Le SQL de A à Z - les sous-requêtes La structure de la base de données exemple, ainsi qu'une version des principales bases utilisées sont disponibles dans la page "La base de données exemple". Vous trouverez des compléments d'information sur le sujet aux pages 154 à 174 de l'ouvrage "SQL", collection "La Référence", Campus Press éditeur. Avec SQL il est possible d'imbriquer des requêtes un peu à la manière de poupées gigognes. Mais pour toucher du doigt ce que l'on peut faire avec des sous-requêtes, posons nous la question : Où placer une sous-requête ? Observons les types de résultats qu'une requête produit pour déterminer les emplacements qu'elle peut prendre au sein d'un ordre SELECT : Voyons maintenant comment imbriquer cela dans une autre requête. Nous verrons qu'il existe des opérateurs spécialisés, comme EXISTS pour traiter particulièrement de cas d'imbrication. Chaque fois que vous voudrez mettre une sous-requête dans un ordre SQL, assurez-vous que la sous-requête est comprise dans une paire de parenthèses. 1.1. 1.1.1.
Structured Query Language Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. SQL (sigle de Structured Query Language, en français langage de requête structurée) est un langage informatique normalisé servant à exploiter des bases de données relationnelles. La partie langage de manipulation des données de SQL permet de rechercher, d'ajouter, de modifier ou de supprimer des données dans les bases de données relationnelles. Outre le langage de manipulation des données, la partie langage de définition des données permet de créer et de modifier l'organisation des données dans la base de données, la partie langage de contrôle de transaction permet de commencer et de terminer des transactions, et la partie langage de contrôle des données permet d'autoriser ou d'interdire l'accès à certaines données à certaines personnes. Créé en 1974, normalisé depuis 1986, le langage est reconnu par la grande majorité des systèmes de gestion de bases de données relationnelles (abrégé SGBDR) du marché. En 1979, Relational Software, Inc.
SQL Oracle : requêtes avancées Lorsqu'une sous-requête ramène plusieur lignes l'utilisation de l'opérateur '=' dans la clause WHERE provoque une erreur. On utilisera alors des opérateurs spéciaux : - ALL : compare à toutes les valeurs d'une liste ou d'une requête (doit suivre l'un des opérateurs suivants : =, !=, >, <, <=, >= - IN : égal à n'importe laquelle des valeurs (équivallent à '=ANY' ) - ANY : compare à au moins une des valeurs de la liste ou du select (opérateurs idem à ALL) - WHERE EXISTS : vrai si la sous-requête retourne au moins une ligne, n'est pas précédé d'un opérateur... SQL> select ename,sal from emp 2 where sal > any (select sal from emp where deptno=10); ENAME SAL ---------- --------- ALLEN 1600 JONES 2975 BLAKE 2850 CLARK 2450 SCOTT 3000 KING 5000 TURNER 1500 FORD 3000 8 ligne(s) sélectionnée(s). ANY est différent de ALL, ainsi la requête suivante ne ramêne pas de ligne ! SQL> select ename from emp where sal > all (select sal from emp where job = 'MANAGER'); update Exemples insert forme générale
SQL - Commande SELECT Août 2017 Le langage de manipulation de données Le SQL est à la fois un langage de manipulation de données et un langage de définition de données. La principale commande du langage de manipulation de données est la commande SELECT. Syntaxe de la commande SELECT La commande SELECT est basée sur l'algèbre relationnelle, en effectuant des opérations de sélection de données sur plusieurs tables relationnelles par projection. SELECT [ALL] | [DISTINCT] <liste des noms de colonnes> | *FROM <Liste des tables> [WHERE <condition logique>] Il existe d'autres options pour la commande SELECT : L'option ALL est, par opposition à l'option DISTINCT, l'option par défaut. Le SQL de A à Z - Fonctions SQL Le présent tableau fait une synthèse des fonctions de la norme SQL (1992 à 2008), mais aussi des fonctions que l'on trouve dans les principaux dialectes des SGBDR que sont Paradox, Access, MySQL, PostGreSQL, SQL Server, Oracle et InterBase.Ce tableau ne prétend pas à l'exhaustivité mais permet la comparaison de l'implémentation des fonctions du SQL dans différents dialectes. Article lu 99558 fois. Légende : O : OuiN : NonX : Existe mais syntaxe hors norme! : Même nom mais fonction différente- : implémentation partielle 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 1.7. 1.8. 1.9. 1.10. 1.11. 1.12. Copyright © 2009 Frédéric Brouard.
SGBD, SQL et types de données Parler du SQL de nos jours comme d'une nouveauté, serait une gageure… cependant, ne faut-il pas voir en cet indestructible langage, une tentative un peu tardive, mais souhaitable, au travers des différents middleware disponibles, de standardisation d'un mode d'interrogation des données ?Force est de constater que même les bases de données objet et le web se mettent au SQL. Le poids du passé sans doute... Mais alors que faire ? Squeezer SQL ou s'en accommoder ? Il y a plus d'une vingtaine d'années le COBOL était, disait-on, assuré d'une mort certaine et à court terme. Vous trouverez des compléments d'information sur le sujet aux pages 29 à 51 de l'ouvrage "SQL", collection "La Référence", Campus Press éditeur. Et d'abord, SQL est-il un vrai langage ? Si l'on doit accepter ce mot au sens informatique du terme, il semble difficile de dire oui tant SQL est loin de la structure et des possibilités d'un langage de programmation courant. En fait SQL est un langage de type " déclaratif ". 2.1.
Les meilleurs tutoriels SQL SELECT L’utilisation la plus courante de SQL consiste à lire des données issues de la base de données. Cela s’effectue grâce à la commande SELECT, qui retourne des enregistrements dans un tableau de résultat. Cette commande peut sélectionner une ou plusieurs colonnes d’une table. Commande basique L’utilisation basique de cette commande s’effectue de la manière suivante: SELECT nom_du_champ FROM nom_du_tableau Cette requête SQL va sélectionner (SELECT) le champ « nom_du_champ » provenant (FROM) du tableau appelé « nom_du_tableau ». Exemple Imaginons une base de données appelée « client » qui contient des informations sur les clients d’une entreprise. Table « client » : Si l’ont veut avoir la liste de toutes les villes des clients, il suffit d’effectuer la requête SQL ci-dessous : SELECT ville FROM client De cette manière on obtient le résultat suivant : Obtenir plusieurs colonnes Avec la même table client il est possible de lire plusieurs colonnes à la fois. SELECT prenom, nom FROM client Cours recommandés
Programmation SQL/Langage de manipulation de données Instruction SELECT[modifier | modifier le wikicode] L'instruction SELECT est la base du LMD, elle permet de renvoyer une table contenant les données correspondantes aux critères qu'elle contient. Seules les clauses "SELECT" et "FROM" sont obligatoires. La forme générale d'une instruction SELECT (on parle également de phrase SELECT ou requête) est : SELECT [ALL] | [DISTINCT] * | <liste de champs ou d'instructions d'agrégation>FROM <liste de tables>WHERE <condition>GROUP BY <champs de regroupement>HAVING <condition>ORDER BY <champs de tri> [DESC] | [ASC] Une autre forme est SELECT [ALL] | [DISTINCT] * | <liste de champs ou d'instructions d'agrégation>FROM <table de base><liste de jointures>GROUP BY <champs de regroupement>HAVING <condition>ORDER BY <champs de tri> [DESC] | [ASC] Détails des clauses : SELECT[modifier | modifier le wikicode] La clause SELECT permet de spécifier les informations qu'on veut récupérer. Les noms des champs sont séparés par des virgules. Exemple : Résultat : Ou Résultat :
Le langage SQL Comme c'est le cas dans la plupart des langages relationnels modernes, SQL est fondé sur le calcul relationnel de tuple. Chaque requête qui peut être formulée en l'utilisant (ou, de façon équivalente, par l'algèbre relationnelle), peut aussi être formulée en SQL. Ce dernier offre toutefois des possibilités dépassant celles de l'algèbre et du calcul relationnels. Voici une liste de certaines possibilités supplémentaires fournies par SQL : Select La commande la plus utilisée en SQL est la clause SELECT, qui permet de retrouver des données. Nous allons illustrer la syntaxe complexe du mot-clé SELECT grâce à divers exemples. Selects simples Voici quelques exemples simples utilisant le mot-clé SELECT : Exemple 2-4. Pour retrouver tous les tuples de la table PART dont l'attribut PRICE est supérieur à 10 nous formulons la requête suivante : et nous obtenons la table : L'utilisation de * dans le mot-clé SELECT fournira tous les attributs de la table. Jointures Opérateurs d'agrégation Exemple 2-5.
Le langage SQL Septembre 2017 Notre vidéo Qu'appelle-t-on SQL? SQL (Structured Query Language, traduisez Langage de requêtes structuré) est un langage de définition de données (LDD, ou en anglais DDL Data Definition Language), un langage de manipulation de données (LMD, ou en anglais DML, Data Manipulation Language), et un langage de contrôle de données (LCD, ou en anglais DCL, Data Control Language), pour les bases de données relationnelles. Le modèle relationnel a été inventé par E.F. IBM Sequel (Structured English Query Language) en 1977 IBM Sequel/2 IBM System/R IBM DB2 Ce sont ces langages qui ont donné naissance au standard SQL, normalisé en 1986 par l'ANSI pour donner SQL/86. SQL est un langage de définition de données SQL est un langage de définition de données (LDD), c'est-à-dire qu'il permet de créer des tables dans une base de données relationnelle, ainsi que d'en modifier ou en supprimer. SQL est un langage de manipulation de données SQL est un langage de protections d'accès Typologie du langage
Langage SQL : Tutoriel, Cours Et Exercice De SQL Pour communiquer avec une base de données, on a besoin de lui envoyer des commandes ou instructions appelées requêtes. Que ce soit pour la création, la suppression d'une table, la modification, l'insertion ou la sélection de données, le langage standard de requêtes est SQL. Qu'appelle-t-on SQL ? SQL ou Standard Query Language est un langage permettant d'interroger les bases de données de manière simple. Néanmoins, la syntaxe ne doit pas nous faire peur puisque SQL est conçu de façon à être le plus intuitif possible, facile d'accès et standardisé. A part le fait d'envoyer directement les requêtes SQL telles quelles au SGBD, le but ultime de l'utilisation de SQL sera aussi d'inclure ces requêtes SQL dans un programme écrit dans un autre langage. Les sous langages d'SQL Afin de faciliter l'apprentissage de ce langage qui fait l'objet même de notre tutoriel, on abordera 4 aspects (sous langages) du langage SQL: LMD : Langage de Manipulation des Données Le LDD ou langage de définition des données