Encadrement des loyers : véritable solution ou outil de propagande politique ? Selon une étude IFOP de septembre 2011, 50% des ménages consacrent entre 30 et 50% de leurs revenus disponibles au logement, 15% déclarent même être obligés de réduire leur budget alimentation. Le loyer étant le principal poste de dépenses des ménages, il suffirait donc de bloquer les loyers pour faciliter l’accès au logement des locataires. Certains proposent de bloquer strictement les loyers, d’autres de limiter la hausse à l’IRL même en cas de relocation. Les opposants estiment que le marché s’autorégule et que cette mesure serait même contre-productive. Chaque camp propose des arguments recevables, mais je propose d’autres pistes de réflexion qui s’attaquent au réel problème : le manque de logements à prix abordables. Encadrer les loyers pour favoriser l’accès au logement Selon les partisans de cette mesure, cela permettrait à court terme de relancer le pouvoir d’achat des ménages et donc de relancer la consommation. Même si M.
“Debtocracy”, le documentaire qui secoue la Grèce Interview avec Aris Hatzistefanou, journaliste à l'origine de Debtocracy, un documentaire-choc qui a rencontré un grand succès. Il demande une commission d'audit sur la dette grecque et prône une sortie de l'euro. Cette interview a été initialement publiée sur OWNI.eu le 6 mai dernier. Suite à la publication de la version sous-titrée en français du documentaire, nous publions aujourd’hui la traduction française. Né à Athènes, Aris Hatzistefanou, 34 ans, est un journaliste à toute épreuve depuis ses plus jeunes années. Journaliste en Palestine, puis à Londres pour la BBC, son émission de radio “infowar” sur la station grecque Sky Radio, très écoutée, fut arrêtée quelques jours seulement avant la publication du documentaire Debtocracy, dont le message est à contre-courant de la pensée dominante. Ce projet a attiré l’attention de plus d’un million de personnes en Grèce, et a popularisé une campagne nationale demandant une commission d’audit de la dette publique du pays.
A Few Hypercomplex Onions C# Generic Limitations The C# class Onion (listing below) allows experimentation with any of the Cayley-Dickson algebras mentioned in the previous related article, from the monodimensional reals, right up to the 512-dimensional austons :-) and beyond. Modern professional libraries for this purpose still tend to be based on technologies like C++ templates, allowing for type variation in the underlying coefficients. And not just between a few integer and floating point types. For example, with careful design you can define your Biquaternion type as Quaternion<Complex>. But while elegant and fun to develop, these techniques don't port well to C#. Introducing The Onion The obvious alternative is to create a single class to represent a Cayley-Dickson number of any dimension. These let the class encapsulate the Cayley-Dickson definition of a product. p = (a, b)q = (c, d) The Cayley-Dickson construction defines the product of these as pq = (ac - d'b, da + bc') Onion Operators, Properties, Methods
Guillaume Sarlat Il mito della crescita infinita a debito, Maurizio Pallante e Andrea Bertaglio | Nouveaux paradigmes A Kind Of Magic | CQG+ By Leron Borsten and Alessio Marrani Our journey starts in the fall of 1843 at the Dunsink Observatory[1], presiding from its hill-top vantage over the westerly reaches of Dublin City, seat to the then Astronomer Royal Sir William Rowan Hamilton. In the preceding months Hamilton had become preoccupied by the observation that multiplication by a complex phase induces a rotation in the Argand plane, revealing an intimate link between two-dimensional Euclidean geometry and the complex numbers ℂ. Fascinated by this unification of geometry and algebra, Hamilton set about the task of constructing a new number system that would do for three dimensions what the complexes did for two. Leron Borsten (left) and Alessio Marrani (right) stood before Hamilton’s fundamental relations, Broome bridge Dublin. This discovery set in motion a subtle dance intertwining algebra and symmetry. To remedy this shortcoming we must first return to Dublin, 1843. Figure 1: The Fano plane. Further reading J.C. E. E.
Le choix français de la compétitivité-prix est contre-productif Deux stratégies dominantes sont possibles en la matière : d’une part celle de la « compétitivité/prix » qui recherche et maintient les avantages concurrentiels des entreprises nationales grâce à la réduction des coûts, notamment salariaux, et, d’autre part, celle de la compétitivité/hors-prix qui, grâce à une capacité permanente d’innovation différenciatrice, crée et renouvelle des positions de monopoles et de leaderships sur des créneaux à fort potentiel de développement. Pour un pays anciennement développé comme la France, la première politique est contre-performante compte tenu des avantages comparatifs des pays en développement et de la globalisation des marchés financiers; c’est pourtant celle sur laquelle notre gouvernement sous la pression de ses industries traditionnelles, polarise actuellement ses efforts et les ressources publiques. La conquête des marchés par la baisse des coûts et des prix est une voie de garage Danièle Blondel Economiste professeur émérite à Paris-Dauphine
Plafond de la dette : comment démocrates et républicains jouent à se faire peur Les Américains ont trouvé leur stratège : Ben Ainslie, l’Anglais qui a permis à Oracle Team USA de revenir d’une situation quasi-désespérée (1-8 face aux Néo-Zélandais) et de conserver la Coupe de l’America sur le territoire. Les Républicains cherchent toujours le leur. Le défi n’est pas nouveau pourtant : retarder, voire compromettre, la mise en place de l'Obamacare. L’affrontement a lieu sur le terrain budgétaire. Incapable de se mettre d’accord depuis plusieurs années, les membres du Congrès (Chambre des représentants et Sénat) ne votent plus de budget mais des "résolutions de continuité" (continuing resolutions / appropriations ou stop gap). La loi a ensuite été présentée au Sénat, à majorité démocrate. i. a. b. Le rejet, par les républicains, de la loi amendée au Sénat se solderait donc par une double perte : crédibilité/popularité (déjà bien faible) et maintien de l’Obamacare en l’état. ii. Mais ce n’est pas tout. Là aussi, les républicains jouent le chicken game.