fiche technique simplifiée par méthode des 20/80 Les non-vendus représentent tous les coûts de matières premières qui ne sont pas vendues. Exemple : pain, sel, poivre, moutarde, ketchup... et parfois des pré-entrées ou pré-desserts (grande table), voire les bonbons offerts avec l'addition. Le plus simple est de suivre sur une période (par exemple un mois) le coût de toutes ces petites choses, d'en faire le total et de le diviser par le nombre de clients servis dans le mois pour obtenir un coût par client. Exemple : 450 € pour 1 500 clients = 0,50 € par client. Ensuite, arbitrairement, vous affectez ce coût soit sur les plats, soit sur les plats et les entrées (rarement sur les desserts qui sont rarement concerné par ces non-vendus, sauf le fromage). Pour les pertes par portion, c'est plus délicat.
Société générale : 20% des agences vont fermer du 29 septembre 2015 Le journal Les Echos révèle que la Société Générale envisage de fermer jusqu'à 20 % de ses agences bancaires. C'est une illustration supplémentaire des changements induits par le numérique. Il n'y a pas de raison que la banque ne soit pas concernée. La Société Générale prépare donc la suppression, d'ici 2020, d'une agence sur cinq. Peut-on craindre des licenciements ? Non.
Brandalley : les internautes fixent eux-mêmes le prix des articles BrandAlley s'apprête à lancer une campagne qui pourrait bien faire parler d'elle. Le site de mode a en effet annoncé la mise en place d'une opération de 4 jours pendant laquelle ses clients auraient la possibilité de fixer eux-mêmes le prix des articles achetés sur la plateforme. Prêt-à-porter, accessoires, décoration... à partir du prix de vente initial, les internautes peuvent à leur gré, choisir de baisser les prix jusqu'à un euro, ou au contraire de les augmenter. L' offre, qui porte sur des milliers de d'articles, s'étend du 13 au 16 novembre prochain et se limite à deux articles par jour, et par internaute. Pour Cyril Andrino, PDG de Brandalley, "cette opération est une expérience à grande échelle visant à analyser les écarts entre la valeur réelle d'un article et sa valeur perçue par les consommateurs. BrandAlley a été racheté par le Groupe Andrino, maison-mère de la société Private Outlet, au cours de l'été 2014.
Réalité augmentée : essayez vos prochaines lunettes directement sur la vitrine de votre opticien FittingBox, le spécialiste de l’essayage virtuel de lunettes en réalité augmentée, lance la vitrine interactive pour l’opticien. Baptisé OWIZST (prononcez « OWIZ Street »), ce dispositif innovant transforme littéralement la vitrine d’un opticien en miroir interactif géant pour essayer des lunettes. Imaginez, vous êtes dans la rue, vous passez devant la vitrine d’un opticien et des lunettes virtuelles apparaissent comme par magie sur votre visage. Grâce à une caméra et un écran d’affichage situés à l’intérieur du point de vente, la technologie de réalité augmentée vous permet d’essayer des dizaines de montures en quelques secondes. Vous pouvez avancer, reculer, tourner la tête, les lunettes superposées à votre visage suivent vos mouvements en temps réel à l’écran. Cette technologie permet également d’interagir avec la vitrine en touchant simplement la vitre du magasin depuis l’extérieur. Vidéo de la vitrine interactive en action lors du dernier Silmo – Mondial de l’Optique de Paris
Le cost controller, le gardien des coûts Pour épouser le métier de cost controller dans l'hôtellerie-restauration, il faut non seulement avoir une appétence pour les chiffres, mais aussi une bonne connaissance des métiers des CHR. "Le cost control est très différent dans l'hôtellerie par rapport au contrôle de gestion comme on l'entend dans les écoles de commerce, explique Philippe Parodi, directeur financier au Grand Hyatt Cannes Hotel Martinez. La connaissance des métiers de la restauration est essentielle pour comprendre les spécificités et donc les coûts des recettes et la gestion d'une cuisine." Aussi, le cost controller est souvent passé avant par l'économat ou le contrôle des recettes. C'est le cas de Yann Sureau, du Martinez, qui est auparavant passé par la réception et le contrôle des recettes. Frédéric Le Guillanton a un parcours plus atypique : après la sommellerie, il est devenu commercial dans d'autres secteurs. Un lien entre les services Enfin, autre aspect du métier, le cost controller doit s'avoir s'adapter.
Poult : le management démocratique existe – InternetActu Le groupe toulousain Poult est aujourd’hui le deuxième vendeur de biscuits en France, derrière LU. Si la marque ne vous est pas aussi familière, c’est que Poult fabrique des produits affichant la griffe du distributeur. En fait, ses cinq usines et ses huit cents employés fournissent quasiment toutes les chaînes de supermarchés et d’hypermarchés de l’Hexagone. Jérôme Introvigne (@oimoci), ancien directeur de l’innovation, a remplacé au pied levé Carlos Verkaeren, PDG de la société, sur la scène de Lift France. Il n’aurait logiquement pas dû être à Lift pour nous présenter cette dernière, puisqu’il l’a quittée la semaine précédente pour monter sa start-up, Skiller, une plateforme collaborative de partage de compétence professionnelle ! Mais il reste cependant suffisamment enthousiaste à l’égard de son ancien employeur pour le représenter. Image : Jérôme Introvigne sur la scène de Lift France. Mais comment passer à la pratique ? Rémi Sussan
Le casse-tête du yield management, version SNCF Comment optimiser ses tarifs en fonction de la période, de l’horaire et de la demande sans basculer dans un système trop complexe pour le client ? La compagnie ferroviaire n’a pas totalement résolu l’équation. La prochaine fois que vous prendrez le TGV entre Paris et Marseille, tentez l’expérience. Si vous examinez du coin de l’œil les billets de vos voisins, vous observerez qu’ils portent tous un nom différent : Loisir, Pro Seconde, Prem’s, Prem’s Week-end ou iDTGV. Vous vous rendrez surtout compte qu’aucun passager, ou presque, n’a déboursé la même somme : l’un a payé 25 euros, l’autre 102,50 euros. Un sujet qui fâcheLa SNCF, en revanche, s’y retrouve bigrement.
Objectif Budget Comment évaluer et suivre ses fournisseurs ? Si l'on veut respecter les normes ISO, on se doit de mettre en place une démarche d'évaluation et de suivi de ses fournisseurs. Toutefois, pour que cette action représente un véritable atout pour la gestion quotidienne, encore faut-il qu'elle soit réfléchie, efficace et bien menée. Quelles sont vos exigences ? Quels indicateurs choisir ? Comment les obtenir ? Cette évaluation vous permet de vérifier si vos fournisseurs répondent correctement à vos besoins et niveaux d'exigences. Voici donc quelques documents glanés sur le net pour vous aider dans votre réflexion et tout au long de votre approche. Sélection de documents publiés sur internet Articles Qualité : évaluation des fournisseurs Les normes ISO requièrent une mise en place d'évaluations de fournisseurs, mais l'absence de directives strictes peut engendrer des contournements de ces exigences. Yvon MOUGINEvaluez-vous vos fournisseurs correctement ? faq-logistique.comConstruisez efficacement votre outil d’évaluation des fournisseurs