Le Dico des filles s’attaque au droit à l’avortement. Agissons !
Chaque année, la maison d’édition sort son Dico des filles, un dictionnaire de 200 mots pour répondre aux interrogations des adolescentes de 12 à 16 ans. Adolescence, amitié, sexualité mais aussi mode ou beauté, on trouve ici un manuel très complet. Une question ? Un problème ? Pas d’inquiétude : Fleurus vous explique de A à Z ce qu’être femme veut dire. Une page est particulièrement intéressante : celle qui nous parle de droit à l’avortement. La maison d’édition Fleurus n’y va pas par quatre chemins. Si vous choisissez de disposer librement de votre corps, votre vie ressemblera ensuite à quelque chose de très très triste. Fleurus estime que « les grandes familles religieuses ont leur mot à dire ». La fin de l’article est juste à tomber : « Heureusement, cela ne veut pas dire qu’elles ne pourront, par la suite (…) être de bonnes mères ». Vous cherchez des infos fiables sur l’IVG ? Fleurus a montré à de nombreuses reprises son désintérêt de l’égalité femmes – hommes.
Why I Have No Regrets About Sharing My Abortion Video
Last week Emily Letts talked to Cosmopolitan.com about her abortion video. Within 48 hours, the story had gone viral and Emily found herself in the middle of a media circus. She hasn’t been back to work at Cherry Hill Women’s Center, where she is an abortion counselor, because the task of responding to all the media attention — and criticism — has become her full-time job. Setting up the taping in the way that you did and choosing to talk to Cosmopolitan about it were very deliberate moves in terms of calling attention to the video. It’s crazy. It is a story about filming your abortion. When it was just the video, it was just three minutes of a procedure. Do you regret any of the interviews you’ve done since the story came out? The way Dr. What’s been left out of the conversation this story has provoked? It starts with shame. I’ve had threats and curses put on my uterus for writing the story. I am aware of the negative, but I’m kind of impervious to it, to be honest. All the time.
Élections fédérales 2015 : la ministre de la Condition féminine, Kellie Leitch, est contre l'avortement
La ministre fédérale de la Condition féminine, Kellie Leitch, a déclaré lors d’un débat électoral local cette semaine qu’elle est contre l’avortement. La candidate dans la circonscription de Simcoe-Grey, en Ontario, en a fait la remarque après que l’animateur leur ait demandé de s’exprimer sur leur plan pour « protéger la vie » des jeunes et des moins jeunes. « Je suis pro-vie », a lancé Kellie Leitch, sans hésiter. « J’ai passé une partie significative de ma carrière professionnelle à m’occuper des enfants handicapés – des enfants qui ont un potentiel immense parce qu’ils sont nés. » Écoutez la réponse complète de Mme Leitch à partir de 1:39:27 environ: Le bureau de Kellie Leitch n’a pas répondu aux demandes d’entrevue de nos collègues du Huffington Post Canada. Sur le site Campaign Life Coalition, la position de Kellie Leitch sur le droit d’interrompre la grossesse n’avait pas encore été « évaluée ». Le quart des candidats de Stephen Harper sont contre l’avortement, selon ce même site.
«L'accès à l'avortement reste un combat à mener»
À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes et des 60 ans du planning familial, ce mardi, la plus jeune signataire du «Manifeste des 343», en 1971, revient sur cette époque où l'avortement, considéré comme un crime, était tabou dans la société française. Le Planning familial fête ses 60 ans, ce mardi. Son premier combat fut l'accès à la contraception et au droit à l'IVG, (interruption volontaire de grossesse) jusqu'à l'adoption de la loi dite Veil en 1975. Claudine Monteil, ancienne diplomate et auteur de nombreux ouvrages sur Simone de Beauvoir, icône du féminisme, était une jeune femme à l'époque où l'avortement, considéré comme un crime, était pénalement puni. Signataire du «Manifeste des 343» femmes déclarant avoir avorté, qui a été publié dans le Nouvel Obs en 1971, elle revient sur le contexte de l'époque et ce combat pour les droits des femmes. Le Figaro. - En 1971, vous avez signé le «Manifeste des 343» femmes déclarant avoir avorté. Qu'est-ce qui a changé?
Le Texas veut forcer les femmes qui avortent à organiser des funérailles pour le fœtus
Restez curieux. Suivez nous ! L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est sérieusement menacée aux États-Unis. Dans l’État du Texas, le pouvoir législatif veut rendre obligatoire l’organisation de funérailles pour les fœtus avortés. Il est des états américains, où l’avortement est très mal perçu par la société. En outre, cette mesure stipule qu’en cas d’avortement, la mère devra obligatoirement organiser à ses frais des funérailles pour son enfant. Ce n’est pas la première fois que le pouvoir législatif de l’État tente de punir les femmes qui avortent ou les médecins pratiquant cet acte.
Supreme Court Strikes Down Texas Abortion Restrictions
One required all clinics in the state to meet the standards for ambulatory surgical centers, including regulations concerning buildings, equipment and staffing. The other required doctors performing abortions to have admitting privileges at a nearby hospital. “We conclude,” Justice Stephen G. Breyer wrote for the majority, “that neither of these provisions offers medical benefits sufficient to justify the burdens upon access that each imposes. Each places a substantial obstacle in the path of women seeking a previability abortion, each constitutes an undue burden on abortion access, and each violates the federal Constitution.” Justices Anthony M. Justice Kennedy’s vote was the crucial one, and it came as a relief to abortion rights groups, which have long viewed his thinking on the issue as a contradictory muddle. In the Casey decision, he joined Justices Sandra Day O’Connor and David H. Professor Cohen said Justice Kennedy’s vote in Monday’s case was a puzzle. OPEN Graphic Mrs. Mr. Mr.
IVG, Je vais bien, merci !Les filles des 343 salopes
IVG : les femmes face à la culpabilisation
"Non mais là, je ne vous avorte pas. Je ne suis pas un boucher (…) Regardez-le madame. Regardez-le bien…". Parmi les nombreux témoignages recueillis dans son ouvrage Le livre noir de la gynécologie, la journaliste Mélanie Déchalotte rapporte ainsi celui de Rachel, 33 ans en 2003, enceinte, en couple et désirant une IVG. Ces paroles aussi crues que culpabilisantes, (trop) nombreuses sont encore les 220 000 femmes à avorter chaque année en France à y être confrontées. Des remarques déplacées à la leçon de morale "Vous êtes sûre que vous avez bien réfléchi ?" Parfois, les paroles sont accessoires. "Lorsque j’entends un médecin m’expliquer qu’il a refusé une IVG à une jeune fille de 16 ans pour de ne pas être responsable d’une future infertilité, il y a de quoi se poser des questions sur leur formation et leur information !" L’IVG comme dernier recours, ou l’arbre qui cache la forêt Ne rien laisser passer Un médecin a-t-il le droit de refuser une IVG ?
Il fallait que je vous le dise, bd chez Casterman de Mermilliod
L'histoire : En 2011, Maude Mermilliod est serveuse dans une brasserie de Bruxelles. Elle vient de rompre avec son petit ami et redécouvre la vie de célibataire en enchaînant les relations. Elle rencontre un homme. Après une nuit torride, c'est le déclic : un sentiment particulier, comme si elle faisait partie de sa vie. Quelques mois plus tard, son corps lui joue des tours. Ce qu'on en pense sur la planète BD : De prime abord, vous devez vous demander qui de plus mal placé qu'un homme pour faire une chronique sur l'avortement ?