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Pourquoi Google pose les mêmes questions à tous ses candidats?

Pourquoi Google pose les mêmes questions à tous ses candidats?
Google fait partie des entreprises les plus attractives de la planète. Au quotidien, le monde entier utilise son moteur de recherche et les différents services qui gravitent autour. Alors forcément, quand on est recruteur au sein d’une entreprise asi attrayante aux yeux des candidats, on doit mettre en place des techniques de recrutement très pointues afin de sélectionner les meilleurs talents. Google arrête de poser des devinettes à ses candidats Il y a encore peu, Google posait des questions très surprenantes à ses candidats. Combien factureriez-vous pour laver toutes les vitres à Seattle ? Si vous voulez découvrir d’autres perles de ce genre, je vous invite à consulter l’article de Presse Citron: 17 questions stupides que Google ne pose plus en entretien de recrutement. Des entretiens comportementaux pour en apprendre davantage sur les candidats Google aide les recruteurs à ne pas prendre des décisions biaisées

Google: la politique des "20% de temps libre" remise en question? Aux Etats-Unis, un débat agite en ce moment les anciens et les actuels salariés de Google. Il porte sur la fameuse politique des "20% de temps libre", qui depuis les débuts de l'entreprise permet à ses salariés, surtout les ingénieurs, de consacrer 20% de leur temps à des projets personnels. Cette largesse a à la fois permis de développer des produits majeurs, comme Gmail et Adsense, et donné à Google une image d'entreprise idéale auprès des jeunes diplômés. Mais un article sur le site Quartz.com a mis le feu aux poudres en titrant que cette politique était quasiment "morte". Google a répondu officiellement que ce n'était pas le cas, appuyé par d'autres témoignages d'ingénieurs affirmant qu'ils profitaient toujours de cette opportunité. Certains soulignent que la possibilité d'utiliser le cinquième de son temps pour des projets personnels existe encore, mais qu'elle devient plus difficile à justifier auprès de la hiérarchie. Cette époque est révolue.

Pour motiver ses salariés, Google mise sur l'interaction et l'autonomisation Chez la firme de Mountain View, motiver ses collaborateurs passe par deux choses : la possibilité de prendre du temps pour travailler sur un projet personnel, et la gratification des personnes qui aident leurs pairs. Pour favoriser l'engagement de ses salariés, Google a décidé de leur laisser plus de temps libre, tout en les incitant à communiquer entre eux. Les managers de la firme de Mountain View sont partis du principe suivant: au cours de la réalisation de leur travail, ingénieurs comme développeurs acquièrent de nombreuses compétences, qu'ils peuvent souhaiter mettre en œuvre dans un cadre plus personnel. C'est pourquoi ils ont lancé en 2006 une initiative permettant aux employés de diviser leur temps de travail en deux parties. Soit un temps de travail effectif (80%) et un considéré comme du temps libre (20%). Utiliser les interactions entre employés comme assurance d'un travail effectif Récompenser chaque acte d'entraide publiquement afin de pousser à celle-ci

Travailler chez Google, ce n'est pas que du bonheur Une cantine gratuite, des salaires alléchants (88.000 euros par an en moyenne pour un ingénieur), des fauteuils massants ou encore 20% de temps libre pour développer ses projets personnels… A priori, Google paraît l'endroit rêvé pour tout salarié. Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que le groupe américain figure régulièrement parmi les premières places des palmarès consacrant les employeurs préférés des jeunes diplômés. Si travailler chez le géant de la Silicon Valley est une expérience très enrichissante, cela peut bizarrement avoir de mauvais côtés. C'est en tout cas le point de vue de certains anciens employés de la firme de Mountain View, qui échangent leurs critiques sur un fil de discussion du site de questions-réponses Quora, repéré par Business Insider. > Des employés trop qualifiés Vu le nombre de personnes souhaitant travailler chez Google, la firme peut se permettre de ne recruter que les meilleurs éléments. > Un impact limité sur la stratégie de la société

Economie : la vie chez Google Vendredi, 18 heures : dans la cour d’un superbe hôtel particulier, au cœur du 9e arrondissement parisien, une centaine de salariés de Google trinquent sous le soleil, une bière ou une coupe de champagne à la main. Au siège français, les « Googlers », comme ils s’appellent entre eux, fêtent l’arrivée du week-end lors d’un apéritif hebdomadaire. L’occasion de se mélanger, du stagiaire au patron, et de discuter de projets parfois confidentiels. Tandis que certains jouent au ping-pong, des ingénieurs américains de passage en France se livrent, devant quelques curieux, à une démonstration en avant-première des Google Glass, des lunettes futuristes capables de recevoir des textos, équipées d’un GPS et d’une caméra. « C’est pour ce genre de projets fous que je travaille ici », glisse un salarié. Bienvenue chez Google ! « C’est une fiction, pas un film sur l’histoire de Google », tempère une porte-parole du groupe. Mini-cuisines et salle de fitness Des stagiaires en grande forme Un coup de barre ?

Google : les salariés bousculent le mythe Le géant de l'informatique, pourtant auréolé d'une réputation d'entreprise modèle, est loin d'être un Éden pour ses salariés. Entre querelles d'ego et faiblesses managériales, leurs témoignages chamboulent les idées reçues. Florilège. Fréquemment, Google est attaqué de l'extérieur. Depuis sa création, en 1998, on lui a tout reproché: politiques de confidentialité douteuses, violations de droits d'auteur, censure, etc. • «Arrogance et sexisme» «Beaucoup de gens qui travaillent chez Google ont le sentiment d'avoir tous les droits parce qu'ils sont issus de l'élite», témoigne une ancienne directrice des ressources humaines. • Une sélection drastique… mais des tâches mesquines «Ce qu'il y a de pire dans cette boîte, c'est le décalage entre l'exigence du recrutement et la simplicité d'un grand nombre de missions», écrit Vlad Patryshev, resté trois ans et demi à Mountain View. • Impossible de changer seul la donne «J'ai travaillé trois ans pour Google. • La vie en «G» • Un campus pas si sympa

11 qualités que Google recherche chez ses candidats Avez-vous le profil idéal pour être engagé dans cette société qui offre des conditions de travail rêvées à ses employés ? Google reçoit entre 2,5 et 3,5 millions de candidatures par an. L'entreprise ne recrute que 4 000 personnes environ. Laszlo Bock, vice-président chargé des RH, dirige cette procédure hyper sélective. Dans des interviews au New York Times, à The Economist et à des étudiants sur Google+, le patron du recrutement révèle comment le géant de la recherche en ligne évalue ses candidats. Nous avons passé au crible ces entretiens et avons découvert les caractéristiques les plus surprenantes. Google ne recherche pas des experts "Nous préférons employer des gens intelligents et curieux, plutôt que des personnes très expérimentées dans un domaine ou un autre", déclare-t-il, tout en faisant remarquer que les individus qui ont de fortes capacités d'apprentissage parviennent généralement à trouver des réponses aux questions insolites. Google recherche des gens qui ont du cran

Une visite guidée des nouveaux bureaux de Google à Paris Publié le 13-DEC-11 par ANACT | Imprimer Le nouveau siège français de Google est situé dans le 9ème arrondissement de Paris. Une ambiance soignée et décalée a été choisie par les «googlers», qui ont été associés à la conception de leur futur cadre de travail. Visite guidée avec le figaro.fr. Google a inauguré mardi 6 décembre ses nouveaux locaux parisiens, localisés rue de Londres, au cœur de la capitale. Les 10.000 m2 disponibles accueillent déjà une équipe de 350 salariés, dont beaucoup d’ingénieurs (500 sont attendus d’ici 2013). Pour les concepteurs, l'objectif est de permettre à la créativité des salariés de s'exprimer, mais également d'attirer les talents et de renforcer la fierté d'appartenance à l'entreprise. En plus d'un lieu dévolu à la recherche et au développement, le «Googleplex» français abrite un institut culturel de «mission mondiale», dédié à la numérisation et à la diffusion de la culture, avec de l’archivage photo, vidéo et son.

Le management selon Google Asie - Pacifique Fin de la prise d'otages à Sydney +VIDEO Un homme armé, un réfugié iranien déjà condamné du nom d'Haron Monis, avait pris le contrôle d'un café dans le centre de Sydney et retenu pendant... #Illridewithyou, le hashtag des Australiens en soutien aux musulmans Le hashtag figure parmi les plus partagés, ces dernières heures, sur les réseaux sociaux. Analyse de la séance La tentative de rebond du Cac 40 tourne court La Bourse de Paris a effacé son avance, en réaction au repli des cours du pétrole après une tentative de rebond.

Google une entreprise attentive au bien-être de ses salariés ! Certaines entreprises l’ont compris depuis longtemps : prendre soin de ses employés, c’est payant. Google une entreprise attentive au bonheur de ses salariés et à leur créativité ! Rien de mieux pour augmenter la productivité d’une entreprise, réduire l’absentéisme et les accidents de travail. Un travailleur est motivé et productif… lorsqu’il est heureux. Beaucoup de salariés font le même constat : « Nous ne sommes pas souvent félicités lorsque nous faisons du bon travail, mais nous sommes immédiatement réprimandés lorsque nous faisons des erreurs ». Le travail doit être stimulant, et l’environnement de travail doit favoriser cette stimulation. Un travailleur heureux, mission impossible ? Rien n’est impossible et parfois il suffit de peu pour avoir des personnes heureuses à leur travail. Prendre soin de ses employés, c’est aussi leur fournir de bonnes conditions de travail. Le bonheur peut se nicher dans de petits détails Boissons en libre service chez Google Yann-Maël Larher

Le Recrutement chez Google Part. 2 | Management RH Lorsqu’un recruteur effectue une mission de sourcing, il dispose d’un certain nombre d’outils classiques : Agence Pôle Emploi, cabinets de recrutement, sites spécialisés & contacts avec les écoles. Google utilise ces réseaux mais, en analysant la stratégie de recrutement, on se rend qu’elle utilise des méthodes aussi insolites qu’efficaces. Recruter par une publicité codée Le “billboard myster” est une équation mathématique affichée sur un panneau publicitaire, sans logo, ni signe distinctif. Des événements pour le recrutement Google organise ses propres événements RH, spécifiquement pensés en prévision des besoins en ressources humaines. Gestion par processus Une gestion industrielle de la division des tâches a été mise en place dans le service Ressources Humaines. L’intégration chez Google Google est une entreprise de renom à la réputation sérieuse, l’arrivée dans une telle organisation peut être stressante pour les nouveaux recrutés. A lire également :

« Chief happiness officer », artisan du bonheur au travail ? - La Croix Vie au travail. Nés aux États-Unis, les « responsables du bonheur au travail » commencent à apparaître en France. Une fonction encore un peu floue. Tous les matins, son sourire accueille les collaborateurs de l’entreprise Intuiti, à Nantes, spécialisée dans le marketing numérique. « À la façon dont les gens referment la porte, je sais comment ils vont », glisse Florelle Moire, « chief happiness officer » (CHO), autrement dit « responsable du bonheur au travail » de cette société de 30 salariés. Cette fonction, encore balbutiante, revendique un autre rapport au travail. « Cela peut sembler grotesque, mais ce métier a beaucoup de sens, assure la jeune femme, initialement embauchée comme assistante de direction. Un concept venu des États-Unis C’est en s’inspirant de ce qui se fait dans la Silicon Valley, aux États-Unis, dans le sillage de sociétés numériques comme Zappos, la pionnière, ou Google, que les dirigeants d’Intuiti ont créé ce poste. Des « responsables du bonheur au travail »

Chief Happiness Officer, une fonction trop simpliste pour répondre à des enjeux de taille? via @JobSferic Vers des fonctions dépassant le simple concept de «bonheur» en entreprise. Nouveau petit sorti de la boîte à idée RH, le chief happiness officer va-t-il faire feu de paille ? Les professionnels du secteur estiment en tout cas que le métier ne va pas se pérenniser tel quel, la notion de bonheur n’étant pas vraiment adéquate au monde de l’entreprise. La fonction se recentrera sûrement plus sur les préoccupations propre au travail et aux échanges entre collaborateurs. Le bonheur a-t-il vraiment sa place en entreprise ? A l’idée de «Chief happiness officer», c’est la question que se pose nombre de professionnels des ressources humaines. Accompagner les managers plus que les rendre heureux Ava Virgitti, feel good manager chez Orange au sein du laboratoire Villa Bonne Nouvelle, estime aussi que la simple question du bonheur n’est pas suffisante. Peu d’évolution verticale mais une diffusion des pratiques dans les entreprises Chloé Goudenhooft

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