Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (1/5) : un réseau d’humains et de machines enchevêtrées Par Hubert Guillaud le 09/02/10 | 12 commentaires | 18,511 lectures | Impression “Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ?”, telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. Difficile d’en faire une synthèse, tant les contributions sont multiples et variées et souvent passionnantes. Que les répondants soient fans ou critiques de la révolution des technologies de l’information, en tout cas, il est clair qu’internet ne laisse personne indifférent. “Une nouvelle invention a émergé, un code pour la conscience collective qui nécessite une nouvelle façon de penser”, explique John Brockman, l’éditeur de The Edge. L’internet change la façon dont nous décidons Pour le physicien Daniel Hillis, le réel impact de l’internet a été de changer la façon dont nous prenons des décisions. Pour Marissa Mayer de Google, “l’internet n’a pas changé ce que l’on sait, mais ce que l’on peut trouver”.
Définition |Knowledge Management - Gestion des connaissances Septembre 2017 Introduction au Knowledge Management On appelle « Knowledge Management » (noté KM, en français management des connaissances ou management par les connaissance) les méthodes et outils logiciels permettant d'identifier, de capitaliser les connaissances de l'entreprise afin notamment de les organiser et de les diffuser. Connaissances tangibles/explicites On distingue généralement les connaissances tangibles (également appelées connaissances explicites) de l'entreprises, contenues dans les bases de données ou bien dans tous les documents papiers ou électroniques, des connaissances tacites (également appelées connaissances intangibles ) composées des connaissances, du savoir-faire et des compétences de l'ensemble du personnel (on parle ainsi de « capital immatériel »). En effet, ce sont bien les ressources humaines d'une entreprise qui en font la force, la réactivité et le dynamisme, ou plus exactement le travail en synergie de ces différentes personnes.
Gestion des connaissances Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gestion des connaissances (en anglais knowledge management) est une démarche managériale pluridisciplinaire qui regroupe l'ensemble des initiatives, des méthodes et des techniques permettant de percevoir, identifier, analyser, organiser, mémoriser, partager les connaissances des membres d'une organisation – les savoirs créés par l'entreprise elle-même (marketing, recherche et développement) ou acquis de l'extérieur (intelligence économique) – en vue d'atteindre un objectif fixé. Définition[modifier | modifier le code] Actuellement, nous sommes submergés d'informations. La Gestion des Connaissances est une démarche stratégique pluridisciplinaire visant à atteindre l'objectif fixé grâce à une exploitation optimale des connaissances.[1] D'après des praticiens et des académiciens tels que R. Historique[modifier | modifier le code] Enjeux et objectifs[modifier | modifier le code] Les formes des connaissances[modifier | modifier le code] SI MARIÉ(?
Structure et culture de l'innovation : comment digitaliser une organisation ? Une fois qu’on a appris les techniques de base pour communiquer sur les réseaux sociaux, on est susceptible de se retrouver face à un autre problème. Celui de ne pas pouvoir appliquer ces idées-là au sein d’une organisation rigide qui ne permet pas (encore) l’innovation par l’essai, la réussite par l’échec. De fait, il est nécessaire d’avoir révolutionné la structure interne de l’entreprise, et lui prodiguer une culture interne lui permettant de vraiment s’essayer aux réseaux sociaux. C’est le point de départ (qui a depuis été galvaudé, nous y reviendrons) de la réflexion que le top management d’une entreprise doit intégrer dans son système de pensée. 1946 : L’ENIAC, le premier ordinateur commandé en 1942 par l’armée américaine, afin d’effectuer des calculs de balistiques. Facebook en est l’exemple le plus flagrant. Les comptes Twitter et profils Facebook personnels ont poussé les entreprises à créer des profils professionnels pour la communication externe. L’adhocratie Google+
Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (2/5) : la grande question de l’attention « Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ? », telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. Difficile d’en faire une synthèse, tant les contributions sont multiples et variées et souvent passionnantes. Que les répondants soient fans ou critiques de la révolution des technologies de l’information, en tout cas, il est clair qu’internet ne laisse personne indifférent. S’il est une grande question qui traverse la majorité des contributions des experts recueillis par The Edge, c’est bien celle de l’attention. L’internet nous rend-il plus attentifs ? Un avis que ne partage pas le philosophe Daniel Dennett, professeur au Centre d’études cognitives de la Tufts University. L’attention est l’alphabétisme du XXIe siècle « Ma façon de lire et mes habitudes de pensée ont radicalement changé depuis que j’ai ouvert une session sur le Net. L’internet affecte jusqu’à notre Moi Hubert Guillaud
Définition | Savoir, connaissance, compétence | Coop'ICEM Le savoir est une donnée, un concept, une procédure ou une méthode qui existe à un temps donné hors de tout sujet connaissant et qui est généralement codifié dans des ouvrages de référence. Le savoir ne peut pas se confondre avec un ensemble de connaissances. L’acquisition d’un savoir suppose un processus continu d’assimilation et d’organisation de connaissances par le sujet concerné. Ce qui s’oppose à une simple accumulation et rétention. On parle aussi de savoirs formalisés : connaissances et procédures de savoirs agissants : savoir-faire, expérience de savoirs intellectuels : appropriation ou conception de concepts et plus récemment de savoir être : Capacité à s’adapter à des situations variées et à ajuster ses comportements en fonction des caractéristiques de l’environnement, des enjeux de la situation et du type d’interlocuteur. Etat de celui qui connaît ou sait - Ensemble des choses connues d’un savoir. La connaissance est indissociable d’un sujet connaissant.
Documentaliste d'entreprise Le documentaliste d'entreprise doit faciliter l'accès à l'information à l'ensemble des salariés. De nos jours, il est primordial que les services de documentation soient gérés par des ressources compétentes afin d'offrir aux décisionnaires une information précise, pertinente leur permettant de rester compétitifs. En entreprise, le documentaliste travaille dans un contexte bien souvent international avec des demandes spécifiques des collègues qui le font ainsi travailler en mode projet. Ainsi, aux travaux classiques de collecte d'informations, de gestion et d'organisation de contenus et de bases de données, de constitution et de conservation de documents imprimés, numériques... vont s'ajouter des tâches d'analyse des besoins des usagers, de recherche d'informations ou encore de veille. Tous droits réservés Un documentaliste d'entreprise, avec un bac +2, commence avec un salaire annuel brut compris entre 16 et 22 000 euros.
Construire l'environnement optimal d'apprentissage (Heutte, à paraître) - Bloc notes de Jean Heutte : sérendipité, phronèsis et ataraxie sont les trois mamelles qui nourrissent l'Épicurien de la connaissance ;-) Ce qu’il est désormais convenu d’appeler la société de la connaissance marque un tournant historique à bien des égards. 10 000 ans après la révolution agraire (le pouvoir réside dans la force humaine ou animale qui permet de réaliser les travaux des champs), et à peine 200 ans après la révolution industrielle (le pouvoir réside dans l’argent qui permet d’acquérir ou transformer les matières premières en objets de consommation), un nouveau secteur d’activité émerge dans les pays les plus avancés, cette « 3e vague », qui selon Toffler (1980) vient se superposer aux deux précédentes, est portée par la connaissance. Ainsi, la connaissance constituerait un nouveau pouvoir de nature bien supérieure à la force, capable, de supplanter même l’argent. Le sentiment d’acceptation : moteur de l’apprentissage individuel et collectif L’expérience optimale d’apprentissage : le plaisir de s’apercevoir que l’on comprend Bandura, A. (2003). Carré, P. (2005). Csikszentmihalyi, M. (2004). Deci, E.
i-KM Management des connaissances Définition | Intelligence collective et Big Data : Deux sources de savoir interconnectées À l’ère du Big Data, l’intelligence collective des êtres humains permet de générer de nombreuses données pour résoudre certains des principaux problèmes de l’humanité. De même, elle permet d’analyser certaines données plus efficacement que les algorithmes informatiques. Découvrez la relation étroite entre intelligence collective et Big Data. La notion d’intelligence collective désigne une intelligence de groupe, ou une intelligence partagée émergeant de la collaboration, des efforts collectifs ou de la compétition entre plusieurs individus. L’intelligence collective peut être perçue comme une propriété émergente de la synergie entre le savoir offert par les données, les logiciels, le hardware informatique, et les experts de domaines spécifiques, permettant de prendre de meilleures décisions au moment opportun. Le concept d’intelligence collective est utilisé en sociologie, en informatique, mais aussi dans le domaine du business. Origine du concept d’intelligence collective
Le knowledge manager au carrefour des compétences techniques, métiers et de veille - Le Knowledge Manager au service de la connaissance - Journal du Net Solutions Responsable de l'ingénierie des connaissances, knowledge worker, gestionnaire des connaissances, knowledge manager,... Pléthore de dénominations existent pour qualifer le rôle de la personne chargée de la gestion des savoirs dans l'entreprise. Pourtant, tous aspirent à un seul et unique objectif, à savoir trouver le moyen de valoriser le potentiel de connaissances disponibles dans l'organisation pour la mettre au service de chacun. Et contribuer par ce biais non seulement à l'efficacité individuelle des collaborateurs mais à celle, collective, de l'entreprise toute entière. Les stratégies mises en place pour y parvenir varieront cependant en fonction des profils de knowledge manager existants. "Le rôle des managers de communautés s'inscrit dans la gestion opérationnelle de la démarche KM" (Laure Gitton - Directeur KM chez Logica Management Consulting)
Thérorie | Le management des connaissances : des clés pour comprendre Lors d’un récent entretien conseil de VAE, une responsable de rayon dans la grande distribution me racontait comment elle testait ses nouveaux vendeurs en les mettant en situation, tout en concluant que c’était « sa façon à elle de le faire » et qu’elle n’avait pas le pouvoir d’embaucher puisque celui-ci était dévolu au DRH « compétent dans le domaine », en précisant qu’elle ne savait pas recruter. Alors que je lui faisais prendre conscience qu’elle possédait des compétences de recrutement, elle me précisa « qu’elle ne s’était pas rendu compte qu’elle en avait », mais qu’en réfléchissant bien « elle avait présenté sa façon de tester » lors de la réunion des cadres et que certains de ses collègues avaient adopté cette approche, en l’adaptant à leurs rayons. On pourrait ainsi multiplier les cas concrets où des professionnels mettent en place des process en utilisant leur expérience et se les transmettent en les enrichissant au passage. 1. 1.1. 1.2. 1.3. 2. 2.1. 2.1.1. 2.1.2. 2.1.3. 2.2.