les Enfers : catabases et topographie
les Erinnyes (cratère d'Apulie ca. 400 ante Christum, exposé au musée du Land de Bade, à Karlsruhe, R.F.A) Proserpine, par F.G. ROSSETTI (Londres, Tate Gallery)
catabase
Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Via le latin catabasis, du grec ancien κατάϐασις, katábasis (« descente, action de descendre »). Nom commun[modifier | modifier le wikicode] catabase \ka.ta.baz\ féminin (Mythologie) Descente aux Enfers. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] nekuia Voir aussi[modifier | modifier le wikicode] catabase sur Wikipédia
Orphée
Poète musicien des légendes de Thrace, fils du roi Œagre. Par son chant il devint le maître des créatures, charmant les animaux, les plantes, et les pierres même. Après la mort de son épouse, Eurydice, il alla la réclamer aux Enfers, et Hadès se laissa fléchir. Orphée a fasciné les poètes, depuis Virgile (les Géorgiques) jusqu'à P. Sous le titre d'Orphée, d'Eurydice, etc., le mythe a tenté de très nombreux musiciens.
Catabase (littérature)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La catabase (du grec ancien κατάϐασις / katábasis, « descente, action de descendre ») est un motif récurrent des épopées grecques, traitant de la descente du héros dans le monde souterrain, les Enfers. C'est l'une des épreuves qualificatives les plus décisives de l'initiation et de la formation du héros épique. « La catabase est la descente de l'esprit, soit imaginaire, soit rituelle (ex. : descendre à la grotte d'Éleusis), soit spirituelle » ; elle a lieu « soit en enfer (ex. : Orphée descendant chercher Eurydice aux Enfers) soit au royaume des morts (ex. : Jésus, selon Matthieu, XXVII), soit à l'intérieur de la Terre (ex. : l'antre de Trophonios) ; le but est nécromantique (acquérir des savoirs ou pouvoirs par les morts), ou chamanique (extase, guérison, recherche des âmes, etc.) ou initiatique (revenir à l'origine ou à 'l'intérieur') ou symbolique. » — Pierre A. — Reynal Sorel, apud Dictionnaire critique de l'ésotérisme, PUF, 1998, p. 265.
Résultats Google Recherche d'images correspondant à
Site Web pour cette image Fleuves des Enfers dans ce site (9 ... astree.tufts.edu Recherche par imageImages similaires Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur.
Laurent Gaudé - écrivain français - Laurent Gaude, écrivain français, prix goncourt 2004
Musique baroque: Corrigé d'analyse ou de commentaire
Partie I Berger Mode de do - cad parfgaieté Partie II La Messagère Chromatisme puis mode de la - cad parf douleur Partie IIIBergermode de do, transposition par bémol (sur fa)incompréhension Monteverdi joue donc sur la « modulation » ou le changement de mode : chaque « plan » affectif est délimité par une cadence parfaite dans le mode, sauf pour la deuxième intervention du Berger qui oblique vers le mode de do par nature afin de faire la jonction avec le mode de la suivant. Remarquons toutefois après sa question (mes. 23), un effet de contraste entre la juxtaposition de l’accord de do et celui de mi tierce majeure, caractéristique du XVIIe siècle (mouvement en tierce de la basse avec accords de fondamentale) : il introduit le récit de la mort d’Eurydice. II- Des contrastes d’écriture mélodique On retrouve également ces contrastes dans l’écriture mélodique. ------------------=> fa------=> ré - ré Sol b- Partie II : la Messagère Elle est écrite en C, en contraste avec l’air du Berger.