Le numérique à l’école en France : les grandes orientations nationales - École branchée Depuis sa mise à jour en 2015, l’apprentissage de l’algorithme et de la programmation sont officiellement au programme scolaire français. Retour sur une mission d’exploration à laquelle l’École branchée participe cette semaine. L’École branchée participe cette semaine à la mission d’exploration sur le numérique de l’AQPDE, à l’ESENESR (École supérieure de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche) de Poitiers. Celle-ci vise à étudier l’intégration du numérique à l’école, autant dans la classe que dans la formation des directions d’établissements. En premier lieu, la délégation québécoise s’est fait présenter les grandes orientations nationales de la France au niveau du numérique éducatif par M. Jean-Louis Durpaire, inspecteur général de l’éducation nationale honoraire. L’une des questions fondamentales guidant ces orientation est la suivante : est-ce que le numérique permet de mieux apprendre? Le « socle commun », les domaines d’apprentissage français
Vision prospective partagée des emplois et des compétences - la filière numérique France Stratégie, avec l’appui du Céreq, a conduit une expérimentation autour de la construction d’une vision prospective partagée des emplois et des compétences de la filière numérique, en réponse à la sollicitation du Conseil national de l’industrie fin 2015. Les questions soulevées par le CNI rejoignaient des préoccupations du Réseau Emplois Compétences, mis en place la même année et animé par France Stratégie : comment construire une démarche d’anticipation des besoins en compétences et en qualifications dans un contexte d’incertitude forte ? Comment identifier les mutations économiques et technologiques, et les transitions professionnelles à opérer ? 800 000 salariés en équivalent temps plein, et environ 80 000 indépendants Le consensus existe sur la croissance des métiers du numérique, qui représentent aujourd’hui plus de 800 000 salariés en équivalent temps plein, et environ 80 000 indépendants.
Etude annuelle 2017 - Puissance publique et plateformes numériques : accompagner l’«ubérisation» Depuis peu, les nouvelles technologies ne se contentent plus seulement d’accélérer notre vie ; elles la changent. L’étude du Conseil d’État s’efforce d’analyser de manière globale les transformations du monde que révèlent les plateformes numériques. Après deux précédentes études, la première en 1998 intitulée Internet et les réseaux numériques et la deuxième sur Le numérique et les droits fondamentaux en 2004, le Conseil d’État a décidé de poursuivre sa réflexion sur l’évolution des politiques publiques du numérique, en s’attachant cette fois-ci à l’ébranlement des économies et des modèles sociaux traditionnels qui est en cours. Cette « ubérisation » de l'économie se traduit par la substitution progressive des plateformes aux intermédiaires de l'économie traditionnelle mais aussi, au-delà, aux figures instituées qui structurent nos sociétés (l'entreprise, le professeur, le chef d'entreprise, l’État...). > consulter le dossier de presse > consulter la synthèse en anglais - English website
The big lesson from the world's best school system? Trust your teachers | John Hart | Teacher Network | The Guardian Finnish education is rarely out of the news, whether it’s outstanding Pisa results, those same results slipping, the dropping of traditional subjects, not dropping subjects, or what makes Finnish teachers special. I worked in England for two years as a teacher before moving to Finland eight years ago. My colleagues in the UK were supportive and the headteacher gave me subject leadership in my second year. I didn’t want to leave but the pull of home for my Finnish wife was too strong, so we upped sticks. Finland’s education policies have been highly praised and the country has started to export its model around the world. Much of what has been written about this has, understandably, focused on policy, but it’s somewhat reductive to think in such narrow terms. Naysayers might argue that demographic differences between Finland and the UK (among other countries) make comparing education policies pointless. But moving to a level playing field in the UK is inconceivable.
Quelle finalité pour quelle École ? De la logique « méritocratique » Notre école va mal. On en attend trop, or elle ne peut pas tout faire. C’est en somme le constat dont est parti le groupe de travail à l’origine de ce rapport. La force et le nombre de ces attentes, légitimes, questionnent la primauté accordée à la mission de sélection méritocratique des élites par l’École. Des alternatives possibles C’est à cette question que répond le rapport en examinant trois modèles idéaux d’école répondant, chacun, à une finalité alternative : préparer les élèves au monde professionnel, accomplir leur personnalité et transmettre une culture commune. Et si l’École n’imposait plus de programmes mais aidait chaque élève à s’épanouir dans sa singularité et à se construire un projet personnel ? À l’inverse des précédentes, la finalité de transmission d’une culture commune est déjà assez présente dans le système scolaire. Ces visions alternatives sont-elles utopiques ? Céline Mareuge
Quelle évolution des méthodes pédagogiques ? Unanimité. 95 % des jeunes estiment que le système éducatif doit changer – selon un rapport remis au ministre de l’Éducation en mars 2017. Un souhait auquel les scores PISA de la France comme le taux de décrocheurs confèrent un caractère d’obligation. Mais comment changer la donne ? En passant à « une pédagogie active » fondée sur la preuve de ce qui marche vraiment, ont plaidé les intervenants de ce dernier débat. Un système « inertiel » Urgence. « Dans un monde en évolution, si on ne change pas aussi vite que son environnement, on devient obsolète », avertit François Taddei, directeur du Centre de recherches interdisciplinaires, et co-auteur du rapport « Vers une société apprenante ». Deux exemples pour en témoigner. Deuxième (contre)exemple, français cette fois. Réformer par la preuve Les exemples pourraient être multipliés. Et le numérique dans tout ça ? Le numérique pourrait ensuite faciliter. Deux obstacles sur le chemin de ce scénario numérique idéal.
Un Capital emploi formation pour tous Le CPF a remplacé le Droit Individuel à la Formation (DIF) au 1er janvier 2015. Accompagnant chaque salarié ou demandeur d'emploi, de son entrée dans la vie active à son départ à la retraite, il lui permet de suivre, à son initiative, une formation. Le CPF est crédité en heures chaque année de la manière suivante : 24h/an durant les cinq premières années ; puis 12h/an pendant trois ans pour atteindre le plafond de 150 heures. Des abondements complémentaires sont également possibles. Les droits acquis dans le cadre du CPF le restent, même en cas de changement de situation professionnelle. Le C3P a été énoncé par la loi du 20 janvier 2014 puis inclus par la suite dans le CPA. Le CEC est le seul droit nouveau qui a été introduit dans le CPA.
La EdTech française va t-elle percer son plafond de verre ? EdTech ou “HeadTech” ? Un constat qui s’est révélé à l’occasion d’une intervention au sujet de la EdTech en 2016, quand une main dans l’assistance s’était levée pour demander quel était le rapport entre le sujet présenté et la “tête”. Et oui, cette personne avait compris “HeadTech”. Deux ans plus tard, il semble que l’expression EdTech, qui désigne les entreprises innovantes dans le secteur de l’éducation et de la formation, soit un petit peu mieux comprise, un petit peu mieux appréhendée, un peu moins obscure. Une simple recherche sur Google Trends illustre cette évolution et cette curiosité croissante pour ce secteur depuis 5 ans. La EdTech est mieux structurée La visibilité de la filière s’est construite depuis deux ans autour d’initiatives convergentes : Le secteur EdTech est mieux financé Non seulement la filière se finance un peu mieux, mais cela devrait se continuer notamment grâce au récent lancement de deux fonds dédiés : celui d’Educapital (45M€) et Brighteyes Venture (50M€).
Comment vous aider à atteindre l’objectif de 2% d’achats innovants ? 2% du volume des achats publics de l’Etat, des opérateurs de l’Etat et des hôpitaux seront effectués auprès de PME et ETI innovantes d’ici à 2020 : tel est l’objectif rappelé dans la circulaire du Premier ministre du 23 septembre 2013, relative au soutien de l’innovation par l’achat public. Dès 2014, la centrale d’achat a inscrit l’innovation au cœur de sa stratégie avec la mise en place d’un pôle innovation et d’une méthodologie de travail, la publication de sa feuille de route des achats innovants, ou encore l’utilisation du critère « caractère innovant » prévu par le droit de la commande publique dans le cadre des appels d’offres de prestations d’E-learning et d’innovations biomédicales. Création d'un espace dédié aux solutions innovantes L’identification des produits et solutions innovantes a été opérée au sein des références présentes au catalogue pour créer une boutique innovation sur ugap.fr disponible au premier trimestre 2017. Bilan 2014-2016 et perspectives 2017