Mission Rosetta - Ne manquez pas l'atterrissage de Philae sur la Comète, le 12 novembre prochain - Korben
Mission Rosetta – Ne manquez pas l’atterrissage de Philae sur la Comète, le 12 novembre prochain Je ne sais pas si vous le savez, mais le 12 novembre prochain aura lieu l'atterrissage du robot Philae à la surface de la comète 67P. Après un voyage de plus de 10 ans à bord de la sonde Rosetta, le petit Philae va enfin se poser sur un site soigneusement sélectionné et baptisé Agilkia. Cliquez pour voir en grand Ça ne va pas être de la tarte et le suspense va être intense. Pour l'occasion, je serai à la Cité des Sciences et de l'Industrie à partir de 15h30 pour assister à tout ça en direct ! Quoi qu'il en soit, voici le programme : Et si vous ne pouvez pas vous rendre à la Citée des Sciences le 12 novembre prochain, ce n'est pas grave puisque tout sera retransmis en direct par le CNES ci-dessous ou sur leur site. J'ai vraiment hâte d'y être ! Vous avez aimé cet article ? Je vous recommande aussi la lecture des sujets suivants...
Le premier homme sur Mars devra être une femme
Sur la planète rouge, les astronautes de sexe féminin coûteront beaucoup moins cher que les hommes. En février 1960, le magazine américain Look s'interrogeait en couverture: «Et si le premier homme dans l’espace était une femme?» C’était là un gros titre sensationnaliste –à l’époque, l’hypothèse était audacieuse. Et elle n’a pas été retenue, comme nous le savons tous. En 1961, la Nasa a envoyé Alan Shepard au dessus de la stratosphère; des dizaines d’astronautes masculins suivirent vingt ans durant. Il fallut attendre 1983 pour que les Etats-Unis envoient une femme dans l’espace, Sally Ride.[1] Une interrogation demeure: pourquoi la perspective de confier la première mission spatiale à une femme paraissait-elle malgré tout crédible? Certaines de ces enquêtes étaient relativement limitées (envergure, taille des échantillons...). Moitié moins de calories L’an dernier, j’ai participé à un projet de recherche financé par la Nasa: le Hawaii Space Exploration Analog and Simulation (HI-SEAS).
Toi aussi, apprends à imprimer des maisons sur la Lune avec l’ESA
Comment construire rapidement et efficacement une base lunaire capable d’abriter des humains ? Tout simplement en utilisant l’impression 3D. Une idée farfelue, dite comme ça, mais qui a du sens, lorsqu’on voit cette vidéo de l’agence spatiale européenne. En effet, dans cette vidéo, la l’agence nous montre qu’imprimer un bâtiment sur la Lune, ce n’est pas sorcier. Il suffit d’avoir des robots qui récoltent de terre puis de l’imprimer atour d’une base déjà existante. Oui, c’est facile, dit comme ça. Ce n’est pas la première fois que nous entendons parler de l’impression 3D sur la Lune, étant donné qu’il est plus simple d’utiliser des matériaux sur place plutôt que de les ramener depuis la Terre. article Toi aussi, apprends à imprimer des maisons sur la Lune avec l’ESA Comment construire rapidement et efficacement une base lunaire capable d’abriter des humains ?
Avant d'aller voir «Interstellar», révisez vos dix commandements du trou noir
Tout ce que vous n'avez jamais osé demander sur ces machins cosmiques dont tout le monde a entendu parler, sans forcément bien les comprendre. Ils sont partout. Et vous les connaissez forcément, sans jamais, pourtant, les avoir vus. L'un d'entre eux est même, à en croire Wired, l'une des guest stars du très attendu Interstellar, en salle ce mercredi 5 novembre. Matière, lumière, cinéma: les trous noirs attirent tout et tout le monde. Une attraction d'autant plus forte que ces entités cosmiques sont souvent mal connues, jamais observées directement voir pas totalement avérées... Si les trous noirs vous ont toujours fasciné sans que vous ne les compreniez totalement, en voici les dix commandements: Bonus: notre univers est peut-être niché dans un trou noir d'un autre univers... 1.On est quasiment sûr qu'ils existentQuasi... Les trous noirs ne sont plus spéculatifs en astrophysique aujourd'hui. Jean-Pierre Luminet. Qu'est-ce alors qu'un trou noir? La faute à la force de marée. Andréa Fradin
SCIENCES • "Interstellar", un film qui tient plus de la science que de la fiction
TECH REVIEW Que reste-t-il de votre travail dans la version finale ? KIP THORNE Nous avions écrit un scénario de départ mais il a été tellement modifié qu'il n'en reste pas grand-chose. Il reste la vision scientifique et la toile de fond, ce que j'aime appeler le côté inconnu de l'univers, les trous noirs, les trous de ver, l'espace-temps. L'histoire a complètement changé, sauf son point de départ : des explorateurs quittent la Terre, passent par un trou de ver pour se retrouver aux confins du système solaire et, grâce à ce mode de transport, visitent des planètes. Et puis nous avons respecté les directives que nous avions fixées dès le départ. Y a-t-il un passage du film où les réalisateurs n'ont pas tenu compte de vos recommandations ? Pas vraiment. Dans votre livre, vous racontez que Christopher Nolan a introduit des concepts scientifiques que vous n'aviez pas proposés dans le scénario. Oui. D'où est venue cette idée qu'une catastrophe écologique puisse décimer les récoltes sur Terre ?
Philaé atterrisseur : Philae "assez bloqué", mais opérationnel !
Le Cnes a fait état jeudi de "trois bonnes nouvelles" pour Philae, dont le bon fonctionnement de son alimentation en énergie grâce à ses panneaux solaires, précisant qu'un "check up" du robot était en cours, en particulier sur le problème des harpons. "Philae a passé la nuit sur la comète et nous avons eu trois bonnes nouvelles : la première, c'est que Philae est posé sur le noyau de la comète. Deuxièmement, Philae reçoit de l'énergie, ses panneaux solaires sont allumés et lui permettent donc d'envisager un futur. Et troisièmement, nous sommes en contact permanent avec Philae puisque Philae émet et envoie des infos à Rosetta, et Rosetta nous les retransmet", a déclaré le président du Cnes (Centre national d'études spatiales) Jean-Yves Le Gall sur Europe 1. Interrogé sur l'arrimage du robot sur le sol de la comète "Tchouri" et le fonctionnement des harpons, M. "Nous sommes les premiers à l'avoir fait" "Percée dans l'exploitation de notre système solaire"
Il y a 100 millions d’années, des volcans étaient actifs sur la Lune
La Lune réserve encore beaucoup de surprises. Ce gros caillou tournant autour de la Terre est en effet loin d’être un objet mort depuis des milliards d’années. En effet, des scientifiques viennent de découvrir qu’il y a 100 millions d’années, des volcans étaient actifs à sa surface. Le Lunar Reconnaissance Orbiter, en orbite autour de la Lune depuis 2009, a en effet scruté de manière studieuse sa surface. Des zones irrégulières ont été repérées par les scientifiques. Concrètement, cela signifie que des volcans en activité étaient bien présents sur la Lune il y a 100 millions d’années. Une découverte qui va obliger les scientifiques à revoir l’histoire géologique de notre satellite. Ainsi, si un humain avait eu la chance de se promener sur Terre il y a 100 millions d’années, il aurait peut-être pu voir de petites tâches rouges apparaître sur le disque blanc qu’est la Lune. article Il y a 100 millions d’années, des volcans étaient actifs sur la Lune
Mars One : les premiers voyageurs pourraient mourir au bout de 68 jours... - Sciences
Un aller sans retour. Ils étaient près de 200.000 - originaires de 140 pays - à se porter candidats pour partir sur Mars. Quatre d'entre eux ont été sélectionnés dans le cadre du projet Mars One, lancé par son co-fondateur et PDG, le Néerlandais Bas Lansdorp. Ces volontaires décolleront en 2024 pour sept mois. Du moins, en théorie. Car en pratique, leur voyage pourrait être plus court que prévu. Les plantes qui doivent nourrir les colons produiront trop d'oxygène et la technologie pour équilibrer l'atmosphère "n'a pas encore été développée", disent les auteurs. L'initiateur du projet réfute ce rapport Dans une réaction au magazine Popular Science, Bas Lansdorp a réfuté les chiffres du rapport, arguant qu'il utilisait des données incomplètes. Dans une réaction à l'AFP concernant l'oxygène, la direction de Mars One a indiqué "ne pas être d'accord sur le fait que la technologie n'est pour l'essentiel pas prête.