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Et si on laissait les employés choisir leurs managers

Et si on laissait les employés choisir leurs managers
L'enthousiaste Henry Stewart (@happyhenry, blog) semble avoir toujours un large sourire accroché au visage. Il est le PDG de Happy, une entreprise de formation en informatique londonienne qui dispense des cours à quelque 20 000 personnes chaque année. Cette PME est souvent citée comme l'une des meilleures entreprises britanniques en ce qui concerne le bien-être au travail (elle a plusieurs fois remporté le concours Best Place to work). Le bonheur au travail ? "Si les gens travaillent mieux quand ils se sentent bien, alors quel devrait être l'objectif principal du management ?" Image : Henry Stewart bondissant sur la scène de Lift en demandant son avis au public. "Qu'est-ce qui devrait changer dans les organisations si elles se préoccupaient avant tout du bonheur au travail ? La recette du bonheur : défi, confiance et autonomie En bon bonimenteur, Stewart s'adresse au public : "Souvenez-vous ! "Parfois, on vous demande de trouver une nouvelle idée. Hubert Guillaud Related:  tinoulette78

AISECO, ENTREPRISE AUTO-MANAGEE PAR SES SALARIES | Le Chemin de la Confiance AISECO étonne à plus d’un titre. Créée en 2007 par Laurent Guérin, la société conseille et accompagne les entreprises dans la diversification de leurs activités. Pour ce faire, la PME de L’Herbergement, en Vendée, a développé un moteur de recherche spécifique dont les algorithmes ont séduit le géant californien Google qui a signé un contrat pour les utiliser dans ses produits pour les entreprises (Google Search Appliance) et pour ses recherches Big Data (Big Query). Plus surprenant encore, le dirigeant d’AISECO qui déclare « détester le management », mais aime faire sauter les tabous, a confié le management de l’entreprise à ses salariés. Bienvenue chez AISECO, entreprise inclassable et auto-managée. AISECO emploie 36 salariés : chercheurs, concepteurs-designers et chefs de projet industriels. « J’ai abandonné le management de l’entreprise à mes salariés » « Je ne me suis jamais senti l’âme d’un manager. « J’ai commis l’erreur de réfléchir à la place de mes collaborateurs. J'aime :

Jean-François Zobrist: «l’entreprise libérée n’est pas une mode» C’est une entreprise où on a libéré les productifs des contraintes des improductifs. Moi j’ai accès sur le bonheur, mais il n’y a pas de « méthode » à appliquer. Les salariés connaissent leur travail : il faut juste libérer leur savoir et arrêter de les contrôler sans cesse. Un ouvrier heureux, ça fait 5 % de cash-flow (flux de trésorerie) en plus. Le bonheur au travail c’est savoir pour quoi et pour qui on travaille. Vous êtes un des pionniers en France… d’où vous est venue cette idée ? En 1983, j’ai été débarqué à FAVI pour devenir patron. Puis ça s’est fait pas à pas. Pour quels résultats ? Les commandes ont bondi de 30 %. Le titre de votre livre « un petit patron naif et paresseux » interpelle… Bien sûr que j’étais un patron paresseux ! C’est de montrer les étoiles, d’avoir un rêve partagé… En fait, être dans le subjectif et pas dans l’objectif. Comment expliquez-vous l’intérêt actuel pour l’entreprise libérée ? L’entreprise libérée n’est pas une mode, c’est un passage obligé.

Cinq conseils pour en finir avec le management à l'ancienne Management Le 16/09/2014 La transformation du travail à l’ère de la mondialisation numérique s’accélère. On choisit de plus en plus d’être son propre patron, et un nombre croissant d’entreprises et de travailleurs indépendants traitent par le biais de plateformes en ligne. Dans certains secteurs du monde des affaires, des stratégies innovantes sont en train d’émerger et misent sur une plus grande liberté et un plus grand choix accordés à tous les employés quant à leur lieu et leurs méthodes de travail. Des forces majeures sous-tendent cette mutation du travail, comme les rapides avancées que connaît le domaine des technologies de la communication, la mondialisation, les changements démographiques en matière de main-d’œuvre et le besoin urgent de lutter contre le changement climatique. 1. Il est primordial de faire confiance à ses employés si l’on décide de leur accorder une plus grande liberté afin qu’ils donnent le meilleur d’eux-mêmes. 2. 3. 4. 5.

Freedom Incorporated I Isaac Getz Dites « plus de hiérarchie » et tout le monde s’en fait une idée fausse | Blog IGI Note : Cet article de blog a été traduit par iGi Partners et est mis à votre disposition gratuitement, afin que, si vous ne parlez pas anglais ou tout simplement préférez lire le français, vous puissiez tout de même profiter du contenu de qualité qu’offre cet article, rédigé par Frédéric Laloux (www.reinventingorganizations.com), auteur du livre Reinventing Organizations. Zappos.com a récemment généré une petite excitation lorsqu’il a annoncé qu’il allait se débarrasser de la bonne vieille approche hiérarchique de gestion d’entreprise, celle que tout le monde connait, pour adopter quelque chose appelée « Holacracy ». Même si vous n’avez pas entendu parler de ce changement, voici la raison de son importance. Qu’est-ce que l’Holacracy ? Brian Robertson, qui a développé l’Holacracy, l’appelle un “système d’exploitation organisationnel”, en faisant une analogie à l’informatique. Tout cela vous semble confus ? Dites “plus de hiérarchie” et tout le monde s’en fait une idée fausse. 1. 2. 3. 4.

Le vrai « mal français » : un système de management autocratique et non performant Par Nicolas Nilsen Vendredi encore – à propos de l’affaire SFR-Numericable – Arnaud Montebourg a donné l’image la plus détestable de ce qui tue la France : un mode de gestion étatique non seulement autocratique et autoritaire, mais également menaçant (si on n’agit pas comme le gouvernement l’a décidé, c’est le chantage au contrôle fiscal). Le Français croit malheureusement qu’il va suffire d’une élection politique pour que tous les problèmes soient magiquement réglés. La France est bloquée à cause d’un mode de décision « top-down », et d’un système de management autoritaire qui n’est pas seulement démotivant mais totalement inefficace dans le monde moderne où les décisions doivent être de plus en plus décentralisées. Je vous laisse découvrir les autres graphiques – et lire les légendes et explications – ici. Un effort « anthropologique » pour comprendre notre société bloquée —Sur le web. Vous aimez cet article ?

Mouvement pour l’Organisation et le Management du 21ème siècle Les 7 principes de l'Harmocratie | créat... Définition des 12 déterminants du bien-être au travail - Fabrique Spinoza Faisant le constat de la diversité des outils et des trames d’analyse du bien-être au travail, la Fabrique Spinoza a souhaité effectuer une revue de littérature, ainsi qu’une revue des outils de mesure pour élaborer un cadre d’analyse global, visant l’exhaustivité et ne se réclamant pas d’un courant de pensée particulier (ni psychologie positive, ni sociologie des organisations, etc.) sur le sujet du bien-être au travail. Celui-ci comprend 12 dimensions qui sont présentées dans le schéma ci-dessous, puis explicitées dans la note de synthèse qui suit. Lire la note de synthèse définissant les 12 dimensions du bien-être au travail. Retrouver le rapport Le bien-être au travail, finalité et vecteur de performance socio-économique Retrouver le Guide sur les outils de mesure du bien-être au travail Retrouver le Wiki-BET, notre Wiki du Bien-Être au Travail, recueil de pratiques de BET

Sur la route des entreprises libérées #1 CHRONOFLEX Nous vous emmenons aujourd’hui chez Chronoflex, leader en France du flexible hydraulique. Le flexible hydraulique ça fait pas forcément rêver comme ça, je vous l’accorde. Et pourtant détrompez-vous, c’est bien un rêve que nous avons cru vivre en passant la matinée dans cette entreprise ! Et pour vous donner une idée du décalage culotté dont peut faire preuve cette entreprise, je vous laisse découvrir le calendrier qu’elle édite depuis 10 ans, intitulé Les dessous de Chronoflex, dans lequel salariés, clients ou fournisseurs se prêtent au jeu de poser à moitié nus ! Ça donne de belles photos humoristiques en noirs et blancs et surtout ça donne le ton de la visite Accueillis chaleureusement par Pascaline, nous commençons par nous familiariser avec le cœur de métier de l’entreprise à savoir la réparation en mode urgence des flexibles hydrauliques. Crée en 1993, Chronoflex connaît un démarrage sur les chapeaux de roues qui confirme la maturité du marché. Google+

« C'est le règlement » et pourquoi s'en débarrasser En 1903 Tolstoï a écrit une nouvelle Après le bal inspiré d'un fait vécu par son frère. Le jeune héros était fort amoureux d'une ravissante jeune fille dont le père était un colonel qu'il admirait par ailleurs. Il s'apprêtait à l'épouser et faisait de grands projets. Bref, c'était un homme heureux. L'entreprise ne punit pas ses salariés corporellement. Car s'ils l'avaient lu ils auraient compris que : 1/ les deux actions les plus importantes dans la journée sont pointer et dépointer ; 2/ il faudra dépenser dorénavant énormément d'énergie pour ne pas se retrouver en violation de tout ce qui est interdit et réglementé. Pourquoi les entreprises font quelque chose qui détruit, un peu comme des bombes à neutrons, l'engagement de leurs propres salariés ? Il y a des entreprises dans le monde et en France, telles FAVI en Picardie ou ChronoFlex à Nantes, qui ont renversé radicalement cette érosion de l'engagement des salariés due à l'empilement des règlements et d'interdictions.

Microsoft Word - Fabrique Spinoza - Le Flow au travail.doc - Fabrique-Spinoza-Le-Flow-au-travail.pdf Journées du Bonheur au Travail

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