10 Female Revolutionaries That You Probably Didn't Learn About In History class By Kathleen Harris / whizzpast.com/ Sep 5, 2014 We all know male revolutionaries like Che Guevara, but history often tends to gloss over the contributions of female revolutionaries that have sacrificed their time, efforts, and lives to work towards burgeoning systems and ideologies. Despite misconceptions, there are tons of women that have participated in revolutions throughout history, with many of them playing crucial roles. They may come from different points on the political spectrum, with some armed with weapons and some armed with nothing but a pen, but all fought hard for something that they believed in. Let’s take a look at 10 of these female revolutionaries from all over the world that you probably won’t ever see plastered across a college student’s T-shirt. Nadezhda Krupskaya Many people know Nadezhda Krupskaya simply as Vladimir Lenin’s wife, but Nadezhda was a Bolshevik revolutionary and politician in her own right. Constance Markievicz Petra Herrera Nwanyeruwa Lakshmi Sehgal
How Many of These Early Black Feminists Do You Know? Though black feminists have wielded social media to make willful strides into public consciousness, black feminism is nothing new. The challenge of being doubly oppressed as a black woman has always colored feminist conversations, and minority women rarely have the luxury of fighting solely on behalf of their gender. The question of intersectionality predates hashtags and Twitter feminism and goes all the way back to impasses such as the one between black journalist Ida B. Though not always recognized, black women have always made forays into the feminist dialogue to ensure black women and girls don’t remain an afterthought. Anna Julia Cooper Anna Julia Cooper (1858-1964) One of the most prominent black scholars in American history, Cooper was the fourth African American woman to earn a PhD when she graduated from University of Paris-Sorbonne in 1924. Sojourner Truth (1797-1883) Amy Jacques Garvey Amy Jacques Garvey (1895-1973) Mary Church Terrell (1863-1954) Harriet Anne Jacobs (1813-1897)
Hedy Lamarr (1914-2000), la dame sans passeport d'Hollywood Par Hélène Frappat. Réalisation : Angélique Tibau. Avec la collaboration d'Annelise Signoret. Hedy Lamarr est née Hedwig Eva Maria Kiesler en 1914, à Vienne, dans une famille de la bourgeoisie juive viennoise. C'est en 1933, dans Extase de Gustav Machaty, qu'elle devient mondialement célèbre. A son arrivée à Hollywood elle rencontre le compositeur d'avant-garde George Antheil, antinazi passionné comme elle. Ensemble ils dessinent un dispositif s'inspirant des rouleaux perforés des pianolas d'Antheil : les rouleaux perforés synchronisent et commutent leurs fréquences, et brouillent les messages pour les Nazis qui essayaient de les intercepter. Dans les années 40/50, Hedy Lamarr est consacrée star hollywoodienne par Sirk, Tourneur, Ulmer…. A écouter aussi : Hedy Lamarr : torpilles, GPS et glamour En 1957, Hedy Lamarr disparaît de la circulation. Liens : Filmographie et biographie sur l’Internet Movie Database. Hedy Lamarr dessinée par Pénélope Bagieu.
Hedy Lamarr, inventrice star "N'importe quelle femme peut avoir l'air glamour. Il suffit de se tenir tranquille et d'avoir l'air idiote", affirmait-elle, lassée de ce qu'elle appelait "son masque", alors même qu'elle avait été élue "plus belle femme au monde". Car Hedy Lamarr n'était pas qu'une star hollywoodienne louée pour sa beauté, elle a aussi était l'inventrice méconnue pendant la guerre, en 1941, d'un système de transmission secret pour guider les torpilles. Un système encore utilisé de nos jours pour le Wifi ou les GPS. Redécouvrez ce personnage à la vie romanesque à travers les archives de France Culture, alors que doit sortir prochainement un documentaire consacrée à sa vie, Bombshell : The Hedy Lamarr Story. Le premier orgasme du cinéma Depuis 2005, on célèbre les inventeurs en Autriche, Allemagne et Suisse le jour de son anniversaire : le 9 novembre. Écouter 59 min Hedy Lamarr (1914-2000), la dame sans passeport d'Hollywood (Une Vie, une oeuvre, 25/02/2017) Femme de marchand d'armes et superstar 4 min
Miriam Makeba : chanter contre l'oppression 2008 : Miriam Makeba chante son tube international Pata Pata, puis s’écroule, terrassée par une crise cardiaque, à peine sortie de scène. Elle participait à un concert pour défendre la liberté, à Naples, comme elle l’avait si souvent fait dans sa carrière, au point de devenir “Mama Africa”, icône de la lutte anti-ségrégation. Miriam Makeba affirmait avec conviction son engagement à la télévision, en 1977 : "Les chansons que nous chantons expriment la souffrance de nos peuples. Tout est politique !" Née dans la misère Née en 1932 dans le township de Johannesburg, Miriam a 18 jours quand elle est emprisonnée avec sa mère, qui avait illégalement brassé de la bière. Miriam Makeba,1971 : "Les chansons que je chante concernent la réalité, et comment sont nos vies, réellement. Les langues du monde Miriam Makeba passera 31 ans en exil, jusqu’à ce que Nelson Mandela lui-même lui demande de revenir, en 1990. "Mama Africa" À écouter La série musicale franceculture.fr
The Courageous Life of Ida B. Wells – Feminist Frequency Few stories are as dramatic as that of of Ida B. Wells, a woman who was born a slave in Mississippi in the midst of the Civil War, and became a daring investigative reporter and civil rights crusader who would one day be called the “loudest and most persistent voice for truth” in an era of injustice. This episode is generously sponsored by The Harnisch Foundation, an organization whose mission it is to create a more fair and equitable world by investing in gender and racial diversity. Ordinary Women: Daring to Defy History explores the lives and accomplishments of fascinating women who defied gender stereotypes, but often found themselves pushed to the sidelines or erased from history books that weren’t ready to acknowledge them. This series is made possible by generous donations to our Seed & Spark crowdfunding campaign for the project. ← Series Archive From an early age, Wells carried exceptional burdens with exceptional courage. When she passed away in 1931 at the age of 69, Ida B.
Les disparues de l’histoire, par Nicole Pellegrin (Le Monde diplomatique, novembre 2008) Qui, en France, connaît l’auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne parue le 14 septembre 1791 ? Une présidentiable en quête de voix féminines lors de l’élection de 2007 ? La poignée de féministes et les quelques historiens et historiennes qui rêvent de faire entrer au Panthéon une femme de lettres proprement révolutionnaire ? N’a-t-elle pas su proclamer et appliquer, elle-même, le principe : « La femme a droit de monter sur l’échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la tribune » (article X) ? Ce passage, le plus cité de tous les écrits d’Olympe de Gouges, a un accent dramatique qui plaît d’autant plus que le reste de la Déclaration se contente de corriger, en le féminisant, le texte de 1789. Longtemps ignorée (quelques extraits sont publiés en 1840, mais la première version complète est éditée par Benoîte Groult en 1986), la Déclaration signée (et donc pleinement assumée) par de Gouges est dédiée à la reine.
Sophie Germain, génie oubliée des mathématiques À l'occasion de la Fête de la Science, retraçons l'histoire de Sophie Germain, mathématicienne qui "contre vents et marées et seule, accède au monde des maths et crée des mathématiques" d'après la scientifique Christine Charretton. Une prouesse pour l'époque alors que le monde de la science est réservé à une élite masculine. Une passion dévorante Adolescente pendant la Révolution française, Sophie Germain grandit à une époque où les filles reçoivent peu d’éducation, encore moins en matière scientifique. Elle découvre l’histoire d’Archimède, qui, lors de l’invasion de Syracuse par les Romains, trois siècles avant J. Jour et nuit, elle étudie la géométrie, et apprend le latin pour lire autant d'ouvrages de mathématiques qu'elle le peut. Elle se rend compte que ces livres ne parlent que des mathématiques du passé. Comme l'enseignement est interdit aux filles, la jeune femme usurpe l’identité d’un étudiant qui n’assiste pas aux cours : elle devient Antoine Auguste Le Blanc.
« Sans liberté... », par Rosa Luxemburg (Le Monde diplomatique, mai 1998) Si l’on étouffe la vie politique dans tout le pays, il est forcé que, dans les soviets aussi, la vie soit de plus en plus paralysée. Sans élections générales, sans liberté de la presse et de réunion sans entraves, sans libres affrontements d’opinion, la vie de n’importe quelle institution publique cesse, se transforme en pseudo-vie, dans laquelle le seul élément actif qui subsiste est la bureaucratie. La vie publique s’assoupit peu à peu, quelques dizaines de dirigeants du parti d’une énergie inépuisable et d’un idéalisme sans limites dirigent et gouvernent, parmi eux la direction est assurée en réalité par une douzaine d’esprits supérieurs et l’élite des ouvriers est de temps à autre invitée à se réunir pour applaudir les discours des chefs et approuver à l’unanimité les résolutions qu’on lui soumet : au fond, c’est une clique qui gouverne... Textes, Editions sociales, Paris, 1982.
"Fifi Brindacier, c'est le féminispunk qui vient transformer la littérature jeunesse" Fifi Brindacier, la fille la plus forte du monde qui vit sans adultes, est née sous la plume de la Suédoise Astrid Lindgren dans les années 1940. C'est aujourd'hui l'autrice Christine Aventin qui s'empare du personnage comme avatar du féminispunk. Dans son essai FéminiSpunk. Je voulais au départ écrire un livre sur le féminispunk, sans trahir notre histoire, sans donner des outils à l'ennemi, tout en invitant d'autres femmes qui ne sont pas de ces milieux à nous rejoindre. Fifi Brindacier est créée par l'autrice suédoise Astrid Lindgren en 1943, lorsque sa fille, souffrant d'une pneumonie, lui demande de lui raconter l'histoire d'un personnage dont elle invente le nom : Pippi Långstrump, qui se traduit en français par "Pippi longues chaussettes". Hachette, l'éditeur français de Fifi Brindacier, a beaucoup édulcoré la charge subversive de ces romans. En occupant ce territoire, Astrid Lindgren commet un acte d'activisme féministe. C'est la grande teuf des meufs !
Flora Tristan : marxiste tendance féministe Socialiste de la première heure, pionnière du féminisme, femme de lettres et de terrain : Flora Tristan est une figure fascinante du XIXe siècle. La chercheuse Brigitte Krulic, autrice d'une récente biographie, nous parle aujourd'hui de cette "Paria" héroïque, au micro d'Olivia Gesbert. Flora Tristan, celle qu'on a surnommée "la cousine de Marx et la grand-mère du MLF", méritait bien une biographie après la vague #metoo. C'est ce que propose Brigitte Krulic, professeure à l'Université de Paris Ouest – Nanterre La Défense, avec l'ouvrage Flora Tristan (Gallimard, janvier 2022). Proto-féministe, intersectionnelle avant l’heure, Flora Tristan, nous dit notre invitée, se sent un être à part, "une apôtre", qui concentre sur elle "la plupart des malheurs possibles : elle est femme, pauvre, orpheline, bâtarde, sans instruction". Une émission à écouter pour découvrir à quel point ses préoccupations, déjà, sont contemporaines des nôtres.
Ces femmes qui ont changé la face du monde - France Culture Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. Rosa Bonheur, une artiste de génie tombée dans l’oubli "Une gageure" de résumer Rosa Bonheur en quelques mots. À la fois, "grande artiste et grande personnalité, sa vie de femme et de peintre sont indissociables", estime Sandra Buratti-Hasan, directrice adjointe du Musée des Beaux-Arts de Bordeaux et co-commissaire de l’exposition "Rosa Bonheur (1822-1899)" qui débute le 18 mai prochain à Bordeaux. Rosa Bonheur est née le 16 mars 1822, à Bordeaux, avant de rejoindre Paris avec sa famille. Ce jour marque donc le bicentenaire de l'artiste, tombée dans l'oubli après sa mort en 1899. Certains parlent de génie, notamment en dessin. Une virtuose de la peinture Rosa Bonheur débute la peinture très jeune, formée par son père lui-même peintre portraitiste et professeur de dessin. "Ce choc l’empêchera de se marier, indépendamment du fait que le mariage au XIXe siècle, condamnait quasiment toutes les femmes, en particulier celles qui avaient un génie, un talent ou une vocation. Rosa Bonheur expose ainsi pour la première fois à 19 ans. Le château de By