Comparing US states with countries: Stateside substitutes

Comparing Brazilian states with countries: Compare-cabana Toda Menina Baiana - Gilberto Gil Brésil : la déforestation se stabilise - 27 novembre 2014 RALENTISSEMENT. Pour Izabella Teixeira, la ministre de l'Environnement du Brésil, il y a matière à se féliciter. La déforestation en Amazonie brésilienne a reculé de 18% entre 2013 et 2014, et n'a représenté en 2014 "que" 4.848 km². Soit tout de même un terrain de foot et demi de forêt à chaque minute... "C'est le deuxième chiffre le plus bas de l'histoire se félicite Izabella Teixeira, qui précise que Tout le reste n'est que spéculations. Ce résultats est dû "à un gros travail de contrôle, de renseignement et régulation environnementale", a-t-elle ajouté. En 10 ans, le Brésil est en effet parvenu à réduire considérablement la déforestation qui dépassait les 27.000 km² par an en 2004. Mais par la suite, la déforestation dans la plus grande forêt du monde est repartie à la hausse pour s'établir à 5.891 km² (+29%) en 2013. Ces données ont été diffusées à quelques jours de l'ouverture à Lima de la 20e Conférence de l'ONU sur le climat (COP20, du 1er au 12 décembre). EFFORT. CONTRADICTION.

Migrations intérieures aux États-Unis (2005-2009): sous l'influence du cyclone Katrina Migrations intérieures aux États-Unis (2005-2009): sous l'influence du cyclone Katrina Mots clés: États-Unis • Interaction spatiale • Katrina • La Nouvelle-Orléans • Métropoles • Migrations intérieures Près de 4% des 200 millions d'habitants des principales aires métropolitaines ont changé chaque année de région de résidence à l'intérieur des États-Unis d'Amérique au cours de la période 2005-2009. La mobilité résidentielle intérieure est plus forte aux États-Unis que dans tout autre pays de l’OCDE (Courgeau, 1982; Molloy et al., 2011; Zaninetti, 2010, 2011a). Les temps de crise sont propices aux recompositions territoriales. Méthodologie L’enquête annuelle de recensement (ACS) a été testée entre 1994 et 2004 en vue de la substituer au questionnaire long du recensement décennal qui a disparu en 2010 [1]. Les résultats de l’ACS sont imprécis et ne doivent pas être confondus avec les dénombrements effectués au moment du recensement. Continuités des tendances récentes en dépit de la crise

kraft La guerre de la drogue L’usage de la coca existait déjà dans les Andes du temps des Incas. Le gouvernement en détenait le monopole et ne permettait son emploi qu’à des fins rituelles ou pour les durs travaux de la mine. Les Espagnols par la suite stimulèrent vivement son développement. Mais en tout état de cause, s’ils sont depuis toujours producteurs et consommateurs de coca, ce ne sont pas les peuples andins qui ont inventé la cocaïne ! La filière coca-cocaïne s’est développée dans le contexte d’une crise généralisée des économies latino-américaines, sur fond de baisse continue du prix des matières premières et de mise en place des politiques d’ajustement structurel des années 80. Près de 80% de la cocaïne et environ 90% de la marijuana pénétrant aux Etats-Unis proviennent d’Amérique latine. Vie et mort des cartels colombiens Nouvel interventionnisme américain C’est dans cette perspective qu’il faut voir la récente intrusion de Washington dans le conflit colombien. Une guerre perdue

Pourquoi le Brésil s'enfonce dans la crise D’ordinaire, les propos d’un banquier central sont plutôt sibyllins, laissant libre cours aux interprétations des marchés financiers. Les mots prononcés jeudi 24 septembre par Alexandre Tombini, le président de la banque centrale du Brésil étaient limpides. Si les marchés financiers veulent continuer à spéculer contre le réal (la devise brésilienne), alors Tombini est prêt à sortir la grosse artillerie. Le patron de la banque centrale brésilienne n’a pas hésité à faire état de ses munitions monétaires : une partie des 370 milliards de dollars de réserves de change pourraient servir à soutenir la devise nationale, le réal. Certes, les mots d’Alexandre Tombini ont suffi à faire redescendre la pression sur la monnaie brésilienne. Erreurs politiques et mauvaise gouvernance Le Brésil a perdu de sa superbe, embourbé dans les scandales de corruption et confronté à un modèle de développement à bout de souffle. Un cercle vicieux Cigales hier, les Brésiliens sont devenus fourmis aujourd’hui.