le défi que lance miliboo.com. Des promotions par smartphone interposé Dans cette «boutique en version bêta» (une galerie de 600 mètres carrés qui pourrait ressembler à de nombreuses autres dédiées à la décoration), l’approche est résolument neuve et… branchée. 3000 références accessibles sur tablette Quel que soit le produit en magasin, celui-ci est équipé d’une étiquette NFC. Des écrans tactiles pour créer son canapé 6 écrans tactiles de 46 pouces participent également du parcours d’achat. On pourrait crier à la déshumanisation du commerce, mais les vendeurs restent présents. Canapé connecté
Franchise, concession ou coopérative... Six formules comparées Franchise, commission affiliation, licence de marque, concession, coopérative... Il existe plusieurs formules pour développer une enseigne en réseau. Pour un aspirant entrepreneur il peut être difficile de s'y retrouver entre toutes les propositions contractuelles. "Le terme franchise a tendance à être employé de façon générique, sans tenir compte de sa véritable définition juridique", indique Michel Kahn, consultant. Les différences sont pourtant réelles, et, avant de s'engager, mieux vaut connaître le fonctionnement des systèmes proposés. 1. La franchise est un mode de collaboration par lequel un franchiseur accorde à un franchisé le droit de commercialiser des produits et/ou des services en échange d'une rétribution financière (droit d'entrée et redevances). 2. La commission affiliation est très proche de la franchise : exclusivité territoriale, assistance, transfert de savoir-faire, droits d'entrée... 3. 4. 5. 6. Six formules à la loupe
Guerre des supérettes en centre-ville Alors que les ventes des hypermarchés de périphérie stagnent, les distributeurs alimentaires s'affrontent au coeur des zones urbaines. La bataille y est plus féroce et plus complexe. Débarqués en mars dans le XVe arrondissement de Paris, les Mousquetaires veulent devenir la référence du quartier Balard. Leur arme: Intermarché Express, une nouvelle enseigne calibrée pour le centre-ville. Ils ont inauguré une supérette de 875 m2, installée à la place d'un ancien garage. Un foyer typique de l'intensification de la guérilla que se livrent la quasi-totalité des distributeurs en centre-ville. 200 Intermarché Express d'ici à 2018 «Compte tenu des évolutions démographiques (vieillissement de la population, manque de temps, fragmentation des courses, baisse de la taille des ménages), ce format retrouve l'intérêt des grands distributeurs, analyse Jacques Dupré à l'IRI. Marks & Spencer Food à l'offensive à Paris
colloque 2014 - COLLOQUE E-MARKETING Nom des auteurs : Laurent ARNONE et Élodie DEPRINCE Titre: Le rôle des réseaux sociaux dans l'internationalisation des petites entreprises Mots clés : Petites entreprises, réseaux sociaux, internationalisation, relations, étude de cas, marketing Résumé : Cet article analyse le rôle des réseaux sociaux dans l’internationalisation des petites entreprises. Nom des auteurs : Soffien BATAOUI et Jean-Luc GIANNELLONI Titre: Présence sociale sur les sites marchands :Limites du concept d’atmosphère des sites marchands et apports potentiels du concept d’hospitalité virtuelle Mots clés : Hospitalité virtuelle, atmosphère, sites marchands, présence sociale, web-marketing marketing 3.0 Résumé : Entre nouvelles attentes des consommateurs et concurrence accrue dans le secteur du e- commerce, rendre les sites plus humains n’est plus un simple facteur différenciant mais devient un impératif. Nom des auteurs : Amira BERRICHE et Daphné SALERNO l’usage d’animations ? Nom de l'auteur : Nathalie MAUMON
Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce. Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group. Théâtraliser le magasin "Alors que sur Internet, on vient chercher un objet précis, le magasin doit déclencher un comportement "shopping", explique Cédric Ducrocq, le président du groupe de conseil Dia-Mart. Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Favoriser la relation humaine
La Redoute dévoile les dessous de son futur... - Textile, habillement Lequel site trouvera place à 300 mètres seulement de la plateforme actuelle de La Martinoire. Un déménagement en réalité tout sauf superflu. Pensez donc : dans la situation d’aujourd’hui, pas moins de cinq sites dispersés – certes dans un petit périmètre mais quand même – pour des capacités de traitements limitées à 160.000 références et, in fine, un délai nécessaire de… deux jours pour préparer et expédier les colis. Un non-sens à l’heure de la livraison en « J+1 »… Traiter les commandes en deux heures et non plus deux jours Demain, avec le site de Wattrelos, on oublie tout cela, enfin. « Nous sommes fiers de pouvoir présenter ce nouveau site, se réjouit Nathalie Balla, co-présidente de La Redoute. Semi-automatisé, « il permettra de traiter plus de 300.000 références simultanément et de préparer les colis dans un délai de deux heures après la commande », indique ainsi Patrick Fitzner, directeur de la logique de La Redoute. Une enveloppe de 50 millions d'euros allouée
High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... Soyons clairs, cette révolution numérique ne s'est pas faite sans douleur. A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique. Les formations aussi ont dû être adaptées aux exigences nouvelles de la clientèle. Claire Bader Surprise !
Recrutement de commerciaux : Faut-il être extraverti pour être un bon commercial ? Recrutement de commerciaux : Faut-il être extraverti pour être un bon commercial ? Le recrutement de commerciaux n’est pas une chose facile. Le recrutement des meilleurs commerciaux, encore moins… J’ai une question pour ceux qui recrutent encore au feeling : Vaut-il mieux recruter des gens introvertis ou extravertis ? Alors ? La réponse est ni l’un ni l’autre. Daniel PINK, dans son dernier (excellent) ouvrage, présente le résultat d’études à ce sujet. Daniel Pink commence par rappeler que les individus chez qui l’extraversion est forte, sont décrits comme sociables, affirmés, vifs. Comme pour faire bouger les autres il faut entrer en contact avec eux, les extravertis sont, par définition, plus à l’aise dans les situations sociales où les introvertis le seraient beaucoup moins. Les extravertis n’hésitent pas à dire ce qu’ils veulent et cette affirmation de soi est utile lorsqu’on doit convaincre un prospect. Eh bing ! Mais alors, est-ce que cela veut-il dire ? Voici un résumé de cette étude :
[Tribune] La boutique n'est pas morte mais doit être connectée Si la vente en ligne n'a représenté que 5,5% du commerce de détail français en 2013, les consommateurs sont résolument connectés : 91% d'entre eux se renseignent sur Internet avant d'effectuer un achat selon une étude Ifop. Le e-commerce ne va pas tuer la vente physique mais va la transformer en profondeur. La tendance est au "phygital" : l'utilisation complémentaire d'une stratégie digitale et des atouts d'un point de vente classique. Introduire le digital dans le magasin Les exemples de digitalisation des points de vente sont nombreux. Pour un shopping plus fun De nombreux dispositifs ludiques ont vu le jour et jouent sur cette convergence des techniques de vente digitales et physiques. Le beacon : un nouveau venu très prometteur La nouvelle étape de ce processus se présente sous la forme d'un outil particulièrement puissant : les beacons. D'abord développés par Apple et installés dans les Apple stores, les beacons connaissent aujourd'hui une forte croissance. Mathilde Roussel