La résilience au travail... c'est possible !
L'impérieuse nécessité de trouver une solution aux problèmes en tous genre nous a jusqu'à présent privé de chercher des ressources dans le positif, c'est-à-dire dans ce qui fonctionne correctement. C'est bien connu : en France, on se méfie de l'esprit bisounours. Habitués à utiliser nos facultés intellectuelles pour pallier aux défaillances, nous omettons de considérer les qualités et les ressources des individus et des systèmes. Pire : l'approche traditionnelle du changement se focalise sur les problèmes à résoudre, réduisant du même coup le champ des perspectives aux erreurs survenues dans le passé. A la recherche des mauvais élèves Corollaire managérial : on recherche les coupables et les mauvais élèves de la classe. Une posture appréciative de l'équipe " Le Manager Appréciatif est dans une posture appréciative de son équipe. La confiance, une denrée trop rare dans les organisations "Catalyseurs de souffrance" "Vivre dans une civilisation de l'empathie, c'est ne pas être parfait"
Résilience psycho
« La résilience, c'est l'aptitude des individus et des systèmes (les familles, les groupes et les collectivités) à vaincre l'adversité ou une situation de risque. Cette aptitude évolue avec le temps ; elle est renforcée par les facteurs de protection chez l'individu ou dans le système et le milieu ; elle contribue au maintien d'une bonne santé ou à l'amélioration de celle-ci(1). » 1. "La Résilience définit La capacité à se développer quand même, dans des environnements qui auraient dû être délabrants." Docteur BORIS CYRULNIK Psychiatre Directeur d'enseignement en éthologie à la faculté des lettres et des sciences humaines de Toulon "Je ne parle ici que de cette capacité que nous avons de rebondir, une qualité que nous devons au fait d’avoir surmonté l’épreuve d’un passé difficile. De la résilience, une chronique de Jacques Languirand RÉSILIENT : PHYS. Jacques LANGUIRAND
Qu'est-ce que la résilience?
Le concept de résilience est central dans ce livre. En écologie, le terme résilience fait référence à la capacité d’un écosystème à s’adapter à des évènements (chocs) extérieurs et des changements imposés.Walker et ses collaborateurs la définissent comme: “La capacité d’un système à absorber un changement perturbant et à se réorganiser en intégrant ce changement, tout en conservant essentiellement la même fonction, la même structure, la même identité et les mêmes capacités de réaction.” Dans le contexte des communautés humaines, il renvoie à leur capacité de ne pas disparaître ou se désorganiser au premier signe d’une pénurie par exemple de pétrole ou de produits alimentaires mais, au contraire, de répondre à ces crises en s’adaptant. La contestation des chauffeurs de camion au Royaume-Uni en 2000 offre, à ce sujet, un bel exemple. Le concept de résilience est différent de celui de subsistance qui est plus fréquemment utilisé. Traduction du chapitre 3 : "What is resilience ?"
Pascal Chabot: Le burn-out est global
VIE PROFESSIONNELLE - Au départ, je voulais écrire un livre sur l'âme, cette notion essentielle et désuète. Plus précisément, j'avais l'intention de réfléchir à ce que l'âme devenait dans nos sociétés. Mais durant cette enquête, j'ai été intrigué par la multiplication, dans beaucoup d'environnements professionnels, des cas de burn-out, qu'il m'a semblé intéressant d'interpréter comme un des destins contemporains de l'âme: être brûlée (en anglais burn-out, c'est-à-dire s'épuiser, ne plus pouvoir avancer...). Et j'ai voulu comprendre ce qui lui arrivait, à cette âme contemporaine, et pourquoi cela lui arrivait. Ma thèse est que le burn-out est une pathologie de civilisation. Même s'il est bien sûr lié à des contextes précis et des réactions personnelles, le burn-out apparaît aussi lié aux questions du progrès, de la technologie et des envies qui parcourent notre ère d'expérimentation. Qu'est-ce que le burn-out, sinon une conséquence de ces régimes effrénés?
On Resilience
In the 1930s the American art collector Albert Barnes commissioned Henri Matisse to produce a major painting for his private gallery in Merion, outside Philadelphia. Matisse was ecstatic: He rented an old cinema in Nice, where he lived at that time, and spent the entire next year completing the work, a dance triptych. He was pleased with the result. The French master’s ad hoc ingenuity captures the essence of an emerging concept known as resilience. Resilience theory, first introduced by Canadian ecologist C.S. A key feature of complex adaptive systems is their ability to self-organize along a number of different pathways with possible sudden shifts between states: A lake, for example, can exist in either an oxygenated, clear state or an algae-dominated, murky one. Arguably the most urgent of these tasks is the nested set of global environmental crises we now confront: climate change, ocean acidification, pandemics, water scarcity, overfishing, and loss of ecosystem services.
What is resilience?
Top video: senior research fellow Brian Walker explains the concept of resilience. Download "What is resilience?" Download "Vad är resiliens?" Swedish version Resilience is the long-term capacity of a system to deal with change and continue to develop. For an ecosystem such as a forest, this can involve dealing with storms, fires and pollution, while for a society it involves an ability to deal with political uncertainty or natural disasters in a way that is sustainable in the long-term. Increased knowledge of how we can strengthen resilience in society and nature is becoming increasingly important in coping with the stresses caused by climate change and other environmental impacts. Why resilience? The resilience approach focuses on the dynamic interplay between periods of gradual and sudden change and how to adapt to and shape change. Video below: science director Carl Folke explains resilience.
Ibet indice de bien etre au travail
Le mal-être au travail n’est pas seulement subjectif - Actualité RH
Article publié le 17/10/2011 L’étude statistique Vs le baromètre psychologique Depuis quelques années, le sujet du bien-être/mal-être au travail est au cœur du débat RH et on assiste à un florilège d’enquêtes sur le sujet. La plupart de ces études sont basées sur le ressenti des salariés et les actions mises en place dans l’entreprise pour favoriser le bien-être des collaborateurs. Certaines donnent lieu à des classements comme celui, bien connu, de l’Institut Great Place To Work. « Tandis que les sondages et baromètres basés sur des questionnaires subjectifs interrogent sur des intentions, des perceptions, l’IBET est une méta-mesure socio-économique de ce qui se passe dans l’entreprise. « Pour autant, je ne dis pas que les questionnaires subjectifs sont inintéressants. « L’IBET et les TMETS sont calculés à partir des statistiques annuelles que les entreprises sont tenues de communiquer à la DARES et la CNAMTS. L’industrie, moins en proie au mal-être que le tertiaire Typhanie Bouju