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L’entreprise libérée : salariés responsabilisés, créativité débridée… leaders retrouvés ?

L’entreprise libérée : salariés responsabilisés, créativité débridée… leaders retrouvés ?
EUREKA. Notion née aux Etats-Unis il y a 30 ans, l’entreprise libérée renverse la gestion pyramidale des organisations. Ce modèle peut-il aller jusqu'à refonder le pacte social entre salariés et entreprise ? Selon une étude de l’institut Gallup, en 2012, seuls 9% des salariés s’estiment "engagés" dans leur entreprise, 65% travailleraient dans une relative neutralité et 26% des salariés se sentent activement désengagés. Dès les années 1960, les recherches RH, notamment avec Douglas McGregor, se penchent sur le sujet : s’il y a une problématique d’engagement dans l’entreprise, c’est dû à un problème de management. Liberté, confiance, autonomie, écoute et responsabilisation : derrière ces mots, qui ne sont pas sans rappeler les valeurs promues par les RH dans une entreprise comme Netflix, c’est une nouvelle façon de gérer les organisations ou de libérer l’entreprise qui se développe, et qui trouve un certain écho en France, notamment sous l’influence d’Isaac Getz, professeur à l’ESCP.

entreprise libérée, agile ou startup : les 7 secrets des entreprises qui surperforment Recevez un extrait de notre guide de survie aux réunions pour transformer vos réunions en moments funs et productifs ! Mais quel est le point commun entre Spotify, le service de streaming musical, FAVI, une fonderie en Picardie et Google, que l’on ne présente plus. A priori pas grand chose, et pourtant ces 3 entreprises ont au moins une chose en commun : elles surperforment dans leurs domaines d’activité. Voilà 3 représentants de 3 mouvances qui même si elles ne viennent pas du même univers partagent à y regarder de plus près un certain nombre de principes et de valeurs qui ont fait de ces organisations des exemples de réussites. Spotify, c’est l’entreprise agile par excellence. FAVI, c’est certainement la première entreprise libérée en France. Enfin Google, c’est l’exemple même de la startup qui a réussi et domine aujourd’hui son marché. Mais ces entreprises ont plus de points communs qu’il n’y parait, regardons ça de plus près. 1. Moins de managers et plus de confiance donc. 2. 3. 4. 6.

Comment devenir une « entreprise libérée  ? 4 case studies pour l’illustrer | «Le blog de l'entreprise collaborative On entend parler de l’entreprise libérée. Tout cela est très bien, mais concrètement, ça veut dire quoi ? Vous trouverez dans cet article 4 case studies qui vous décrivent les changements organisationnels effectués et aussi leurs conséquences positives sur la performance de l’entreprise. Je n’aurais jamais cru trouver cette précieuse source d’information sur ce site là…mais comme quoi, le bon contenu, la bonne idée ne vient pas que des experts… Je disais donc, je n’aurais jamais pensé trouvé cette précieuse sources d’informations sur ce site là, mais le mérite du contenu de ce billet revient à Marion Senand de …Cadreemploi.fr, dont j’ai mis le lien des 5 articles originaux à la fin de cet article. Pourquoi faut-il libérer l’entreprise ? Commençons par le commencement à savoir, pourquoi faudrait-il libérer l’entreprise ? 2/ La finitude des ressources sur lesquelles on a fondé notre modèle de croissanceInutile de développer ce sujet, tout le monde en a conscience. En conclusion J'aime :

Le management trop souvent en mode auto-destruction Par Philippe Deloeuvre, directeur de la stratégie La plupart des outils de management et des principes d’organisation, pensés et recommandés depuis des décennies, se retournent en ce moment contre nous. Lorsque c’est le prestigieux Boston Consulting Group (BCG) -- par la voix d’Yves Morieux[1] -- qui le dit, çà mérite de tendre l’oreille. Tout le monde est d’accord, les changements qu’induit la révolution numérique, et le rythme rapide auquel ils se produisent, sont tels qu’il y a urgence à repenser les principes d’organisation qui prévalent dans nos entreprises, ont estimé les experts, qui ont planché il y a quelques jours à Paris, lors de la 8ème conférence annuelle de l’USI. Car la plupart des grandes firmes continuent de travailler globalement comme par le passé, constate Aaron Dignan, en lançant la conférence. Dignan enchaîne : aux Etats Unis, 68% des salariés des entreprises se déclarent non investis. « Personne n’a de théorie », poursuit il. Alors, où trouver l’inspiration ?

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