Se libérer de ses injonctions parentales Il arrive que l’on se sente, ou que les autres nous sentent, limité, mal à l’aise, effrayé, bête, voué à l’échec, froid, distant, solitaire… Ce peut être lié à des décisions prises dans l’enfance en réponse à des messages négatifs, inhibiteurs, transmis par nos figures parentales. Je vous propose de faire le tour de la questions de ces messages appelés « injonctions » en Analyse Transactionnelle. Au travers de leur expérience en tant que thérapeutes et analystes transactionnels, Bob et Mary Goulding, ont mis en évidence, dès la fin des années 60, que 12 thèmes fondamentaux apparaissent de façon récurrente comme étant à l’origine des décisions prises dans l’enfance. A chacun de ces thèmes, appelés « injonctions » correspond son contraire : une « permission ». Ces injonctions, aussi appelées messages inhibiteurs sont des messages d’interdit, verbaux ou non, délivrés dans l’enfance pas nos figures parentales. « N’existe pas » « Ne sois pas toi-même » « Ne sois pas un enfant » « Ne fais pas »
Paradoxe : ne changez rien ! Quand notre action n’a pas l’effet escompté, souvent nous essayons encore, davantage, ou plus fort. Or il arrive qu’au lieu de nous rapprocher de la victoire, ce choix nous en éloigne en créant un cercle vicieux. « Toujours plus de la même chose » donne « toujours plus du même résultat » nous dit Paul Watzlawick, et l’approche paradoxale de l’école de Palo Alto nous invite à réfléchir sur les situations où notre insistance s’avère contre-productive. Essaye… non pas « encore », mais autrement ! « Ne changez rien ! » pourrait être une injonction parfois ironique de l’approche paradoxale. Cette approche de résolution de problèmes est née dans les années 60 à Palo Alto, Californie. En résumé cette approche dite « paradoxale », issue de l’approche globale systémique, consiste à briser les cercles vicieux. Comment ? Ecoutez la parabole de Paul Watzlawick* sur le sujet : « Sous un réverbère, un monsieur visiblement éméché scrute longuement le trottoir. Bien sûr, l’histoire semble absurde.
L’injonction paradoxale ou le changement comme manipulation L’injonction paradoxale ? On en parle beaucoup, mais qui sait de quoi il s’agit ? Voici une introduction à l’une des techniques les plus anciennes de conduite du changement. Elle a beaucoup fait pour sa mauvaise réputation. « Si tu ne fais pas tes devoirs, tu n’auras pas de dessert. » Voilà l’enfance de toute manipulation. Obtenir ce que l’on veut d’une personne sans appel à son libre arbitre. Un mécanisme diabolique Injonction paradoxale ? Obtenir l’impossible Un avocat m’a parlé du cas suivant. La responsabilité, antidote à l’injonction paradoxale Pas plus qu’Enron, un régime gouverné par la terreur n’est durable. Comment éviter l’injonction paradoxale ? Quand on donne des ordres, être responsable, c’est s’assurer que ce que l’on demande est possible. Et l’on peut faire d’une pierre deux coups. Que retenir ? L’idée clé ici est celle de contrat. Références
Contrôlez votre stress par la détente du 2ème cerveau Il produit également de 70 à 85 % des cellules immunitaires de l'organisme. Selon le Dr Gershon, nos deux cerveaux, celui de notre tête et celui de notre ventre doivent coopérer. Si ce n'est pas le cas, il se produit le chaos dans notre ventre (accompagné de douleurs abdominales), et la misère dans notre tête. Un autre médecin, le Dr Devroede, s'est également intéressé sur les liens entre le physique et le psychique. Pour ce médecin, le ventre représente le centre d'archives de notre vie émotionnelle. Il semble donc bien établi maintenant que la totalité du tissu nerveux intestinal et des substances à destination des neurones sont en communication permanente avec le cerveau par l’intermédiaire du nerf vague. Le 2ème cerveau et la médecine du Tao Ce que la médecine moderne découvre depuis peu, les anciens Taoïstes, il y a plus de 400 ans, en étaient parfaitement conscients. Le plexus solaire affecte tous les organes de la région abdominale. L’auto-massage abdominal Tous les articles
LES DIX SECRETS DE L'ART ORATOIRE Les dix secrets de l’art oratoire (aujourd’hui, permettez que je partage avec vous un article du cabinet IMPROOV) Chaque jour, chacun de nous est confronté à des situations ou il doit mettre en jeu ses talents de communicateur par la prise de parole ; plus encore en entreprise lorsqu'on est a un poste de responsabilités, lorsqu'on travaille dans la communication ou qu'on est celui qui fait souvent office de porte parole. Si la prise de Parole est le plus souvent associée à un orateur face à un public important, nous savons certainement que l'impact des interventions ne dépend pas du poste qu'on occupe, de la voiture qu'on conduit, du costume ou du tailleur qu'on porte , du nombre de spectateurs, de la beauté de la salle ou encore de la hauteur de la tribune ! Communiquer avec assertivité dépend d'autres facteurs que certains ont acquis par expérience et que d'autres maitrisent naturellement, mais que plusieurs autre ont besoin de développer. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.
10 conseils pour rendre votre présentation mémorable Nancy Duarte a travaillé sur les présentations de Google, Facebook, Adobe, Microsoft, Twitter ou encore Al Gore. Dans son livre « Vibrations », elle offre une marche à suivre précise et des conseils pour créer et délivrer une présentation mémorable. Que vous veniez à Shake en tant que speaker, exposant ou visiteur (et même si vous ne venez pas à Shake : on vous aime quand même, continuez à lire) — nous avons sélectionné soigneusement 10 de ses conseils, pour vous aider à faire briller la rockstar du pitch qui est en vous. Mettez-vous dans le bon état d’esprit 1. Dans votre présentation, ne parlez pas trop de vous, faites du public le centre du monde. En plus il a la classe Yoda, non ? 2. Vous voulez un élément clé pour captiver l’attention de votre auditoire et lui faire ressentir tout l’intérêt de ce que vous racontez ? 3. « Composer une présentation sans avoir un public particulier à l’esprit revient à écrire une lettre d’amour adressée « à qui de droit » ». Structurez votre discours 4.
10 distorsions cognitives qui entretiennent des émotions négatives Le terme distorsion cognitive a été introduit en 1967 par le psychiatre américain Aaron T. Beck, pionnier de la psychothérapie cognitivo-comportementale. Selon son modèle, les distorsions cognitives sont des façons de traiter l'information qui résultent en erreurs de pensée prévisibles ayant souvent pour conséquence d'entretenir des pensées et des émotions négatives. Elles contribuent ainsi aux troubles émotionnels tels que la dépression et l'anxiété ainsi qu'aux troubles de la personnalité. Dans son travail avec des personnes atteintes de dépression, Beck a identifié six erreurs systématiques de pensée : La pensée « tout ou rien » ou « noir ou blanc » Penser de façon dichotomique (polarisée) sans nuance : tout ou rien, noir ou blanc, jamais ou toujours, bon ou mauvais…. Par la suite (1980), le psychologue David Burns a identifié quatre autres distorsions : Le raisonnement émotionnel Prendre pour acquis que des états émotifs correspondent à la réalité. Psychomédia Tous droits réservés.
Névrose définition Une névrose est un trouble mental qui s'exprime par un dysfonctionnement du système nerveux avec des troubles du comportement dont le sujet est douloureusement conscient mais sur lequel il n'a aucune prise. Ce qu'il se passe Dans ce cas, il n'existe pas de lésions anatomiques du système nerveux. Les signes généraux des névroses Chaque névrose possède son mode d'expression particulier, comme un peintre choisit ses couleurs. une anxiété importante qui peut aller jusqu'à l'angoisse une incapacité à se distancier vis-à-vis des évènements et à les relativiser. Ce qu’il faut bien comprendre Les névroses que nous venons de citer sont assimilables à des maladies mentales. Une nuance sur ce terme de "maladie mentale" : elle ne se définit que par rapport à une normalité fixée par la société. Comme nous l'avons expliqué, chacune de ces névroses est l'aboutissement extrême d'un traumatisme provoqué par des conflits refoulés dans l'enfance. Les symptômes
Le jour où je me suis aimé pour de vrai de Kim et Alison Mc Millen Voici un magnifique texte de Kim et Alison Mc Millen intitulé « Le jour où je me suis aimé pour de vrai ». Ce n’est pas normalement dans mon habitude de publier des textes ou des poèmes, mais j’avoue que certains textes sont en train de me faire changer d’avis ces derniers temps… et c’est le cas de « Le jour où je me suis aimé pour de vrai » ! Je dois vous avouer que ce poème m’a complètement « retourné » :) et je ne pouvais faire autrement que de le partager à mon tour avec vous. Je vous laisse déguster ce petit bijou ;) Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle … Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Maux de dos - Les causes émotionnelles des maux de dos Le dos représente le soutien et le support de la vie. Si mon fardeau est trop lourd, si je manque de support ou si je ne me sens pas assez supporté, mon dos réagira en conséquence et des douleurs peuvent faire leur apparition. Un dos souple indique une certaine souplesse mentale et une grande ouverture d'esprit contrairement aux raideurs dorsales qui signifient orgeuil, pouvoir et refus de céder. Les vertèbres cervicales C4,C5,C6 réagiront à de l'injustice que je peux avoir l'impression de vivre dans ma vie ou à celle que je vois autour de moi et qui me répugne. Le milieu du dos représente le grande région thoracique du corps. Le bas du dos fait partie du système de soutien.