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Keynésianisme

Keynésianisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. Pour Alan Blinder[1] le keynésianisme s'articule autour de six principaux traits dont trois concernent le fonctionnement de l'économie et trois les politiques économiques. (1) la demande agrégée est erratique ;(2) les inflexions de la demande ont une plus grande influence sur la production et l'emploi que sur les prix ;(3) les prix et spécialement les salaires réagissent lentement au changement de l'offre et de la demande. À partir de là, les keynésiens avancent trois principes de politique économique : Les grands traits du keynésianisme[modifier | modifier le code] Demande effective et loi de Say[modifier | modifier le code] La demande effective est la demande anticipée par les entrepreneurs. La fonction de Consommation (C) : et donc

École néo-classique Le mot néoclassique a été introduit à l’origine par Thorstein Veblen[1] en 1900 pour désigner des auteurs qui intègrent la révolution marginaliste initiée par Stanley Jevons et l'école autrichienne (il n'évoque pas Léon Walras). Les « classiques » sont Adam Smith et David Ricardo, qui ont vécu la 1re révolution industrielle anglaise (coton, fonte et charbon). Thorstein Veblen classe notamment sous le vocable de « néoclassique » Alfred Marshall et les Autrichiens. À partir des années trente à la suite des travaux de John Hicks le courant walrasien va prendre une place croissante et incorporer une partie de l'apport keynésien à travers la synthèse néoclassique. Cette évolution va conduire les économistes dits « autrichiens » à se considérer de plus en plus comme hors de l'école néoclassique et à approfondir ce qui les différencie des autres courants marginalistes. À la question « Qui n'est pas néoclassique ? Historique[modifier | modifier le code] Cette innovation méthodologique, selon J.

Les banques spéculent sur les matières premières et les aliments Plusieurs banques des États-Unis sont allées plus loin que les européennes dans la stratégie de contrôle d’une part du marché des commodities, il s’agit de JP Morgan, Morgan Stanley et Goldman Sachs. Par exemple, JP Morgan a importé aux États-Unis 31 millions de barils de pétrole au cours des quatre premiers mois de l’année 2013 ! Les banques des États-Unis sont propriétaires de raffineries de pétrole, de centrales électriques, de réseaux de distribution d’énergie, d’entreprises de stockage de métaux, de stocks de produits agricoles, d’entreprises d’exploitation de gaz de schiste… Comment en est-on arrivé là ? Après avoir fait de plantureux bénéfices en manipulant les cours, les banques les plus présentes sur le marché physique des commodities ont adopté une stratégie de sortie. Ces banques sont des acteurs de tout premier ordre dans le développement de la bulle spéculative qui s’est formée sur le marché des commodities |9|. Michael W. Sur le plan local, il convient d’ajouter : Notes

Monnaie permanente Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une monnaie permanente est une monnaie dont la contrepartie (l'actif monétisé) est permanente. Elle ne peut être détruite[1] et résulte de la création monétaire au même titre que la monnaie d'endettement. Cette création monétaire a différentes appellations selon les économistes. Appellations[modifier | modifier le code] Le terme « monnaie permanente » est utilisé par Gabriel Galand[2] et Pierre Aunac[3]. Certains économistes parlent également d'Hélicoptère monétaire. Finalité[modifier | modifier le code] Les économistes qui préconisent la création de monnaie permanente le font généralement soit pour remplir des objectifs difficilement atteignables avec de la monnaie d'endettement, soit pour financer une relance rapide en cas de crise. Cas de crise[modifier | modifier le code] Modalités de création[modifier | modifier le code] Alain Grandjean cite quelques modalités de création de monnaie permanente[1] : Débat[modifier | modifier le code]

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