Structured Query Language Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. SQL (sigle de Structured Query Language, en français langage de requête structurée) est un langage informatique normalisé servant à exploiter des bases de données relationnelles. La partie langage de manipulation des données de SQL permet de rechercher, d'ajouter, de modifier ou de supprimer des données dans les bases de données relationnelles. Outre le langage de manipulation des données, la partie langage de définition des données permet de créer et de modifier l'organisation des données dans la base de données, la partie langage de contrôle de transaction permet de commencer et de terminer des transactions, et la partie langage de contrôle des données permet d'autoriser ou d'interdire l'accès à certaines données à certaines personnes. Créé en 1974, normalisé depuis 1986, le langage est reconnu par la grande majorité des systèmes de gestion de bases de données relationnelles (abrégé SGBDR) du marché. En 1979, Relational Software, Inc.
OCW Course Index Pré-requis : les bases de données relationnelles Avant d'utiliser les jointures, il faut que votre base de données relationnelle soit correctement conçue. Vous apprendrez dans cette partie quelques règles de base (loin d'être exhaustives) dans la conception des bases de données. Pour ce faire, utilisons un exemple. Citation Vous êtes informaticien dans une agence de presse et vous devez stocker les articles des journalistes de l'agence dans une base de données relationnelle. Ces règles n'étant pas faciles à comprendre de prime abord, appliquons-les à notre exemple. On aurait a priori tendance à créer une table "articles" ayant la structure suivante (notez l'absence de caractères spéciaux, d'espaces et d'accents dans les noms des champs) : Ce qui donne, avec quelques données (exemple) : On remarque cependant qu’il y a répétition des informations sur l'auteur. On va donc créer une table "auteurs" en relation avec la table "articles" pour éviter d'avoir une répétition inutile de toutes les informations sur les auteurs. Mise en pratique :
SQL - Commande SELECT Août 2017 Le langage de manipulation de données Le SQL est à la fois un langage de manipulation de données et un langage de définition de données. La principale commande du langage de manipulation de données est la commande SELECT. Syntaxe de la commande SELECT La commande SELECT est basée sur l'algèbre relationnelle, en effectuant des opérations de sélection de données sur plusieurs tables relationnelles par projection. SELECT [ALL] | [DISTINCT] <liste des noms de colonnes> | *FROM <Liste des tables> [WHERE <condition logique>] Il existe d'autres options pour la commande SELECT : L'option ALL est, par opposition à l'option DISTINCT, l'option par défaut. Supports de cours -- Data Mining, Data Science et Big Data Analytics Cette page recense les supports utilisés pour mes enseignements de Machine Learning, Data Mining et de Data Science au sein du Département Informatique et Statistique (DIS) de l'Université Lyon 2, principalement en Master 2 Statistique et Informatique pour la Science des donnéEs (SISE), formation en data science, dans le cadre du traitement statistique des données et de la valorisation des big data. Je suis très attentif à la synergie forte entre l'informatique et les statistiques dans ce diplôme, ce sont là les piliers essentiels du métier de data scientist. Attention, pour la majorité, il s'agit de « slides » imprimés en PDF, donc très peu formalisés, ils mettent avant tout l'accent sur le fil directeur du domaine étudié et recensent les points importants. Cette page est bien entendu ouverte à tous les statisticiens, data miner et data scientist, étudiants ou pas, de l'Université Lyon 2 ou d'ailleurs. Nous vous remercions par avance. Ricco Rakotomalala – Université Lyon 2
Cours et tutoriels sur le langage SQL SGBD, SQL et types de données Parler du SQL de nos jours comme d'une nouveauté, serait une gageure… cependant, ne faut-il pas voir en cet indestructible langage, une tentative un peu tardive, mais souhaitable, au travers des différents middleware disponibles, de standardisation d'un mode d'interrogation des données ?Force est de constater que même les bases de données objet et le web se mettent au SQL. Le poids du passé sans doute... Mais alors que faire ? Squeezer SQL ou s'en accommoder ? Il y a plus d'une vingtaine d'années le COBOL était, disait-on, assuré d'une mort certaine et à court terme. Vous trouverez des compléments d'information sur le sujet aux pages 29 à 51 de l'ouvrage "SQL", collection "La Référence", Campus Press éditeur. Et d'abord, SQL est-il un vrai langage ? Si l'on doit accepter ce mot au sens informatique du terme, il semble difficile de dire oui tant SQL est loin de la structure et des possibilités d'un langage de programmation courant. En fait SQL est un langage de type " déclaratif ". 2.1.
Les meilleurs tutoriels SQL SELECT L’utilisation la plus courante de SQL consiste à lire des données issues de la base de données. Cela s’effectue grâce à la commande SELECT, qui retourne des enregistrements dans un tableau de résultat. Cette commande peut sélectionner une ou plusieurs colonnes d’une table. Commande basique L’utilisation basique de cette commande s’effectue de la manière suivante: SELECT nom_du_champ FROM nom_du_tableau Cette requête SQL va sélectionner (SELECT) le champ « nom_du_champ » provenant (FROM) du tableau appelé « nom_du_tableau ». Exemple Imaginons une base de données appelée « client » qui contient des informations sur les clients d’une entreprise. Table « client » : Si l’ont veut avoir la liste de toutes les villes des clients, il suffit d’effectuer la requête SQL ci-dessous : SELECT ville FROM client De cette manière on obtient le résultat suivant : Obtenir plusieurs colonnes Avec la même table client il est possible de lire plusieurs colonnes à la fois. SELECT prenom, nom FROM client Cours recommandés
Les meilleurs cours, tutoriels et Docs sur les SGBD et le SQL QBE est un langage de requêtes révolutionnaire concurrent à SQL. Il a été inventé par Moshe Zloof pour le compte de la compagnie IBM, en 1977. Paradox, contrairement aux autres SGBDR, travaille nativement en interface QBE lorsque l'on veut écrire des réquêtes. QBE signifie, Query By Exemple, c'est à dire, « requête par l?exemple »... Création : 26 août 2003 Programmation SQL/Langage de manipulation de données Instruction SELECT[modifier | modifier le wikicode] L'instruction SELECT est la base du LMD, elle permet de renvoyer une table contenant les données correspondantes aux critères qu'elle contient. Seules les clauses "SELECT" et "FROM" sont obligatoires. La forme générale d'une instruction SELECT (on parle également de phrase SELECT ou requête) est : SELECT [ALL] | [DISTINCT] * | <liste de champs ou d'instructions d'agrégation>FROM <liste de tables>WHERE <condition>GROUP BY <champs de regroupement>HAVING <condition>ORDER BY <champs de tri> [DESC] | [ASC] Une autre forme est SELECT [ALL] | [DISTINCT] * | <liste de champs ou d'instructions d'agrégation>FROM <table de base><liste de jointures>GROUP BY <champs de regroupement>HAVING <condition>ORDER BY <champs de tri> [DESC] | [ASC] Détails des clauses : SELECT[modifier | modifier le wikicode] La clause SELECT permet de spécifier les informations qu'on veut récupérer. Les noms des champs sont séparés par des virgules. Exemple : Résultat : Ou Résultat :
Cours SQL et Algebre Relationnelle - D. BOULLE (c) 1997, 2009 Didier Boulle "La conception et l'utilisation de bases de données relationnelles sur micro-ordinateurs n'est pas un domaine réservé aux informaticiens". C'est en tout cas ce que pensent beaucoup d'utilisateurs en voyant ce type de logiciel intégré aux suites bureautiques les plus connues. Cependant la maîtrise d'un SGBDR micro (Système de Gestion de Bases de Données Relationnelles) est loin d'être aussi facile à acquérir que celle d'un logiciel de traitement de texte ou d'un tableur. Plusieurs étapes sont nécessaires à la mise en place d'une base de données, dès lors que l'on a précisément défini ses besoins (ce qui n'est déjà pas chose facile !) Le degré de difficulté dans la conception de l'interface varie beaucoup selon le logiciel utilisé qui est d'ailleurs le plus souvent différent du SGBDR. Sont également exposées ici des opérations de calcul, de regroupement, de comptage et de tri, non définies à l'origine par Codd mais très utiles.