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SKYTRUTH

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SkyTruth: l’anti-Yann Arthus Bertrand Depuis 2001, John Amos déploie ses compétences d'analyste d'imagerie satellitaire pour évaluer l'impact environnemental réel des activités humaines. Interview avec celui qui espère faire de SkyTruth un modèle de vérification des données écologiques. Lancée en 2001, l’ONG SkyTruth a décodé des centaines d’images satellitaires de toute une panoplie de désastres provoqués par les activités industrielles, agricoles ou immobilières : nappes de pétrole, déforestation, glissement de terrain et autres inondations. Comment vous est venue l’idée de SkyTruth ? L’idée m’est venue au milieu des années 1990 : à l’époque, j’étais géologue consultant pour deux sociétés de conseil en imagerie satellitaire qui décryptaient des photos pour le compte de compagnies pétrolières, minières ou d’agences gouvernementales. La mine à ciel ouvert de Cerro de Pasco (Perou) au coeur d'une ville de 70.000 habitants. Comment votre projet s’est-il concrétisé ? Comment vous procurez-vous les clichés satellitaires ?

Docteur Cynthia, héroïne birmane Quand le Docteur Cynthia a finalement atteint la Thaïlande, après un périple de sept jours dans la jungle, elle n'avait dans son sac qu'un stéthoscope, une paire de ciseaux et quelques boîtes de médicaments. Aujourd'hui, à Mae Sot, petite ville frontalière de la Birmanie, elle est devenue une héroïne locale grâce aux soins qu'elle prodigue à plus de 100.000 patients chaque année, dans sa clinique créée pour les réfugiés. Comme le Dr Cynthia l'avait fait il y a 20 ans, ils ont fui la Birmanie et son régime militaire. > Regardez notre reportage: Galvanisée par ce succès - elle a été nominée pour un prix Nobel de la paix en 2005 - elle a ouvert récemment une école pour prendre en charge les enfants birmans en exil. L'hôpital offre désormais des services spécialisés comme la pédiatrie, la chirurgie ou l'ophtalmologie. La plupart des réfugiés sont issus, comme le Dr Cynthia, des minorités ethniques comme les Karens ou les Shans. > A lire, sur les droits de l'Homme en Birmanie:

Architectes de l'urgence Les Indiens du Brésil sur le sentier du cyberactivisme Au Brésil, des tribus indigènes utilisent les nouvelles technologies pour défendre leurs droits et leurs traditions. Rencontre avec l’un de leurs leaders. Jusqu’à ses 20 ans, il n’avait jamais touché un ordinateur. Comme tous les hommes de son village, situé dans le nord-est du Brésil, au sud de l’Etat de Bahia, Jaborandy Yandê se levait le matin à 3h pour partir à la pêche jusqu’à 20h, trois jours par semaine. Le reste du temps, ce jeune homme, qui arbore un sourire timide et des bras couverts de tatouages traditionnels, travaillait dans les champs de manioc. Dans sa nouvelle vie, ce geek de 27 ans porte des jeans larges, des tee-shirts affichant le nom de son peuple (“Tupinambá de Olivença“), se sent à l’aise face aux flashs d’un photographe, donne des interviews. Indiosonline et l’Internet au Brésil Ce changement, il le doit à l’ONG brésilienne Thydewa, qui gère le réseau Indiosonline [BR], et qu’il a rejoint en 2004. Jaborandy se souvient : Mais Jaborandy ne recule pas. par luarembepe

Les habitants des barrios s'attaquent à la violence "La calle es de los niños" (la rue appartient aux enfants). La phrase, suivie d'un pistolet barré, est inscrite sur plusieurs centaines de t-shirts et affiches de manifestants pacifiques qui descendent les rues étroites des barrios, les favelas vénézuéliennes de San Agustin, dans la capitale Caracas. Depuis 18 ans, la "coordination" du même nom que la devise, organise cette grande marche en juillet. Tandis qu'à l'arrivée les enfants se jettent sur les jeux gonflables installés dans la rue, des parents distribuent des prospectus rappelant que les jeunes de ces quartiers peuvent s'inscrire gratuitement à des cours de percussions, danses, chants, apprendre à fabriquer des instruments ou encore participer à la production d'émissions télévisuelles de la chaîne communautaire. "Dans nos quartiers, les bandes rivales s'affrontent. Nos enfants font comme seul trajet celui de l'école à la maison car la rue est dangereuse. La violence quotidienne Le Venezuela est connu pour sa violence.

Kiva – Aidez au financement de projets autour du monde J'aime le net... Surtout quand je vois des initiatives comme Kiva, que je découvre à l'instant. Crée en 2005, Kiva est une organisation à but non lucratif qui permet de mettre en relation des gens qui ont un peu d'argent avec des gens qui ont besoin d'argent. Certaines personnes, de part le monde, ont besoin parfois d'un petit coup de pouce pour démarrer leur business ou sortir d'un coup dur. Kiva propose à ces gens d'exposer leur projet, accompagné par des organismes de micro financement. Il y a 2 types de demandes sur Kiva. C'est vraiment une belle idée, qui semble très bien fonctionner. Je me suis inscrit et j'ai commencé avec un petit prêt à 50 $ pour "voir" à Oscar Huigo Paz Soldan Anderson, un Colombien qui a monté sa boite de dépannage informatique / conseil en informatique, qui a besoin d'un micro prêt pour s'acheter du nouveau matos et faire grandir son business. A découvrir si vous voulez filer un coup de main. Merci à Cédric pour la découverte. Vous avez aimé cet article ?

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