background preloader

Youtube / Content ID

Overview YouTube has created an advanced set of copyright policies and content management tools to give rights holders control of their content. YouTube provides content management solutions for rights holders of all sizes across the world, and provides tools to cater to the specific needs of various rights owners. Commercial partnerships Use of YouTube's copyright tools is free, and does not require any commercial partnership with YouTube. What is Content ID? YouTube's state-of-the-art technologies let rights owners: Identify user-uploaded videos comprised entirely OR partially of their content, and Choose, in advance, what they want to happen when those videos are found. It's up to you. How does Content ID work? Rights holders deliver YouTube reference files (audio-only or video) of content they own, metadata describing that content, and policies on what they want YouTube to do when we find a match. We compare videos uploaded to YouTube against those reference files. Why use Content ID?

Rachat de Tumblr par Yahoo La rumeur , qui courait depuis quelques jours, est devenue réalité. Yahoo! a annoncé le rachat du réseau de blogs Tumblr pour 1,1 milliard de dollars, lundi 20 mai. Le rachat est la plus grosse opération financière réalisée par sa directrice générale, Marissa Mayer, depuis son arrivée aux commandes l'été dernier pour relancer la croissance du portail. Elle se félicite d'ailleurs de cette acquisition dans un tweet, lundi 20 mai, promettant de ne pas "foirer" ! De son côté, David Karp, le patron de Tumblr, devrait rester au sein de Yahoo! Yahoo! Une série d'acquisitions Marissa Mayer a mis l'accent jusqu'ici sur la simplification, la modernisation et la personnalisation des produits du groupe internet, et a déjà réalisé une série d'acquisitions ces derniers mois, mais très petites et ciblées. Une tentative pour faire une plus grosse opération en prenant le contrôle de la plateforme internet de partage de vidéo Dailymotion a été bloquée récemment par le gouvernement français.

Partage des revenus publicitaires Les relations s'apaisent entre YouTube et la filière musicale. Mercredi, le site de vidéos de Google a annoncé la signature d'un contrat de trois ans avec la Sacem, qui le conduira à rémunérer les auteurs, les compositeurs et les éditeurs de musique français, lors du visionnage de clips intégrant leurs morceaux. Le précédent accord, conclu en septembre 2010 , était arrivé à échéance le 31 décembre 2012. La difficulté des négociations portait sur le montant que le groupe américain reverse aux ayants droit lorsque les internautes visionnent un clip musical. «Nous espérons faire progresser les revenus de nos sociétaires» Les termes du nouvel accord sont confidentiels. Le nouvel accord entre YouTube et la Sacem se fonde pour l'instant sur un partage de revenus publicitaire.

Exemple : Gangnam Style Avec le clip vidéo déjanté de sa chanson Gangnam Style, le rappeur coréen PSY a explosé tous les records, en devenant la vidéo la plus “aimée” de l’histoire sur YouTube : plus de 350 millions de vues en l’espace seulement de quelques mois ! Ce succès fulgurant s’explique en grande partie par le nombre incroyable de parodies qui ont été postées en ligne par le public, reprenant à toutes les sauces la fameuse “danse du cheval” popularisée par le clip. Un nouveau mème est né et il est impressionnant de voir la masse de reprises/détournements/remix que cette vidéo génère partout dans le monde. Il existe même déjà une page – Wikipédia Gangnam Style in Popular Culture – attestant de l’engouement planétaire pour la nouvelle star de la Kpop.1 Cette synergie qui s’est mise en place entre cette vidéo et les contributions du public est déjà en elle-même fort instructive sur les nouveaux types de rapports que les créateurs de contenus peuvent entretenir avec les internautes. Abandon de copyright ?

Exemple : Harlem Shake Après le phénomène Gangnam Style en 2012, la folie du Harlem Shake est en train de faire naître à vitesse grand V un nouveau mème, bien parti pour battre tous les records. La vidéo qui a mis le feu aux poudres a été postée seulement le 2 février et déjà plus de 100 000 reprises, parodies, détournements ou remix sont apparus sur Youtube, totalisant plus de 400 millions de vues (avec quelques 70 vidéos à plus de un million de vues chacune). Contrefaçon dès l’origine Même si l’on retrouve dans ce nouveau cas des ingrédients semblables à ceux qui ont fait le succès de Gangnam Style, l’arrière plan juridique du Harlem Shake est sensiblement différent. En effet, l’épicentre du phénomène, à savoir la première vidéo postée, constitue une contrefaçon du droit d’auteur, puisque elle réutilise sans autorisation une musique protégée, composée par DJ Baauer. ContentID, machine à sous et machine à mèmes Tolérance à géométrie variable Accepter le filtrage pour pouvoir remixer en paix ? Like this:

Défaillances de ContentID Peut-on revendiquer des droits d'auteur sur des chants d'oiseaux ? La réponse est évidemment non, et pourtant c'est ce qu'a fait la société Rumblefish, spécialisée dans la vente de licences de bandes musicales. Sur Slashdot, Eeplox explique qu'il a l'habitude de publier sur YouTube des vidéos prises dans la nature, et qu'il n'y ajoute jamais de piste musicale. Mais lorsqu'il a publié sa dernière vidéo, YouTube l'a informé qu'il utilisait du contenu protégé par Rumblefish. Ce dernier est détecté automatiquement par les algorithmes Content ID de Google. Plutôt que de bloquer les vidéos qui utilisent son contenu, Rumblefish propose aux utilisateurs de YouTube d'afficher des publicités. L'auteur de la vidéo a donc contesté les prétentions de Rumblefish, qui a été invité par YouTube à vérifier ses allégations.

Quelle articulation avec le fair use ? UPDATE: On January 10th, less than 48 hours after I published this blog post, I received a one line email from The YouTube Team stating simply “The content has been reinstated.” No explanation or other information was provided. But Buffy vs Edward is now back on YouTube and can be viewed here. The copyright infringement “strike” also appears to be gone as my account is once again in good standing. It has been three and a half years since I first uploaded my remix video “Buffy vs Edward: Twilight Remixed” to YouTube. Since I published the remix in 2009 it has been viewed over 3 million times on YouTube and fans have translated the subtitles into 30 different languages. This past summer, together with the Electronic Frontier Foundation, I even screened the remix for the US Copyright Office at the 2012 hearings on exemptions to the DMCA. I always turn all ads off on my remix videos and never profit off them. Or so I thought. I was dumbfounded. No other option?

Dérive vers une forme de justice privée Le mois dernier, le Conseil National du Numérique (CNNum) expliquait que certains acteurs devenus incontournables sur Internet avaient un tel poids que leur usage "relève presque du service public". Cette remarque en apparence anodine, en marge d'un rapport sur la neutralité du net, est lourde de sens. Elle implique que certains services privés ont une responsabilité sociétale qui dépasse leur propre liberté, notamment contractuelle. C'est notamment le cas pour YouTube, qui est utilisé par un milliard d'êtres humains sur Terre chaque mois, et qui a donc une responsabilité particulièrement lourde dans l'exercice effectif des libertés d'expression et de communication. On savait déjà qu'Universal Music avait depuis 2009 un accord contractuel avec YouTube, qui lui a notamment permis de censurer une chanson à la gloire de MegaUpload, alors que la maison de disques n'avait aucun droit d'auteur ou droit voisin à faire valoir sur la vidéo en question.

Quel partage de la valeur ? Un grondement sourd se fait entendre si l'on tend l'oreille du côté des Youtubeurs. En effet, depuis peu, Nintendo n'hésite plus à réclamer ses droits sur les vidéos utilisant le contenu de ses jeux. Si le constructeur ne demande pas le retrait des vidéos de la plateforme de Google, il récupère les revenus publicitaires, ce qui fait grogner ceux qui vivent de ces vidéos. Nombreux sont les Youtubeurs, ces utilisateurs actifs de la plateforme vidéo de Google, qui gagnent leur vie, ou arrondissent leurs fins de mois en proposant leurs vidéos. En matière de jeux vidéo plus qu'ailleurs, ces flux Youtube participent en eux même à une démarche commerciale. Délicieux choix gagnant-gagnant ou immonde aspirateur à profits ?

Amazon et les Fanfictions Depuis son lancement, le Kindle Store s'est régulièrement enrichi pour vendre toujours plus de contenus. D'abord ouvert aux romans, le magasin numérique d'Amazon a ensuite accueilli les journaux, les magazines et, plus récemment, les nouvelles et les histoires courtes . Aujourd'hui, le géant du commerce électronique s'intéresse aux fanfictions. Récits amateurs d'une qualité variable, les fanfictions (ou fanfics) sont des histoires " que certains fans écrivent pour prolonger, amender ou même totalement transformer un produit médiatique qu'ils affectionnent, qu'il s'agisse d'un roman, d'un manga, d'une série télévisée, d'un film, d'un jeu vidéo ou encore d'une célébrité ", explique l'article Wikipédia consacré au phénomène. Ces adaptations sont très populaires au sein de certaines communautés qui se sont agrégées autour d'un univers particulier. L'idée d'Amazon avec Kindle Worlds est simple : il s'agit d'être une sorte de trait d'union entre les ayants droit d'une œuvre et ses fans.

Amazon s'empare du marché de la «fanfiction» Encouragé par le succès de Fifty Shades of Grey, Amazon va proposer aux écrivains amateurs de vendre leurs écrits inspirés de leurs oeuvres de fiction préférées. Et si Voldemort n'avait pas tué les parents de Harry Potter? Et si Bella de Twilight avait finalement choisi Jacob? Et si l'Etoile Noire de Star Wars n'avait pas été détruite? Ces étranges scénarios font depuis des années le délice de certains fans, qui n'hésitent pas à sortir la plume pour donner vie à leurs idées les plus folles, et les publier ensuite gratuitement sur Internet. Ces oeuvres amateures, nommée «fanfictions» («fictions de fan»), sont sorties de l'ombre grâce au succès mondial de Fifty Shades of Grey : les aventures érotiques d'Anastasia Steele et de Christian Grey mettaient en scène à l'origine les héros de Twilight , Bella Swan et Edward Cullen . Flairant un nouveau filon littéraire, Amazon a annoncé mercredi la création d'une plateforme en ligne permettant la vente de fanfictions, baptisée «Kindle Worlds».

Quelles conséquences à long terme ? Yesterday, Amazon announced the launch of Kindle Worlds , a new initiative aimed at letting fan fiction (sometimes falled fanfiction or fanfic) authors profit from some of their writing by making it available for sale in the Kindle store. The idea is both simple and bold. Amazon has partnered with rightsholders in major properties and gets permission to publish and sell fan fiction written about their worlds and characters. The revenue from those sales are split between Amazon, the original rightsholder and the author, meaning that fan fiction authors can profit legally from their creations. At launch, Amazon has signed three different licenses: Gossip Girl, Pretty Little Liars, and The Vampire Diaries. For authors, the cut is 35% of the net revenue from the book if the work is longer than 10,000 works. Still, the royalty on Kindle Worlds fan fiction is better than the royalty most fan fiction authors normally earn, which is nothing. A Natural Pairing The Money Element I truly don’t know.

The line between fiction and fic has never been blurrier When the Silo series first started, the book was free on Amazon. Since I live in Mexico, when I went to Amazon to download tge free book, I was going to be charged full price. I saw that Hugh had a website, and contact email, and I wrote him telling him both my wife and I would like to read the story, but felt that we were unfairly discriminated against, because of our location. He wrote me back, the NEXT DAY and made me a gift of the first 5 books of the series. Since my wife and I both are on the same Kindle account, we both read the series, enjoyed them immensely , and bought every book thereafter, including, Dust. In my opinion, Howie's not only a pretty good writer/businessman, he's a pretty good human being too.

Pinterest se pique aux règles du droit d’auteur Élu meilleure startup par TechCrunch en 2011, le réseau social Pinterest a le vent en poupe aux Etats-Unis et commence à faire parler de lui en France. Déjà considéré comme « le nouveau Facebook » par certains, le site est le premier début 2012 à avoir atteint aussi rapidement une audience de 10 millions de visiteurs par mois. Ce succès fulgurant cache néanmoins une polémique grandissante à propos du respect par le site des règles du droit d’auteur, car la contrefaçon semble inscrite dans ses principes même de fonctionnement. Reprenant le principe des visuals bookmarks, Pinterest permet en effet à ses utilisateurs de constituer un tableau en « épinglant » (to pin en anglais) leurs découvertes faites sur le web, à la manière d’un mur Facebook et de les partager avec les autres membres du réseau. Pinterest, sage comme une image ? Once installed in your browser, the “Pin It” button lets you grab an image from any website and add it to one of your pinboards. Fair use or not ? WordPress:

Related: