Le vendeur connecté : 2 compétences clés|Le blog du Manager commercial Julie Herman nous parle du point de vente connecté sur le blog de la stratégie marketing Qui dit point de vente connecté dit vendeur connecté. Quelles sont les compétences clés du vendeur connecté ? Si le point de vente se doit avant tout d’être un lieu d’expérience forte pour le client, si la théâtralisation de l’espace, la mise à disposition des outils digitaux y participent grandement, c’est l’expérience vécue par le client avec le vendeur qui va faire la différence. Le vendeur connecté devra maitriser deux dimensions. Le vendeur connecté est un expert C’est la condition sine qua non de sa crédibilité. Expert de son offre Replongeons-nous quelques années en arrière : il suffisait au vendeur de maitriser les principaux points techniques de son technique, parfois même de relire rapidement la fiche technique du produit, pour faire illusion auprès d’un client profane, facilement impressionné par quelques termes techniques débités avec assurance. Expert de l’offre concurrente Ecoute du client
Facebook et YouTube en tête des sites les plus visités au bureau ! > > > Facebook et YouTube en tête des sites les plus visités au bureau ! Olfeo vient de publier son étude annuelle sur l’utilisation d’Internet sur le lieu de travail, une étude qui dévoile que les français y ont augmenté leur temps de surf de 11 minutes par rapport à 2012. Désormais, ce sont en moyenne 108 minutes par personnes et par jour qui sont consacrées à la navigation sur Internet. Mais le plus alarmant concerne le temps que ces employés consacrent à leur utilisation personnelle. En effet, pas moins de 58% de ces minutes passées sur Internet, soit 63 minutes, seraient réservées à l’utilisation de Facebook, YouTube, Wikipedia ou encore Le Bon Coin. Selon l’étude, la productivité d’un salarié chuterait de 14% en moyenne. La réalité de l’utilisation d’Internet au bureau, par Olfeo. Crédits photos : Rock1997 Partager cet article Inactif
Le CROSS CANAL, c’est une révolution ! Que ce soit sur son ordinateur, sa tablette ou son smartphone, un consommateur prépare aujourd’hui 8 fois sur 10 son achat en ligne avant de se rendre en magasin. A priori, on pourrait penser que les grandes enseignes de distribution qui possèdent, pour la quasi-totalité d’entre elles, quel que soit leur secteur d’activité (habillement, alimentation, etc.), un réseau de distribution physique et un réseau de distribution virtuel (un site Internet marchand sur lequel il est possible d’acheter tout ou partie de ce qui est disponible en magasin), sont bien préparées à ce nouveau comportement mais seuls 17% des consommateurs trouvent à l’heure actuelle qu’elles rendent, dans les faits, agréable le passage d’un canal à un autre (1). Pour répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, elles doivent par conséquent changer en profondeur leur stratégie de distribution et penser désormais CROSS CANAL ! Qu’est-ce qu’un consommateur cross-canal ? Xavier Schneider (Illustration par Eric Taccone) Notes
bouhmouch à cor et écrit: LE MODELE EKB DU COMPORTEMENT D’ACHAT ET SES LIMITES Un individu a l’intention d’acheter un micro-ordinateur afin de se connecter à internet. Loin de se lancer sur un coup de tête, il consulte les sites internet spécialisés, fait le tour des magasins, compare les prix, interroge les vendeurs. Finalement, il opte pour un modèle assez cher de marque Sony… Mais à l'utilisation, il a l’impression d’avoir fait un mauvais choix. Il veut se rassurer auprès du technicien-vendeur. Au téléphone, les réponses de celui-ci ne sont pas cohérentes. De là, ces questions : le consommateur a-t-il un comportement rationnel ? Processus de décision d’achat L'étude du comportement du consommateur est vitale pour l'entreprise en raison de son impact sur toutes les décisions marketing (stratégie, mix). Ce processus est schématisé grâce à des modèles. Le modèle EKB s'inscrit dans une optique logico-rationnelle en considérant que l’acheteur adopte une approche méthodique et réfléchie. Limites du modèle EKB Thami BOUHMOUCH Janvier 2015 (4) R. (5) Cf.
Diagramme de causes et effets Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Diagramme de causes et effets, ou diagramme d'Ishikawa, ou diagramme en arêtes de poisson ou encore 5M, est un outil développé par Kaoru Ishikawa en 1962[1] et servant dans la gestion de la qualité. Description et fonctions[modifier | modifier le code] Ce diagramme représente de façon graphique les causes aboutissant à un effet. Ce diagramme se structure habituellement autour du concept des 5 M. Chaque branche reçoit d'autres causes ou catégories hiérarchisées selon leur niveau de détail. Le positionnement des causes met en évidence les causes les plus directes en les plaçant les plus proches de l'arête centrale. Variantes[modifier | modifier le code] Les termes « Moyens » ou « Machines » remplacent parfois la catégorie « Matériel ». Une caractéristique peut également être ajoutée dans les univers de production avec un neuvième « M », celui de « Maintenance ». Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ (en) Matthew A.
Les métiers de vendeurs, évolution et devenir - Spécial PROS n°31 | Action Vente Pour continuer sur le sujet de la vente en B to C, je vous propose dans cette chronique de décomposer les métiers de la vente en 5 paliers, représentant à mon sens les 5 types d’actions de vente classées dans cette catégorie. Cette échelle permettra a chacun de se positionner, tant les chefs d’entreprise que leurs employés en contact avec la clientèle. Bien entendu, il faut préciser que chaque palier des métiers de la vente est totalement respectable et peut avoir sa raison d’être, et qu’il n’est absolument pas question ici de dénigrer l’un ou l’autre. Mon propos est ici de mettre en lumière ces 5 paliers, afin que chacun puisse choisir sa stratégie. Ensuite, chacun choisira, soit de rester sur sa « marche », soit, ce à quoi je vous engage vivement, à gravir les « marches du palier » pour améliorer, d’une part, ses résultats financiers, mais aussi, pouvoir connaitre et vivre les extraordinaires sensations du métier de vendeur, au fur et a mesure de cette ascension. II – Paliers 1 -2 – 3
Cross canal Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cross-canal est l’adoption de nouveaux comportements par les clients, qui opèrent un changement de canal durant leur processus de décision, alors même qu’ils étaient tenus auparavant de réaliser l’ensemble des étapes de ce processus (identification du besoin, recherche des informations, évaluation des alternatives de choix, choix, évaluation post-achat) auprès du seul canal disponible[1]. Définition et concept [modifier | modifier le code] Depuis les années 2000, attirées par les opportunités de croissance offertes par internet, de nombreuses entreprises de distribution, issues de l’économie dite « traditionnelle », ont développé des sites internet parallèlement à leurs points de vente. On utilise ainsi le terme « multi-canal » pour désigner l’utilisation de plusieurs canaux par une même entreprise sans lien particulier entre eux[2]. Passage du multi-canal au trans-canal en passant par le cross-canal [modifier | modifier le code]
lsa-conso En 2012, tous circuits confondus, il s’était vendu 400 millions de litres de nectars. En 2013, leurs ventes sont tombées à 287 millions de litres, selon l'association des professionnels du jus de fuits, Unijus qui prévoit que d’ici quelques années, les nectars de commodités disparaitront du marché. Seuls resteront les nectars valorisés, ceux à l’abricot, à la pêche ou encore à la banane. "C'est dommage, regrette Emmanuel Vasseneix, président d'Unijus. Les nectars de commodités sont composés à 25%, voire 50%, de jus de fruits. Ils permettaient aux familles modestes de consommer du jus de fruits". Les Français, fans de pur jus Les nectars ne représentent plus que 17,6% du marché contre 48,9% pour les pur jus (800,6 milions de litres, +1,83% versus 2012) et 33% pour les jus à base de concentré (540,1 millions de litres, -3,15%). « La France est un marché de pur jus, ce qui est atypique en Europe, explique Emmanuel Vasseneix, président d’Unijus.
11 techniques de vente que tout bon commercial doit maîtriser en 2021 Les nouveaux comportements clients qui ont entraîné puis accéléré la transformation digitale des organisations, provoquent par ricochet le bouleversement des stratégies marketing et des techniques de vente. En seulement quelques années, nous sommes passés d’une vision “autocentrée” sur le produit/service/marque à une vision centrée client et solutions. Alors forcément, si vos clients sont digitaux dans le parcours d’achat, cela veut dire que vos commerciaux doivent faire évoluer leurs méthodes et leurs outils, afin d'offrir une expérience client irréprochable et vendre toujours plus efficacement. La vente à distance reste incontournable pour l’année 2024, notamment suite à la crise sanitaire qui a démarré ces dernières années. C’est un changement majeur pour de nombreuses entreprises, mais qui est indispensable pour soutenir la bonne marche des affaires. Et pour recevoir directement cet article au format PDF dans votre boite mail, vous pouvez vous inscrire rapidement ici : La méthode BANT
7 erreurs de vente courantes : comment les éviter ?- Le courrier du meuble et de l’habitat Le taux de transformation de certains vendeurs varie de 0 à 50 %, tandis que d’autres dépassent les 50 %, pouvant atteindre 70-80 % sur l’année. Pourquoi de tels écarts ? Se fier simplement à son intuition peut coûter cher. Quelles sont les erreurs couramment commises par certains vendeurs ? En voici 7, parmi d’autres, qui freinent l’atteinte de ses objectifs de CA. Erreur 1 : Négliger le 1er contact avec un client potentiel par téléphone, par email et en face-à-face La vente peut être perdue dès le 1er contact, à cause de la première opinion du client suite à un 1er échange. Erreur 2 : Travailler, argumenter trop tôt sur le projet d’achat du client, sans avoir recueilli toutes les réponses précises à des questions essentielles de découverte Il est couramment admis par les meilleurs vendeurs que le 1er contact et la découverte correspondent à 70 % du succès d’une vente. Une fois la vente conclue, certains vendeurs passent rapidement au client suivant. Ne manquez aucune info du secteur
Points de Vente.fr - Le magazine de la distribution et du commerce Vendre en omni-canal, une démarche par étapes prudentes chez l’enseigne Courir - La Revue du Digital La crise sanitaire accélère la mise en place de la vente en omni-canal pour l’enseigne Courir afin de soutenir sa croissance. Spécialiste du sneaker en magasin et sur le web Ce spécialiste de la basket et du sneaker en France a un positionnement mode. « Nous avons cru tôt et fort à l’omni-canal » réagit Julie Karsenti, Chief Marketing & Digital Officer de Courir. « Nous déployons actuellement l’intégralité de la plateforme SoCloz sur l’ensemble de notre réseau de magasins. C’est un objectif à la fois ambitieux et réaliste par rapport au contexte sanitaire actuel » poursuit-elle. En 2015, l’enseigne témoignait sur notre site de la mise en place d’un référentiel client unique. L’enseigne Courir active de nouveaux dispositifs de vente en omni-canal Ce projet de transformation omni-canal est transversal. La marque Courir dispose de 320 magasins en Europe dont 283 magasins en France. L’enseigne a procédé par des étapes de « test & learn » Les infos clés sur ce sujet