Why Intuit Founder Scott Cook Wants You To Stop Listening To Your Boss One thing that's surprising about Scott Cook, the founder of Intuit, is that this intensely smart guy who's become one of the most successful entrepreneurs in history doesn't think you should listen to his ideas. He wants you to run experiments. When he was in New York recently, he told Fast Company why. The interview below has been condensed and edited. The Quandary As you grow as a company, you get layers and hierarchy that, in theory, should make your decisions a lot better. It was perplexing, because I've got an MBA. You had to say that we didn't have the batting average that we imagined in our minds that we did. The insight I spent some time studying Toyota, because how could a loom maker--they made looms. How can this loom maker out in the Kansas of Japan become better than Mercedes and GM at the core business of making cars? They were single-variable experiments. Guys at Yahoo were saying, "They just outran us. There's a pattern here. What experimentation does Three things happen.
Quand trop d'engagement mène au désengagement L’engagement. Tout le monde n’a que ce mot à la bouche. Et pour cause. Maintenant l’engagement n’est pas chose aisée. On pourrait presque ironiser – si le sujet n’était pas si critique – en disant qu’il n’y a jamais eu aussi peu d’engagement que depuis qu’on en parle, et que plus on parle plus il diminue. L’engagement : un mot fourre-tout pour des pratiques désengageantes Coté client tout d’abord où des efforts monstrueux sont déployés pour engager davantage le client. Ensuite il y a l’engagement des collaborateurs. Vient ensuite l’engagement de la ligne managériale. Bref la notion d’engagement sert aujourd’hui de fourre-tout et a été dévoyée pour en faire un cocktail de choses…pas très engageante mais avec un emballage dans l’air du temps. Trop parler d’engagement montre qu’on s’est mépris sur la nature du problème Faut il s’offusquer de l’attitude des entreprises ? Alors pas étonnant qu’avec de tels programmes plus on parle d’engagement plus les salariés se désengagent.
L'entreprise du futur - 2 - L'avènement de l’ultra client Cet article est le deuxième d’une série dont la publication s’étalera sur plusieurs mois. Le Cluetrain Manifesto de 1999 s’ouvre sur ces phrases prophétiques : « Les marchés en réseau commencent à s’organiser plus vite que les entreprises qui les ont traditionnellement ciblés. Grâce au web, ces marchés deviennent mieux informés, plus intelligents et plus demandeurs en qualités, qui font défaut à la plupart des entreprises. » Et les auteurs du manifeste embraient avec cette formule devenue fameuse : « Les marchés sont des conversations ». La dynamique de l’échange, ou les marchés comme conversation L’intuition de 1999 est devenue la clé de bien des stratégies commerciales, notamment depuis que les réseaux sociaux ont donné aux clients une possibilité inédite de s’exprimer. Deux tendances se dessinent. Le prosommateur deviendra un ambassadeur de la marque. Cet « enrôlement » du client, indissociable de sa montée en puissance, épargnera-t-elle le commerce entre entreprises ? Et le client ?
Les pratiques managériales les plus innovantes du monde Audace, inventivité, souplesse, authenticité... Tout le monde s'accorde à dire que nos entreprises doivent se réinventer pour se différencier. Quand on parle d'innovation, on pense stratégie, offre, organisation et très rarement management, à savoir la manière dont on anime et les Hommes. Pourquoi ? Vous, qui découvrez cet article, aimeriez-vous travailler au sein d'une entreprise où :les missions que l'on vous confie sont passionnantes ?les relations sont authentiques et basées sur la confiance ? Bien que 85 % des dirigeants estiment que l'innovation est primordiale pour rester compétitif, les entreprises n'y accordent qu'environ 10 % de leur temps [i]. Le management : parent pauvre de l'innovation Selon un sondage Ipsos de 2013, l'innovation est confiée à 72 % aux fonctions Recherche & Développement, Qualité et Marketing, ce qui représente entre 5 à 8 % de l'effectif. Histoire du management : quand "toujours plus de la même chose produit les mêmes effets" La confiance Agilité & Liberté 1.
5 Simple Office Policies That Make Danish Workers Way More Happy Than Americans You will often see Denmark listed in surveys as the "happiest country on the planet." Interestingly Danes are not only happy at home, they're also happy at work. According to most studies of worker satisfaction among nations, the happiest employees in the world are in Denmark. The U.S.? Not so much. Here's just one data point: a recent Gallup poll found that 18% of American workers are actively disengaged, meaning they are "emotionally disconnected from their workplaces and less likely to be productive." But why are Danish workers so happy compared to their American counterparts? 1: Reasonable working hours I once talked to an American who had gotten a job as a manager at a Danish company. Some non-Danes wonder if Danes ever work. The difference in the U.S. is stark, and many American companies celebrate overwork as a sign of commitment. 2: Low power distance In the U.S., if your boss gives you an order, you pretty much do what you're told. 3: Generous unemployment benefits The upshot
What "collaboration" really means (ThoughtFarmer blog) The word “collaboration” is so heavily over-used and over-hyped it’s becoming meaningless. People refer to all social software within a company as “collaboration,” and this causes confusion. Vendors get away with saying whatever they want because they’re not saying anything at all and companies end up failing in their “collaboration” initiatives. Language is important and with this post I offer up a simple definition of the word “collaboration” — a definition that helps narrow the scope and domain of collaboration and clarify what it really is. Let’s begin with the story of how I’ve become known as “the language police” around the office when it comes to these topics. Lessons in bad collaboration During my years managing the intranet at a global nonprofit organization I encountered the strangest problem: even with the launch of new social intranet software and other collaborative tools, some people still suffered from and complained about poor collaboration. Dissecting “collaboration”
Portrait robot de l'entreprise du futur: durable dans l'instable Cet article est le premier d’une série dont la publication s’étalera sur plusieurs mois. Comment caractériser le monde économique de demain ? En se contentant d’extrapoler, on pourrait insister sur trois aspects. Ce sera un monde ouvert, où l’accessibilité croissante des technologies permettra à de nouveaux acteurs d’investir des secteurs jadis protégés ; par conséquent une forme d’instabilité s’imposera. Selon les pays et les secteurs, l’évolution sera très variée dans sa rapidité et dans son intensité. Mais la vague numérique continuera à déferler sur le monde, et avec elle des innovations radicales redéfinissant en profondeur les marchés, les modes de production et le rôle des différentes parties prenantes. La fin de l’avantage compétitif ? Même les secteurs jusqu’ici épargnés par la vague numérique commencent à s’inquiéter. La seule certitude, c’est l’aventure, au sens étymologique du terme : ad venturus, ce qui va arriver. Il y aura, comme toujours et plus que jamais, des perdants.
How To Have A Successful Value Stream Walk | Tony Ferraro Smarter-Than-the-Usual-Stupid-Interview Questions for Managers to Ask Job Candidates - Human Workplace In this story I gave job-seekers alternative answers to the usual boring, uncreative job-interview questions. Here are ten questions interviewers can ask job-seekers if they want to avoid the awful, traditional job-interview questions like “Where do you see yourself in five years?” and “What’s your greatest weakness?” The best interview questions, of course, are organic ones that spring from a standard conversational opening like “So, what can I tell you about the job as we get started? What would you like to know?” Still, even if you turn the tables in the way we teach at Human Workplace, and encourage the job-seeker to ask you questions for as long as s/he wants to, you’re eventually going to have to ask a few questions of your own. Don’t treat the job interview like an oral exam. Here are ten thoughtful questions you can ask applicants the next time you have a job opening to fill. What’s the project or accomplishment in your working life so far that best illustrates how you operate?
L’égo, frein majeur à l’intelligence collaborative Une étude récente a montré que le travail de groupe “affaiblit la créativité et les capacités intellectuelles”. Ça n’est pas une surprise, car les conditions habituelles du travail collectif génèrent davantage de craintes que de confiance mutuelle, libérant au passage toutes les expressions lourdingues de l’égo, frein majeur au travail collaboratif. La presse s’est emparée un peu vite de l’affaire avec un poil insuffisamment de nuance, et voue le travail collaboratif aux gémonies au profit d’un individualisme au blason soudainement redoré. Je m’étais agacée sur mon blog personnel (café-journal du 28 mars) de ces conclusions hâtives, en particulier dans l’Express, qui échouaient à poser les bonnes questions. Qu’est qui, dans notre façon de travailler à plusieurs, génère des résultats aussi désastreux? L’Express a eu l’élégance de me contacter suite à ce billet pour me demander quelles solutions envisager pour Travailler en groupe sans devenir stupide. 1- Travailler l’estime de soi
Être trop doué, un frein pour sa carrière Être brillant ne serait pas toujours payant. La recherche a montré en effet que les très bons éléments ont tendance à plafonner ou, pis, à être mis d’office sur le banc de touche. Un constat qui va à l’encontre des idées reçues et questionne la sincérité de la fameuse «chasse aux talents» dont les entreprises ont fait leur leitmotiv depuis quelques années. Appâter les meilleurs, chouchouter les hauts potentiels, s’entourer de cadors… En fait, le discours officiel sonne un peu creux quand on y regarde de près. Et masque une réalité inavouable, puisque les études prouvent que se montrer trop doué constitue en fait un frein à une belle carrière. Conformité contre compétence. Des travaux récents du sociologue William Genieys confirment que les élites ont tout intérêt, pour renforcer leur domination, à trouver des successeurs qui s’inscriront dans la continuité plus que dans la rupture(1). Les qualités de ces «très bons» dérangent aussi et peuvent les desservir à l’embauche. 1. 2. 3. 4.
Top 10 reasons why Darth Vader was an amazing project manager Darth Vader (Wikipedia photo) The Sith Lord Darth Vader, of Star Wars fame, often gets a bad rap, particularly in what we all think of as his ‘dark years.’ From a certain perspective his mass murder, brutal oppression, and frequent deception to serve his own ends makes him seem like a pretty bad guy. But if you look past all that to his action, you will find a very capable and effective project manager. In the name of finding silver linings in dark clouds, I’d like to present the top 10 reasons why Darth Vader was an amazing project manager. Number 9: Vader made decisions based on objective data, not whims. Death Star II (Via Wookiepedia) Number 7: Vader took time to re-charge, relax, and get some perspective. Lando Calrissian Number 6: Vader managed risk and expectations…pre-emptively. Number 5: Such a persuasive fellow. Viper Probe Droid (Via Wookiepedia) Number 4: Vader picked a methodology and stuck with it…until it didn’t work. Number 3: No problem is too big to tackle. TIE fighters