Drone
Radioplane OQ-2A au musée de l'USAF. Drone civil OnyxStar Fox-C8 XT en vol. Sa taille et masse (de quelques grammes à plusieurs tonnes) dépendent des capacités recherchées. Le pilotage automatique ou à partir du sol permet des vols longs de plusieurs dizaines d'heures (à comparer aux deux heures typiques d'autonomie d'un chasseur). Certains missiles non balistiques, en particulier les missiles de croisière, ont l'apparence aérodynamique de drones, mais ne sont cependant pas réutilisables, car détruits en fin de mission, contrairement au drone qui est ramené à sa base. En France, la réglementation est du ressort du code de l’aviation civile, du code des transports et de la DGAC. Définition[modifier | modifier le code] Le terme anglais « drone » désigne d'abord et surtout un avion-cible. L'organisation de l'aviation civile internationale a quant à elle retenu l'appellation « RPAS » (pour « Remotely Piloted Aircraft System », soit « système d'avion piloté à distance »).
1er drone ! - Quel drone choisir ? - Forum Drone
Salut, J'ai acheté en août dernier une "chinoiserie" en vacances à un type dans une galerie marchande qui faisait voler son matos (JXD 385, des clones de hubsan x4) au dessus de la tête des gens (devait pas connaître la loi, et moi non plus à l'époque). Je trouve cela un peu vif au pilotage pour un débutant malgré la présence de 3 vitesses. Bref après un fly away et l'achat d'un autre jxd 385, le père noël m'amène un Blade 350QX2. Donc, dans mon cas j'aurai du acheter direct un blade sans passer par les petits. Le Blade 350QX2 : Le mode headless est, je trouve, une aberration qui ne fait pas prendre de bons réflexes, le mode stabilité est parfait pour commencer. Pour le mode agilité, faut vraiment être à l'aise (je n'ai pas été prudent et ça m'a coûté déjà un châssis et un train). Tout ça pour dire que je pense avoir gâché 80€ avec mes 2 JXD (soit le prix d'une batterie du blade). Un exemple de ce que l'on peut faire :
L'histoire du drone racontée par son « inventeur » - le Parisien
Engin de mort pour ses détracteurs et arme indispensable à toute armée moderne pour ses partisans, le drone ou UAV (Unmanned Aerial Vehicle, pour « aéronef sans personne à bord ») a révolutionné l'art de la guerre bien avant de s'imposer comme un jouet pilotable par nos enfants. Même s'il en refuse modestement la paternité, le professeur David Harari, un ingénieur franco-israélien, a inventé dans les années 1970 le tout premier drone moderne doté d'une caméra et baptisé Scout. Dans quel contexte est né le premier drone ? Comment vous est venue l'idée du premier modèle ? Qu'est-ce que l'intervention israélienne au Liban, l'été 1982, a changé ? Cette première a attiré d'autres pays ? Quelle a été l'étape suivante ?
Histoire du drone
Le drone est un aéronef télécommandé, c’est-à-dire sans pilote à bord. Il embarque une charge utile qui lui permet de réaliser des missions diverses et variées : surveillance, renseignement, cartographie, transport, vidéo… La conceptualisation du drone remonte à la fin de la Première Guerre Mondiale. Alors qu’aux Etats-Unis se développe le projet Hewitt-Sperry automatic airplane, en France George Clémenceau, alors Président de la Commission sénatoriale de l’Armée, lance un projet « d’avions sans pilote » : le capitaine Max Boucher met au point un système de pilotage automatique qui fait voler sur plus de cent kilomètres un avion Voisin BN3. Hewitt-Sperry automatic airplane La dénomination de « drone » (terme désignant en anglais un « faux bourdon », mâle de l’abeille) a été octroyée dans les années 1930 au Royaume-Uni par comparaison ironique à des Queen Bee : leur vol bruyant, lent et paresseux ressemble plus à celui du bourdon à la vie éphémère qu’à celui d’une reine abeille.
Point sur l'évolution du marché des drones civils et de la législation française
Selon la Commission Européenne, il y a plus de 400 projets dans 20 pays européens consacrés au développement des drones civils allant de quelques grammes jusqu’à la taille d’un avion A320 d’Airbus. Plus de 80% des entreprises qui travaillent sur ces projets sont des petites et moyennes entreprises ou start-ups. Le marché se développe très rapidement, surtout cette année avec un potentiel énorme. L’Industrie Aéronautique et Aérospatiale a estimé que les dépenses annuelles sur les drones dans le monde vont presque doubler jusqu’à atteindre 11,4 milliards de dollars en 2022. Une bonne partie des investissements sont toujours axés vers des applications militaires, mais la Commission Européenne affirme qu’il est fort probable qu’un véritable marché pour les applications civiles émerge très rapidement. Il existe déjà des textes de loi pour la France ici et là, mais ces derniers semblent déjà hors-scope par rapport à l’évolution fulgurante du marché.
Avenger : le drone militaire de tous les records
La guerre menée par la CIA contre le terrorisme, notamment Al-Qaïda au Pakistan, s'appuie fortement sur les drones. Ces mêmes drones qui sont devenus en à peine dix ans une composante essentielle du renseignement aérien. Cette technologie est pourtant relativement jeune et beaucoup reste à y faire. General Atomics, acteur majeur du secteur, continue d'innover avec l'Avenger, qui pourrait être mis en service cette année. Les drones de surveillance et de combat de la famille "Predator", développés par General Atomics, sont parmi les plus utilisés au monde. Le premier Predator était une évolution du GNAT, un drone de reconnaissance développé pendant les années 1980. Une montée en puissance Anticipant les besoins de l'armée, General Atomics commenca rapidement le développement du Predator B, que l'armée renomma MQ-9 Reaper lors de son entrée en service en 2007. Furtif et longue portée Ci-dessous une vidéo de présentation de l'Avenger :