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3H6 : La France de 1940 à 1946. La défaite de 1940

3H6 : La France de 1940 à 1946. La défaite de 1940

La rafle du Vel d'Hiv - Vidéo Ina.fr Lascaux La découverte de Lascaux en 1940 a ouvert une nouvelle page dans la connaissance de l’art préhistorique et de nos origines. Œuvre monumentale, la grotte continue de nourrir l’imaginaire collectif et d’émouvoir les nouvelles générations du monde entier. C’est à ce haut lieu de la Préhistoire qu’est dédiée la nouvelle publication multimédia du ministère de la Culture et de la Communication, publication qui réactualise autant la forme que le contenu scientifique de ce site mis en ligne en 1998, à la lumière des dernières avancées de la recherche archéologique. Au delà de l’émotion et à la lumière des recherches les plus récentes, le site internet est destiné à faire comprendre les secrets des artistes qui ont peint et gravé le bestiaire de Lascaux il y a 19000 ans et à présenter les orientations actuelles de la recherche scientifique sur les grottes ornées. Vache rouge à tête noire. Haut de page

L'Histoire du Japon. Au « pays du Soleil Levant » Si l'on suit les récits semi-légendaires, le premier mikado, le premier empereur, du Japon, aurait été un certain Kami-yamato-no-Iware-biko (667 av. J.C.), originaire du Sud de Kien-siou. Un nouvel âge.C'est en 645de notre ère, 1305 de l'ère japonaise, que l'habitude chinoise de compter par période nien-hao, en japonais nen-go, fut établie par Ame-yorodu-toho-yinomikoto (Kotoku-Tennô). , promoteur de progrès agricoles; en 799, le cotonnier; en 815, la culture du thé sont introduits au Japon. L'introduction du cérémonial chinois écarta les mikados du commandement militaire et fit passer le gouvernement aux mains de leurs lieutenants. Les Taïra se rattachèrent à un petit-fils de Kammu-Tennô. Scène de bataille. Le titre de taï-koun donné également au shogoun, est d'origine chinoise et n'était pas usité chez les Japonais. Statue équestre du samouraï Kusunoki Masashige (1294-1336), devantle palais impérial de Tokyo. Un samouraï. Le Japon et le reste du monde , etc

Exposition virtuelle - Sur les chemins de la Grande Guerre Grande Guerre interactive #1 : "1914, dernières nouvelles" L’événement était attendu par de nombreux producteurs – et par Le Blog documentaire… Le centenaire de la Grande Guerre coïncide avec l’arrivée à maturité, parmi les acteurs de l’audiovisuel, d’auteurs et de créatifs capables de développer des propositions interactives qui vont plus loin que le webdoc hérité du CD-ROM. Résultat : l’année 2014 sur le web sera parsemée de webdocumentaires, sites ou applications participatives, que les principaux diffuseurs ont tous savamment pensés et orchestrés. Première chronique avec « 1914, dernières nouvelles », l’une des facettes du dispositif d’ARTE diffusée depuis le tout début de l’année. A tout seigneur tout honneur : dans la course effrénée aux célébrations interactives de la Première Guerre mondiale, ARTE a dégainé le premier en mettant en ligne 1914, dernières nouvelles… dès le 1er janvier 2014 ! Nicolas Bole@Nicolasbole - Grance Guerre interactive #2 : "10 destins-Apocalypse" - 1914, dernières nouvelles : le quiz chansons pop/hip-hop Like this:

Loi des 16 et 24 août 1790 sur l'organisation judiciaire La loi des 16 et 24 août 1790 est une loi française sur l'organisation judiciaire, adoptée par l'Assemblée nationale constituante le 16 août 1790 et sanctionnée le 24 août (cote Archives nationales, France : AE II 3075 ou A 22/578, parchemin, grand sceau de cire brune). C'est la première loi importante en matière de justice votée par la Constituante. Elle reste connue aujourd'hui comme fondement de la dualité des ordres de juridiction. Adoption[modifier | modifier le code] La loi est le résultat du travail effectué par les députés pour réorganiser la justice. Le 31 mars, l'Assemblée adopte un décret fixant la liste des « questions préliminaires » qu'il convient de régler. Plan et vue d'ensemble[modifier | modifier le code] La loi se compose de douze titres, la numérotation des articles reprenant à 1 au sein de chaque titre. Le titre II et ses grands principes[modifier | modifier le code] Les trois derniers articles du titre annoncent des modifications à venir dans trois domaines :

Les troublantes révélations issues des dossiers nazis sur le profil des membres de la Gestapo et leur destin après la deuxième guerre mondiale Atlantico : Quand on apprend que les cadres de la Gestapo avaient, pour la très grande majorité, un très haut niveau d’études, pourquoi sommes-nous gênés ? Georges Bensoussan : Ces informations ne constituent pas une révélation en soi, on sait depuis longtemps que l’élite du régime était constituée de gens très bien formés, intellectuellement formés, des diplômés. On sait aujourd’hui qu’à peu près les 2/3 des officiers supérieurs de la SS avaient fait des études supérieures. Dépasser le niveau bac, c’était considérable à l’époque. Donc cette idée que c’est un ramassis de vauriens, de voyous et d’incultes, c’est faux. Mais elle a perduré dans le grand public car c’est une idée qui rassure, comme le font souvent les mythes. On ne comprend pas comment tant de crimes ont pu être possibles dans ce contexte parce que le crime relève à ce moment-là d’une idéologie et d’une culture spécifique qui fait du crime la normalité. atlantico sur facebook notre compte twitter Intéressé par cet auteur ?

Regardez en avant-première le documentaire "Apocalypse Verdun" A la fin 1915, les chefs d’états-majors britanniques et français veulent mettre un terme à la guerre, qui dure depuis un an et demi, grâce à une offensive prévue pour l’été, dans la Somme. Mais les Allemands les surprennent en déclenchant, le 21 février 1916, une pluie d'obus sur 20 km de front à Verdun, à seulement 230 km de Paris. Pendant 300 jours et 300 nuits, la région est le théâtre des pires affrontements de la première guerre mondiale entre Français et Allemands. En s'appuyant sur plus de 500 heures d’archives restaurées et mises en couleurs, le documentaire, Apocalypse Verdun, d’Isabelle Clarke et Daniel Costelle, offre une plongée de 90 minutes au cœur d’une des plus grandes batailles de tous les temps.

A Verdun, cent ans après, la terre recrache encore des corps de poilus Un siècle est passé, mais la terre de Verdun relâche encore les restes de ses combattants. Près du fort de Douaumont (Meuse), le Dr Frémont, médecin légiste de Verdun, vient d'être alerté puisque des ossements ont été exhumés. C'est dans la chambre mortuaire de l'hôpital de Verdun que sont analysés les restes. "De temps en temps, ont peu avoir la chance d'identifier un poilu ou un soldat de la guerre 14-18, c'est là tout l'intérêt de la démarche", affirme-t-il. Le JT JT de 20h du samedi 20 février 2016 L'intégrale Les autres sujets du JT

RECIT FRANCETV INFO. "Je ne crains pas la mort mais j’ai peur d’avoir peur" : à Verdun, au cœur des tranchées à travers le journal inédit d'un poilu Arrivé à Bisseuil, en Champagne, Louis n’a que peu de temps pour faire connaissance avec ses hommes avant de partir au combat : une cinquantaine de soldats, dont quarante combattants et une dizaine d’hommes affectés à l’intendance. Sa section, la 3e, est composée pour moitié de poilus aguerris, de "braves types un peu frondeurs, mais courageux et dégourdis", et pour moitié de jeunes de la classe 1915. Eux n’ont jamais vu le feu, ce qui convient très bien au jeune officier, toujours angoissé de commander des hommes plus expérimentés que lui. A cet endroit de la Marne, les choses sérieuses commencent. Le 3 septembre, Louis monte au front pour la première fois, près de Mourmelon. Les outils – pelles, pioches – sont distribués à la compagnie qui se met en marche à la tombée de la nuit pour ne pas être repérée. A 600 mètres de la ligne de feu, les hommes de Louis commencent à consolider un boyau de terre et de craie. Sa première nuit au front s’est déroulée dans une relative sécurité.

Cent ans après Verdun, des descendants de poilus évoquent la mémoire de leurs ancêtres Tous deux ont connu l’enfer des tranchées, et tous deux ont survécu au pire. Le premier, Louis Mabille de Poncheville, un fils de bonne famille étudiant en droit, s’engage pour sortir de son oisiveté et défendre la patrie. Le deuxième, Raoul Houssard, un jeune agriculteur modeste, se bat pour "sauver la France". Cent ans après Verdun, leurs descendants reviennent, dans un reportage d’Anne Guéry et Jean-Marie Lequertier, sur les traces de ce père et de ce grand-père qui y ont combattu. Patrick Descamps, le petit-fils de Louis Mabille de Poncheville, découvre il y a quelques années les carnets de guerre de son grand-père. Sept fascicules écrits par un jeune sous-lieutenant de 19 ans, engagé dans un conflit où il ne redoute qu'une chose, ne pas être à la hauteur.

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