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80 idées de promotions pour augmenter vos ventes !ConseilsMarketing.fr

80 idées de promotions pour augmenter vos ventes !ConseilsMarketing.fr
Dans un contexte économique difficile, les PME bataillent pour trouver des prospects ou vendre plus à leurs propres clients, et justement les promotions sont un de mes meilleurs outils marketing pour augmenter ses ventes. L’avantage des promotions c’est qu’elles peuvent à la fois attirer des prospects, mais aussi faire acheter plus ses clients existants. Et le plus souvent, une bonne promotion va concerner avant tout la base de clients existants (elle plus nombreuse, elle a votre confiance…) que d’aller chercher à convaincre encore et encore de nouveaux prospects. L’expérience montre qu’il est bien plus rentable de vendre plus à ses clients que chercher à attirer encore plus de prospects, car il y a un double effort : convaincre un prospect et faire un effort commercial. Pour cela il ne suffit pas de lancer une promo, il faut mettre en place des promotions efficaces et rentables. Or, ce n’est pas si simple : – Il ne faut pas que faire des promotions “prix”. Avant de lancer votre promotion… Related:  PRIX

Le panier moyen des consommateurs baisse mais le e-commerce garde le sourire Le panier moyen des achats baisse ? Le monde de l’Internet n’en a que faire ! Alors que la plupart des commerçants s’inquiète d’une chute de la consommation, les e-commerçants se frottent les mains. Une histoire de vases communicants : ils profitent à la fois d’achats plus fréquents et de l’afflux de nouveaux clients. Pour deux raisons : la fréquence d’achat augmente encore et le nombre de cyberacheteurs ne cesse de croître. Compensation par le volume Le tourisme est le seul secteur où la compensation par le volume ne fonctionne pas : il est en baisse de 4% au troisième trimestre, à l’image de l’ensemble de son marché. Pour Noël, la tendance sera sensiblement la même : des dépenses moindre, mais plus d’acheteurs qu’en 2013. Des achats de plus en plus tardifs

Le juste prix, une affaire de virgule Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Fixer le juste prix. La question est vieille comme le monde, ou du moins comme le commerce. Deux économistes de Singapour, Monica Wadhwa (Insead) et Kuangjie Zhang (Nanyang Technological University) ont publié un article dans le Journal of consumer research qui promet d’éclairer le commerçant, comme le consommateur. L’affirmation s’appuie sur une batterie d’études comportementales. Dans le second cas, le phénomène inverse a été observé, sans que les deux prix décalés puissent être sérieusement départagés. Usage familial contre utilisation scolaire Peut-être la nature même des deux produits cachait-elle d’autres motivations ? Et si le cerveau se trouvait occupé par autre chose, quel en serait l’effet ? Enfin, les deux économistes ont établi une corrélation entre le prix proposé et la nature de l’argumentaire commercial le plus percutant. Encore faut-il décider de ce qu’est un prix rond.

Le prix pour les consommateurs Introduction Le contexte économique (crise, tension sur le pouvoir d’achat), les nouvelles possibilités offertes par les technologies de communication (internet et mobile) et les évolutions réglementaires de ces dernières années ont accru la compétition en matière de prix et conduit distributeurs et producteurs à s’engager dans une guerre des prix pour maintenir leurs volumes de ventes et leurs parts de marché. La communication sur les prix est devenue omniprésente qu’il s’agisse de mettre en avant des prix bas permanents ou des politiques promotionnelles. Parallèlement, facilitées par les progrès technologiques, les pratiques de prix différenciés selon les contextes d’achat et les niveaux de demande se sont développées. La perception des prix par les consommateurs est un phénomène complexe. Différentes études menées montrent un décalage entre perception des prix par les consommateurs et réalité de l’évolution des prix. De nombreux secteurs ont vu le développement des modèles low cost.

"On vous emmène ?" : première campagne de marque OUIBUS signée Buzzman C'est un lancement de marque à part entière. Sans la caution de sa maison mère (la SNCF pour les distraits), OUIBUS s'affirme seule et part en campagne. Avec la signature "On vous emmène", la marque invite donc au voyage facile et à petits prix : 35 villes françaises sont desservies pour 170 trajets depuis le 3 septembre dernier. Onze liaisons européennes sont également possibles vers la Belgique, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Suisse, l'Italie et l'Espagne. "C'est une bonne nouvelle cette marque ! " se réjouit Béatrice Godineau, directrice Communication de Ouibus "Ouibus s'inscrit dans l'offre des essentiels OUI de la SNCF. Thomas Granger, vice-président de Buzzman, confirme "avec cette toute nouvelle signature et cette première campagne, la marque OUIBUS pose les bases de son territoire : proximité, bienveillance et générosité. Plan media Les trois films Libéralisation du secteur : un marché très concurrentiel C'est une nouvelle jeunesse pour les voyages en car. Expérience client

Le prix n'est plus ce qu'il était, Contrôle de gestion Combien vaut un billet de train Paris-Lyon ? La réponse est simple : ça dépend. Ca dépend de la date du voyage, du jour d'achat, du site Internet, des conditions d'échange et de remboursement, etc. Votre voisin a peut-être payé trois fois moins que vous… L'ouverture de l'éventail des prix n'est certes pas nouvelle. Depuis des siècles, les salles de spectacle font varier les tarifs selon le calendrier pour vendre tous les fauteuils ou en tirer le maximum d'argent. Cette forme de tarification ne s'applique en principe que pour le « fugace ». Nous entrons ici dans un monde nouveau. Pour les économistes, c'est un changement radical. Les statisticiens sont a priori mieux armés. Pour les entreprises, enfin, le défi est d'une autre nature. Editorialiste aux « Echos » Les points à retenir

L'élasticité, la demande, le prix, les marges Lorsque l’on parle d’ élasticité, il faut comprendre que c’est la demande qui est élastique : les volumes de ventes varient en fonction du prix fixé. Il y a trois cas à analyser pour interpréter le coefficient d’élasticité : 1) L’élasticité est négative : Vous vendez moins à un prix plus élevé ==> c’est le cas classique, les prospects se heurtent à un prix trop important qui les dissuade d’acheter. Un exemple : Vous vendez plus à un prix moins élevé ==> c’est le cas des promotions par exemple, une diminution du prix incite le marché à consommer plus. Un exemple : 2) L’élasticité est nulle (ou presque) : Vous vendez autant, quand bien même votre prix augmente. Vous vendez autant alors que votre prix est en baisse ==> Assez rare comme cas de figure. 3) L’élasticité est positive : Magique : vous augmentez vos prix et vous vendez plus ! Reprenons les concepts de la première partie de ce dossier : Maintenant ajoutons l’analyse des coûts et de la marge : Quelques exemples :

La détermination du prix Plusieurs méthodes qui peuvent être complémentaires sont disponibles pour déterminer le prix. Le prix peut être soit déterminer par l’analyse : du client. de la concurrencedes coûts de revient Détermination du prix par le client Le client est aujourd’hui mieux informé et capable pour la plupart des produits et services de comparer les prix pratiqués. De manière basique, pour pouvoir le fixer, il est nécessaire de pouvoir répondre à deux questions : En dessous de quel prix le produit ou service ne lui semble pas bon ? Une étude par le biais d’un questionnaire pourra permettre de répondre à cette question. L'analyse des résultats permettra cependant de fixer la tranche de prix acceptable par le plus grand nombre de clients. A prix égal, le consommateur pourra être prêt à choisir le produit ou le service de l’entreprise voire à le payer plus cher si celui-ci lui apparaît de meilleure qualité. Détermination par la concurrence Détermination par le prix de revient

Quel est le secret de Lidl pour vendre du vrai caviar à 10 euros? En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... bien ensoleillé Vent : 5km/h - UV : 1 Clôture veille : 4859.69 Ouverture : 4874.31 Newsletter BFM Business | Les + vues Replay Emissions FrédéricBIANCHI Journaliste Newsletter BFM Business Après le foie gras et les grands crus, l'enseigne de hard-discount continue de défricher le terrain du luxe avec le caviar. Et maintenant du caviar. Mais alors que les grands crus de la foire aux vins de septembre n'étaient pas accessibles à toutes les bourses (199 euros la bouteille d'Yquem), le caviar lui le sera davantage. Car le caviar est peut-être le dernier vrai produit de luxe. Première astuce: la quantité. Pas de vente en ligne pour le caviar

Consommer sans limite, une nouvelle attente des clients 79 € par mois pour consommer le TGV comme un forfait de téléphone illimité Netflix pour les séries, la carte UGC pour le cinéma, Deezer, Spotify et bien d’autres pour la musique, des forfaits illimités pour la téléphonie mobile et les box Internet… Une nouvelle culture a émergé dans les modes de consommation : l’abonnement pour un usage illimité. Ces derniers mois, les offres se sont multipliées, gagnant de nouveaux secteurs. Dernier exemple en date : le lancement par la SNCF, le 25 janvier dernier, d’une carte TGV Max permettant aux 16-27 ans de voyager de façon illimitée dans les TGV et Intercités moyennant 79 € d’abonnement mensuel. Plus d’infos : Les Échos Challenges 89 $ par mois pour partager un Uber à volonté à Manhattan Depuis 2015, New York compte plus de voitures Uber que de taxis jaunes. Ce forfait permettant de se déplacer à volonté affiche un tarif vraiment très bas : 59 $ pour un abonnement de deux semaines, 89 $ pour quatre semaines. Uber New York Time Out BFM Business Maddyness

Étude : « Le vrai coût des prix bas » Le prix (bas) a-t-il encore une valeur ? Quels sont les effets pervers de la course aux prix bas dans laquelle se sont engagés distributeurs et industriels ? Cela est-il réellement mené dans l’intérêt des consommateurs ? Quelles en sont les conséquences du côté des producteurs ? Bousculé par la crise, mais aussi par la transparence que favorise le digital, par l’économie du partage et même de la gratuité, par l’émergence simultanée du commerce équitable et du « peer to peer », par la surconsommation et le gaspillage, et par des modèles économiques qui marchent sur la tête, le prix voit sa valeur-même remise en cause... et la question du vrai coût des prix bas est désormais ouvertement posée, notamment à l’occasion des Etats Généraux de l’alimentation. Tour d’horizon dans le numéro 3 de notre collection de cahiers prospectifs Next Practice intitulé « Le vrai coût des prix bas ». Téléchargez l’étude « Le vrai coût des prix bas » Téléchargez le dossier de presse

Intermarché épinglé après l’affaire Nutella : dans quel cas les hypermarchés peuvent-ils vendre ou revendre à perte ? ÉCLAIRAGE – Pour la Répression des Fraudes, la promotion à -70% proposée par l’enseigne de grande distribution sur la célèbre pâte à tartiner a enfreint la loi. Alors que le dossier doit être transmis à la justice ce jeudi, LCI fait le point sur les conditions précises dans lesquelles il est possible de recourir à cette pratique. Audrey LE GUELLEC Les récentes bousculades et bagarres dans des rayons de supermarchés remplis de Nutella étaient-elles le fruit d’un manquement à la législation ? Oui, de l’avis des agents de la Répression des fraudes (DGCCRF) qui concluent qu’Intermarché a effectué de la revente à perte avec ses promotions à -70% sur la célèbre pâte à tartiner. Alors qu'un procès-verbal doit être remis à la justice ce jeudi, LCI fait le point sur les cas précis dans lesquels il est possible de recourir à cette pratique. Concrètement, la loi interdit aux distributeurs de revendre un produit en dessous du seuil de revente à perte, c'est-à-dire le prix d'achat effectif.

La révolution des promos : comment redonner du sens au prix ? Un vêtement sur deux est vendu à prix barré en France, tout comme un litre de lait sur deux. Entre remises immédiates, soldes, Black Friday et autres ventes privées, les promotions sont devenues un incontournable dans la plupart des parcours clients. Entre 2013 et 2017, le nombre de promotions dans la grande distribution a augmenté de 27 %, selon Retail Explorer. L’an dernier, 21,6 % des ventes en supermarchés et hypermarchés se font faites sous promotion (voir notre article : 5 chiffres qui illustrent le poids des promos). Les promos, ça marche ! Une raison simple à cette surenchère : les consommateurs raffolent des promotions ! Aujourd’hui, ce sont les promotions qui font bouger les lignes entre les enseignes. Et il n’y a pas que dans la grande conso que la recherche de la bonne affaire sonnante et trébuchante fait se déplacer les consommateurs. Une perte de visibilité des offres intéressantes Mais d’autres raisons poussent à une révolution dans l’usage des promotions.

Ikea, Decathlon, Costco… ces marques qui ont renoncé aux promotions, ou presque Peut-on attirer les clients sans multiplier remises, soldes et autres opérations promotionnelles tout au long de l’année ? La démarche n’est pas fréquente. « En France, la tendance générale est même d’afficher des promotions de plus en plus agressives, estime dans Le Parisien Yves Marin, directeur du cabinet de conseil Wavestone. Mais il n’empêche que les 10 % d’acteurs qui n’en pratiquent pas du tout s’en sortent plutôt bien. » Des exemples ? « Les besoins ne tombent pas forcément en même temps que la promo » Ikea fait partie de ces 10 % d’enseignes qui ont décidé de prendre leurs distances avec les remises à tout-va. Ikea préfère désormais miser sur des baisses de prix permanentes. « Nous ne voulons pas brader nos produits déjà aux meilleurs prix toute l’année » Depuis 2017, Decathlon fait de son obsession de proposer des équipements de qualité aux prix les plus bas le thème d’une campagne de publicité : « Vous n’imaginez pas ce qui se cache derrière un prix bas ».

Comment expliquer la différence de prix entre un T-shirt blanc à 5 euros et un à 125 euros ? MODE - Si vous avez déjà vu un T-shirt blanc H&M à 5 euros, vous aurez remarqué qu'il n'est pas si différent d'un T-shirt similaire, vendu plus de 250 euros par une grande marque de vêtements. Pourquoi cette différence de prix? Le second coûte-t-il vraiment une fortune? Plusieurs facteurs entrent en jeu pour déterminer le prix de vente d'un T-shirt, dont la plupart ne viennent pas à l'esprit du consommateur lambda quand il fait son shopping. Les réponses ne sont pas si évidentes, mais nous nous sommes entretenus avec quelques spécialistes qui ont éclairé notre lanterne. Commençons par le tissu "Le tissu constitue l'élément le plus coûteux de la plupart des vêtements", explique Margaret Bishop, professeure à la Parson School of Design et au Fashion Institute of Technology, ajoutant que la fibre "est lui-même l'élément le plus coûteux de la majorité des tissus". Mais encore? Viennent ensuite la variété et la qualité du coton: Sea Island, Giza égyptien, Pima américain, etc. Pas forcément.

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