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Leuco War

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Chapitre 1 : LHomme face aux micro-organismes. Chapitre 1 : L’Homme face aux micro-organismes. Un micro-organisme est un être vivant microscopique. I. Les micro-organismes dans notre environnement. La diversité des micro-organismes. Activité 1 : La diversité des micro-organismes. Les micro-organismes (ou microbes), sont présents dans tous les milieux de notre environnement. Les barrières naturelles. Activité 2 : Les barrières naturelles. De nombreux microbes de notre environnement sont directement en contact avec notre organisme. Que se passe t-il si un microbe pénètre dans l’organisme ? II. La contamination. Activité 3 : Contamination et barrières naturelles. Les micro-organismes se transmettent par l’air, l’eau, les aliments, le sang, les relations sexuelles ou par simple contact avec des objets : c’est la transmission. Lorsqu’un microbe franchit les barrières naturelles (peau, muqueuses), il y a contamination. L’infection. Activité 4 : L’infection. Comment l’Homme peut-il se protéger de ces micro-organismes ? III.

L'utilisation au Canada d'antimicrobiens chez les animaux destinés à l'alimentation : Les conséquences pour la résistance et la santé humaine [Santé Canada, 2002] Juin, 2002 Si vous avez besoin d'aide pour accéder aux formats de rechange, tels que Portable Document Format (PDF), Microsoft Word et PowerPoint (PPT), visitez la section d'aide sur les formats de rechange. Table des matières Figures Tableaux Lettre Collège de médecine vétérinaire de l'Ontario Département de médecine des populations Le 28 juin 2002 Diane Kirkpatrick Directrice générale Direction des médicaments vétérinaires Direction générale des produits de santé et des aliments Santé Canada Madame Kirkpatrick, Le Comité consultatif sur l'utilisation d'antimicrobiens chez les animaux et les conséquences pour la résistance et la santé humaine a terminé la tâche qui lui avait été assignée et il est heureux de soumettre son rapport. Comme le précise son mandat, le Comité s'est concentré sur la remise de renseignements pertinents pour réduire les conséquences potentielles pour la résistance, la santé humaine et la sécurité associées à l'utilisation d'agents antimicrobiens chez les animaux. Résumé

L'immunité adaptative - Corpus - réseau Canopé L’immunité innée constitue une première ligne de défense naturelle contre des éléments menaçant l’intégrité de l’organisme. Cette immunité peut être complétée, chez les vertébrés, par l’immunité adaptative dont l’assise repose sur la mobilisation spécifique de cellules immunocompétentes : les lymphocytes T et les lymphocytes B. La lutte contre un antigène endocellulaire (virus de la grippe par exemple) recrute ainsi des lymphocytes particuliers : les lymphocytes T8 et les lymphocytes cytotoxiques. L’immunité innée constitue une première ligne de défense naturelle contre des éléments menaçant l’intégrité de l’organisme.

Cours de SVT - L'immunité innée Dans son environnement, notre organisme est soumis en permanence à des facteurs pouvant perturber son fonctionnement : - des agents infectieux tels que les microorganismes pathogènes (bactéries, champignons, virus, …) - des facteurs physiques ou chimiques venant altérer l’intégrité de notre patrimoine génétique et pouvant conduire au développement de tumeurs (UV, produits chimiques...) Il existe des moyens de se protéger de ses agents agressifs environnementaux : - se laver les mains ou stériliser le matériel médical permettant de limiter la contamination (pénétration des agents infectieux dans l’organisme). C’est l’asepsie. - désinfecter une plaie afin de limiter le risque d’infection (prolifération des agents infectieux dans l’organisme). C’est l’antisepsie. Parfois, ces mesures préventives et curatives ne suffisent pas. 1. Les barrières naturelles de l’organisme protègent le milieu intérieur de l’organisme des agressions de son environnement. a. b. 2. a. b. 3. a. b.

chap 1 : Les infections microbiennes De nombreux évènements dans l’actualité, tels que : le Sidaction en faveur de la recherche sur le SIDALes veilles sanitaires mises en place avec les apparitions récentes de la grippe aviaire puis de l’épidémie de grippe ALes pics de grippe, de gastroentérite ou de bronchiolite observés chaque hiverLa recrudescence de la tuberculose, ou les cas sporadiques de méningite, légionellose, salmonellose, maladie de Kreutzfeld-Jacob… témoignent que notre organisme est constamment confronté à la possibilité de pénétration de micro-organismes issus de son environnement. Ces microbes peuvent provoquer des maladies contagieuses qui se transmettent d’un individu à l’autre et peuvent être à l’origine d’une épidémie. Problématique : Comment l’homme peut-il limiter les risques liés aux infections microbiennes ? Investigation : Sous problème : Qu’appelle-t-on les micro-organismes ? L’observation microscopique de différents microbes permet de constater une grande diversité : Pour les bactéries : Pour les virus :

L'hémagglutinine, la neuraminidase et l'acide sialique Les protéines virales à la surface du virus H5N1, leur rôle dans la reconnaissance virus- cellule hôte et dans l'infection L'hémagglutinine L'hémaglutinine est une protéine antigénique trouvée à la surface des virus Inflenza type A. Elle est synthétisée sous forme d'un précurseur inactif HA0 par le virus. La structure tridimensionnelle de l'hémagglutine révèle qu'il s'agit d'un homotrimère (molécule formée de trois monomères identiques). la partie extracellulaire globulaire ou HA1 présente le site de liaison, appelé site RBS, au récepteur des cellules cibles comportant une molécule d'acide sialique la partie formant une tige ou HA2 permet la fusion de la membrane phospholipidique qui recouvre la particule virale avec la membrane de l'endosome de la cellule hôte lors du processus d'assemblage et de libération des virions (voir le cycle du virus). L'hémagglutinine est la cible majeure des anticorps produits par le système immunitaire lors d'un premier contact avec l'agent infectieux.

L'immunité - Corpus - réseau Canopé Introduction Organisation des séances Scénario organisé en 4 séances pour un total de 6h00. Séance 1 : 1h00Séance 2 : 1h00Séance 3 : 1h00Séance 4 : 3h00 Objectifs visés Montrer que la réaction inflammatoire est une réponse innée.Découvrir des acteurs cellulaires impliqués dans la mise en place de cette réaction inflammatoire.Établir des liens entre ces acteurs, leurs caractéristiques, leurs modalités d’action et les signes cliniques de l’inflammation.Étudier et comprendre la découverte historique du pouvoir phagocytaire de certaines cellules immunitaires et l’implication de ces cellules dans l’initiation de la réponse adaptative.Découvrir les modalités de coopération cellulaire dans la mise en place des réponses immunes.Distinguer les modalités d’action des lymphocytes B de celles des lymphocytes T.Identifier les intérêts thérapeutiques ou diagnostiques des anticorps circulants. Pré-requis Notions acquises en 3e Capacités/Compétences mobilisées Séance 1 Durée 1h00 Situation déclenchante Problème

Présentation et utilisation du logiciel Immuno3e 1- Présentation : "Défenses Immunitaires 3ème" est un logiciel composé de 3 parties différentes illustrant les mécanismes de défense de l’organisme face aux éléments étrangers : - partie 1 : animations sur les réactions de l’organisme face à une infection : phagocytose, rôle des lymphocytes B et T, mode d’action des anticorps (avec formation de complexes antigène-anticorps) ; - partie 2 : expériences d’injection de diverses toxines avec injection de sérum ou d’anatoxine, avec ou sans irradiation, ainsi que des graphiques indiquant la quantité d’anticorps produits suite à des injections successives d’antigène ; - partie 3 : exercices permettant de tester les connaissances acquises par les élèves sur les étapes de la phagocytose, la complémentarité antigène-anticorps…

Scientists record HIV moving through a living body HIV is what’s known as a retrovirus, meaning that it doesn’t just get into your cells — it gets into your genome. The vicious little DNA robots splice their own info into yours, meaning that once you’ve identified an infection it’s already too late to get rid of it. Without advanced gene editing technology to splice that info back out, those cells now, in a very real way, belong to HIV. That being the case, it’s important to know how the disease spreads through the body. To do this more directly than ever before, researchers from Yale University injected a fluorescently labelled version of HIV into the lymph nodes of mice. Here, the blue labels show lymph tissue, the green viral particles. Watching the labelled viral particles move throughout the body in this way gave the researchers a few important bits of information. A macrophage (not actually purple). We’ve known HIV’s general life cycle for a long time now.

Immunité : l'armée qui nous protège, agents pathogènes Virus, bactéries, parasites, cellules cancéreuses, certains poisons… Ils sont nombreux les agents pathogènes susceptibles de troubler le bon fonctionnement de l'organisme. Eux, c'est certain, appartiennent au non-soi. Leur présence est nuisible pour le corps. Les microbes ( virus, bactérie, parasite, mycose) peuvent déclencher des maladies infectieuses. Comment ? Les bactéries ont plusieurs modes de virulence. Bien sûr, pour lutter contre les bactéries (ou même d'autres micro-organismes exceptés les virus), nous avons les antibiotiques, des substances chimiques qui ont une action spécifique avec un pouvoir destructeur sur les micro-organismes et dépourvues de toxicité pour les autres cellules. Mais même sans les antibiotiques, le corps peut se défendre seul contre les envahisseurs. En savoir plus Vrai ou faux ?

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