13 excellentes raisons de quitter son job en 2014 13 excellentes raisons de quitter son job en 2014 Haydée (en photo) de travelplugin.com est une blogueuse qui ne mâche pas ses mots… Elle partage avec nous son article et propose 13 bonnes raisons de changer de travail en 2014 ! Tel des chats d’appartement, nous pouvons rester cloîtrés chez nous toute une vie sans jamais appréhender le monde qui nous entoure. Et bien il en va de même avec notre travail. La pression sociale ne nous définit plus que par notre emploi. Mais le bon soldat aussi à besoin de se rebeller. J’ai un job bien payé mais mon âme est malheureuse… Ce n’est pas moi ! Il y a quelques années, j’ai lâché le monde de l’entreprise. Nous n’avons rien sans rien et j’aime le risque. Et nous sommes loin d’être les seuls ! Alors si comme moi vous rêvez de vous accomplir sans bosser pour un autre, j’ai 13 arguments qui vous aideront peut-être à quitter votre job. 1. Tous les jours de votre misérable existence sont régis par cet impératif routinier. 2. Sont-ils satisfaits ? 4. 5. 6. 7.
3 millions d'emplois menacés, le côté obscur de la digitalisation Il était une fois la robolution… « Le remplacement de l’homme par la machine est peu à peu devenu une réalité ». C’est ce qu’affirme le cabinet Roland Berger Strategy Consultants dans un rapport choc intitulé « Les classes moyennes face à la transformation digitale ». Dans ce document, le cabinet affirme que 42% des métiers seront automatisables d’ici 20 ans. Et ce ne sont pas uniquement des métiers manuels. Et d’ici 2025, 3 millions d’emplois risquent d’être détruits en France par la digitalisation de l’économie. Rage envers la machine ? Le débat n’est pas nouveau : la robotisation de l’économie est-elle créatrice ou destructrice d’emplois ? De l’autre côté, on s’inquiète tout de même du remplacement des hommes par les machines, avec en filigrane une peur ancestrale de l’ennemi robotisé nourrie en partie par les films de science-fiction. Une nouvelle vague de l’automatisation Les métiers de services ne seront pas épargnés Travailler en coopération avec les robots
Ce que l’entreprise devra changer pour intégrer la génération Z A peine les entreprises ont-elles intégré la génération Y qu’elles doivent déjà penser à la prochaine génération d’embauchés, la génération Z. Celle-ci arrivera d’ici quelques années en masse sur le marché du travail. Dans sa besace, une nouvelle culture misant notamment sur l’utilisation intensive des outils numériques et une incarnation plus poussée des valeurs. Quels changements l’entreprise devra envisager ? Fonctionner en réseaux numériques pour appréhender la complexité du monde Plus les années passent, plus le monde progresse vers une complexité accrue. L’hyper-socialisation, les liens numériques à outrance font partie du code génétique de cette génération. Ces jeunes arriveront ainsi dans le monde de l’entreprise avec leurs habitudes numériques et leurs outils connectés : téléphone, montre, tablette, etc. L’entreprise aura besoin des compétences de la génération Z pour comprendre et utiliser les réseaux numériques. Extraire la valeur de l’information Capter le talent personnel
La génération Y est elle impossible à former ? La « Génération Y » est elle composée de « Digital natives » forcément passionnés de Technologies de l’Information et de la Communication (TIC)? L’usage de ces technologies serait il un moyen infaillible d’intéresser les « jeunes » salariés et de leur permettre d’apprendre? « Digital natives »? « Nos étudiants ont radicalement changé. Les étudiants d’aujourd’hui ne sont plus ceux que notre système d’éducation a été conçu pour enseigner » s’exclamait Marc Prensky dans son article « Dignital Natives, Digital Immigrants« , publié en 2001. Il oppose ces « Digital Natives » aux « Digital Migrants » qui n’ont pas grandi avec ces technologies et, mêmes lorsqu’ils s’y sont adaptés, ont gardé des habitudes du passé, comme (toujours selon Prensky): ne pas se tourner en 1er vers internet lorsque l’on cherche une information, lire une notice, imprimer ses e-mails ou un document avant de les lire… Les « Digital Natives » décrit par M. En fait, il me semble que M. Neuf ans après l’article de M.
La génération Z va semer la zizanie dans le monde de l'entreprise Les entreprises perdaient déjà leur latin avec la génération Y- zappeuse, frondeuse, insoucieuse des hiérarchies. La vague suivante, la génération Z, s’annonce comme une déferlante plus redoutable encore. Car les moins de vingt ans, nés après 1995, portent un regard très dur sur l’entreprise tout en ayant des attentes extrêmement fortes à son égard. Alors que leur seul contact avec l’entreprise s’est limité, pour la grande majorité, à un stage en classe de troisième, les moins de vingt ans emploient des mots très durs pour la qualifier. Ce portrait noir ne rime pourtant pas avec un dégoût de l’entreprise, perçue d’abord comme stressante. Une refonte des attributs du leadership La génération Z exige aussi une refonte des attributs du leadership. La génération Z attend également un véritable engagement éthique de l’entreprise. Ni hipsters, ni intellos, ni geeks Plus encore que leurs aînés, les Z accordent une grande importance à leur réseau.
Équilibre vie pro / vie perso : les 10 meilleures villes du monde Quand on décide de s’expatrier beaucoup de paramètres entrent en ligne de compte : coût de la vie, opportunités professionnelles, qualité de vie, loisirs, sécurité… Partir travailler à l’étranger n’entre pas uniquement dans un plan de carrière, c’est un projet de vie parfois partagé en famille. L’équilibre entre la sphère personnelle et professionnelle est donc très important. 64 villes passées au crible On connaît déjà les destinations préférées des expatriés, une nouvelle étude apporte un regard intéressant sur les villes où il fait bon vivre et travailler. Le top 10 des villes les plus vivables Voici donc le top 10 des villes les plus agréables pour y vivre et travailler. 1. Aucune ville française ne se place dans ce top 10, mais d’autres grandes mégalopoles réputées pour leur dynamisme économique sont aux portes de la short-list : New York pointe à la 17ème place, Tokyo est 18ème, Londres, dossard numéro 22.
Pourquoi la génération Y est l’une des plus prudentes de l’histoire Atlantico : Selon une enquête des économistes de l'UBS Wealth Management, même si elle a le désir d'entreprendre, la génération Y serait plus apte à épargner qu'à investir son argent dans l'acquisition d'une voiture ou d'un logement. Comment peut-on expliquer ce phénomène ? Même si la crise économique rend frileux, quels sont les autres aspects qui entrent en compte ? Julien Pouget : Pour moi il y a deux explications principales. La première concerne le revenu disponible. Deuxième explication, je pense que nous sommes face à une génération qui affiche une sorte de défiance à l'égard des institutions, notamment face aux systèmes de retraite et de maladie. En quoi l'apparition des Smartphones et de l'économie de partage pourrait expliquer ces comportements ? La consommation collaborative est effectivement fortement facilitée par les Smartphones et en général par les technologies. Aujourd'hui les deux marchés que nous évoquons sont assez différents.
Votre entreprise va-t-elle survivre à la crise ? Depuis la crise de 2008-2009, l’incertitude plane sur la santé de nombreuses entreprises. Et beaucoup de salariés s’inquiètent, à juste titre, pour leur emploi. Mais comment savoir si votre employeur est en difficulté ou si l’entreprise qui vous emploie risque de fermer ? Dans son « Petit traité d’impertinence constructive », paru aux Presses universitaires de Grenoble, elle a identifié neuf pratiques de management dites « nutritives » qui montrent que l’entreprise sait se réinventer, se remettre en question et écouter les remontées d’informations de ses managers.
Si la génération Y est incapable de grandir, c'est à cause des parents hélicoptères Amy (ce n’est pas son vrai nom) était assise dans mon bureau et essuyait ses grosses larmes avec sa manche, en refusant les mouchoirs en papier que je lui avais offerts. «Je vais peut-être faire un doctorat après mon master parce que je n’ai aucune idée de ce que j’ai envie de faire.» Amy a connu une légère dépression en grandissant, et ça s’est aggravé pendant sa première année à l’université, quand elle a quitté la maison familiale pour s’installer dans une résidence sur le campus. Je lui ai suggéré de trouver un emploi après son master, même temporairement. Son cas est en train de devenir la norme pour les trentenaires ou presque trentenaires que je vois passer dans mon cabinet de psychothérapie. Le problème, ce n'est pas le narcissisme En 2000, le psychologue Jeffrey Arnett a inventé le terme d’«âge adulte émergent» pour décrire une adolescence prolongée qui retarde l’âge adulte. La génération Y a bel et bien des défis à relever que les générations précédentes n’ont pas connus.
Les robots au travail : faut-il en avoir peur ? Les robots sont partout : présents dans votre voiture, au coeur de votre téléphone, dans les ordinateurs… Il ne leur manque même plus la parole, puisqu’il est possible de dialoguer avec eux et leur poser des questions. La « robolution » est-elle une menace pour l’emploi, seront-nous remplacés ou même recrutés par des robots à l’avenir ? Il y a de quoi inquiéter même l’astrophysicien britannique Stephen Hawking qui a déclaré récemment que l’intelligence artificielle pourrait tout simplement « mettre fin à l’humanité ». En attendant, faut-il avoir peur de l’arrivée des robots et des algorithmes dans le monde du travail ? Pour le savoir nous avons posé la question à Jean-Baptiste Audrerie, psychologue organisationnel et directeur Marketing de SPB. Titulaire d’un MBA pour exécutifs de Paris Dauphine, il s’intéresse à l’avenir du recrutement, notamment sur son blog Futurs Talents. Sur quoi sont basés ces algorithmes et qu’est-ce que cela apporte au recrutement ? Forcément les humains !
Les Y révolutionneront l’organisation du travail. Et c’est tant mieux! Les Y. Toutes sortes d’histoires et de mythes ont circulé à leur sujet : ils n’aimeraient pas l’autorité, s’absenteraient sans raison, fuiraient les responsabilité, etc. Pourtant, depuis leur arrivée sur le marché du travail plusieurs de ces préjugés tombent. Surtout au sein des entreprises qui ont su s’adapter à leur arrivée. Yvan Dubuc, auteur du livre « Donnez les rênes aux Y » s’est intéressé aux entreprises qui ont su séduire (et retenir!) « Les Y ont des valeurs fortes qui tournent autour de l’amitié, de la famille et de la réalisation de soi, mentionne M. Oser faire confiance aux jeunes, oser revoir et réinventer leur style de gestion. D’où l’importance pour les entreprises d’en tenir compte et de s’adapter. Exit le conservatisme. Le Parc Safari est un exemple d’une entreprise qui a revu et adapté ses façons de faire pour répondre aux jeunes de la génération Y, selon M. Le célèbre zoo embauche chaque année des centaines de jeunes. 1. 2. 3. 4. 5.
Coincé au bureau : cette vidéo va vous donner le vertige La vie au bureau, la routine, les gestes répétitifs et le sentiment d’enfermement génèrent parfois de l’angoisse. Dans ce court-métrage réalisé par Jim Schmidt, Felix Fischer et Carolin Schramm, intitulé « Lost Cubert », le sentiment d’être prisonnier du travail prend un sens littéralement vertigineux. Le personnage est mis en abyme dans sa propre prison, un bureau d’où il ne peut plus sortir. On pense évidemment au film Brazil, mais aussi aux illusions d’optique d’Escher. Difficile d’en réchapper et de sortir indemne de ce labyrinthe hypnotique. Du beau travail d’animation, primé à de nombreuses reprises dans les festivals depuis sa sortie en février 2014. En savoir plus sur Lost Cubert sur le site du film Lost Cubert from Lost Cubert on Vimeo.