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Fonction exécutive/ autorégulation

Fonction exécutive/ autorégulation
Comprendre les troubles d’apprentissage – Incidence du traitement sur l’apprentissage Le York Region District School Board a élaboré une ressource exhaustive intitulée Comprendre les troubles d’apprentissage – Incidence du traitement sur l’apprentissage à l’intention des professionnels de l’enseignement qui travaillent auprès d’élèves de la maternelle… Pour en savoir plus Technologies d’aide pour les élèves ayant des troubles d’apprentissage : information, outils et ressources à l’intention de l’équipe-école Document préparé par Cindy Perras, M.Ed. Pour en savoir plus Les intelligences multiples – Activités pour établir un bon profil d’élève au début de l’année scolaire Le modèle des intelligences multiples de Howard Gardner est une approche pédagogique à privilégier afin d’établir un bon profil de classe dans le but de différencier l’enseignement en salle de classe Pour en savoir plus Conditions cognitives et autorégulation de l’apprentissage Pour en savoir plus Compréhension de la lecture Related:  COGNITIF- NEUROSCIENCESApprendre à apprendre

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4.

ENFANTS : 7 points pour bien faire les devoirs 1. Commencer par identifier et compléter les manques La méthode des petits pas (ou kaizen) part du principe qu’on peut toujours décomposer une tâche difficile en petites taches simples. Ainsi, il sera rassurant pour l’enfant de ne pas tout reprendre à zéro et de repérer que certaines connaissances utiles sont déjà en place. Identifier et compléter les manques est efficace pour bien faire les devoirs. Cela peut passer par des questions : qu’est-ce que tu as en mémoire ? L’enfant n’aura alors plus qu’à compléter les manques. Cette approche peut aider dans la mémorisation par coeur : ainsi, l’apprentissage des tables de multiplication peut paraître insurmontable mais il est fort probable que l’enfant en connaissent déjà certaines (la table de un, de deux et quelques opérations qu’il aura retenues à force de manipulation par exemple). 2. Plutôt que donner une réponse toute faite, il est possible de répondre par des questions aux questions : qu’est-ce qui te manque pour répondre ? 3. 4. 5. 6. 7.

Echec scolaire : quel mécanisme cérébral ? (Voir la 2ème partie du dossier pratique) Prenons l’exemple d’un élève qui, depuis longtemps, est en échec scolaire. Il a le sentiment qu’il ne sait rien et qu’il n’a aucune qualité. Le jour de l’examen, il est certain qu’il ne pourra jamais réussir. Il est battu d’avance. ;;;;;• Le cerveau reptilien prend le pouvoir sur l’enfant L’enfant agit par rapport aux trois comportements instinctifs dictés par le cerveau reptilien. - Le comportement instinctif de lutte induit chez cet enfant des réactions de colères et de révolte contre la difficulté du sujet d’examen. - Le comportement instinctif de fuite incite l’enfant à ne plus travailler et à quitter la salle d’examen ; - Le comportement instinctif d’inhibition empêche l’enfant de réfléchir. Tant que les lobes frontaux ne reprendront pas le contrôle de la situation pour calmer les émotions négatives du cerveau reptilien, l’enfant sera en situation d’échec scolaire. ;;;;;• Comment savoir si son enfant est stressé ? A-t-il la gorge serrée ?

Ces neuromythes qui persistent dans les écoles Parmi les sciences récentes, les neurosciences sont les plus fascinantes et les plus compliquées. Logique puisqu'elles étudient littéralement le moteur des actions et pensées humaines : le cerveau. La société aimerait croire que la majorité de ses actes s'expliquent par un mécanisme cérébral ou un dysfonctionnement d'une partie de l'encéphale. Conséquemment, le système d'éducation s'intéresse de très près à tout ce qui touche le cortex pour voir comment ses découvertes peuvent transformer les méthodes d'apprentissage qui généreraient alors des cohortes de petits génies. Forcément, cette obsession pour notre matière grise mène, comme nous vous l'avions déjà mentionné, à des dérives. L'exemple BrainGym Qu'est-ce que BrainGym? Le problème est que les affirmations de BrainGym n'ont aucun fondement scientifique, affirme l'organisme Sense about science qui travaille depuis 10 ans à ce que les médias diffusent des études scientifiques qui font une réelle démonstration de ce qu'elles avancent.

5 neuromythes invalidés par les neurosciences Steeve Masson explique dans cette vidéo qu’il existe beaucoup de fausses croyances sur le cerveau qui sont en fait des neuromythes. 1. Les styles d’apprentissage Les recherche en neurosciences n’ont pas encore réussi à démontrer qu’il existe des styles d’apprentissage propres à chaque individu (auditif, visuel, kinésthésique). Aucun neuroscientifique ne peut affirmer que les apprentissages seront plus profonds et plus durables si un enseignant enseigne exclusivement en fonction du style d’apprentissage. En revanche, il est vrai que nous apprenons tous par différents canaux : par la vue, par l’oreille, par le mouvement. Nous n’avons pas un seul et unique mode d’évocation. 2. Les chercheurs en neurosciences n’ont jamais réussi à démontrer qu’une personne pourrait être « plutôt cerveau gauche ou plutôt cerveau droit ». 3. La Brain Gym consiste en des exercices de coordination pour optimiser le développement du cerveau. : Brain Gym® : l’importance du corps pour apprendre. 4. 5. 26 février 2015

Neurosciences et éducation : la bataille des cerveaux | Édupass Gaussel Marie & Reverdy Catherine (2013). Neurosciences et éducation : la bataille des cerveaux. Dossier d’actualité Veille et Analyses IFÉ, n° 86, septembre. Disponible au format PDF : 86-septembre-2013 Les débats houleux entre neurosciences et éducation existent depuis quelques décennies, mais prennent un nouveau tournant depuis les progrès considérables faits en imagerie cérébrale. Vous trouverez dans ce dossier, légèrement différent de sa forme habituelle, des renvois vers des articles de blog (de notre site Éduveille) qui nous ont permis d’approfondir des aspects techniques et d’illustrer nos propos : Ce dossier inhabituel par son volume peut être lu à plusieurs niveaux, les encadrés constituant soit un apport spécialisé (certains sont développés dans des articles publiés sur notre blog Éduveille), soit plus spécifiquement une illustration des croyances autour du cerveau, les neuromythes (également regroupés dans un article de blog Éduveille). [Retour au sommaire] Dyslexie

Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs). Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage.

Neuromythes et enseignement De récentes études ont montré que les enseignants croient souvent à des neuromythes, c’est-à-dire à de fausses conceptions sur le fonctionnement du cerveau,. Ces neuromythes peuvent s’avérer problématiques pour la réussite des élèves, parce qu’ils peuvent orienter les pédagogues vers des pratiques d’enseignement qui ne sont pas entièrement compatibles avec le fonctionnement du cerveau de leurs élèves. Pour cette raison, dans cet article, les trois neuromythes les plus fréquents en éducation sont présentés et discutés. Le premier concerne les styles d’apprentissage, le deuxième est lié à la notion de« cerveau gauche et cerveau droit » et le troisième touche aux exercices de coordination visant l’optimisation du fonctionnement cérébral. Neuromythe 1 : Les élèves apprennent mieux lorsqu’ils reçoivent l’information dans leur style d’apprentissage préféré (ex. auditif, visuel ou kinesthésique). Il est temps d’abandonner ces neuromythes au profit d’une pédagogie plus efficace. Conclusion

Neurosciences : oublie-t-on le comportement ? « L’hypothèse non formulée est que si nous rassemblons suffisamment de données sur les parties, le fonctionnement de l’ensemble deviendra clair. Si nous comprenons parfaitement les molécules qui se déplacent à travers une synapse, ou les impulsions électriques qui circulent le long d’un neurone, ou le réseau de connexions formé par de nombreux neurones, nous finirons par résoudre les mystères de l’#apprentissage, de la mémoire, de l’émotion et plus encore. « L’erreur consiste à croire qu’un plus grand nombre de recherches de ce genre nous permettra, dans un futur toujours indéfiniment reporté, de comprendre ce que sont les pleurs d’une mère ou la manière dont je me sens actuellement », explique John Krakauer (l’un des cinq chercheurs en question, NDT).

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