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Les jeunes face aux réseaux sociaux.

Les jeunes face aux réseaux sociaux.
Il faut savoir que beaucoup des jeunes sont touchés par l’influence des réseaux sociaux de nos jours. En effet, une enquête publiée par le réseau EUKidsOnline , réalisée sur 25 000 jeunes de 25 pays européens, montre que 77% des jeunes ayant entre 13 et 16 ans ont au moins 1 réseau social et, 38% des jeunes ayant entre 9 et 12 ans en ont aussi au moins 1. Mais d’un pays à un autre les moyennes changent : Ainsi, 70% des 9-12 ans admettent avoir un réseau social aux Pays-Bas contre seulement 25% en France… 15% des jeunes ayant entre 9 et 12 ans déclarent avoir plus de 100 amis sur Facebook, or, en Hongrie 47% des jeunes dans la même tranche d’âge admettent avoir plus de 100 amis sur un réseau social. Ces chiffres permettent de voir à quels points les jeunes peuvent être influencés par l’utilisation abusive de ces réseaux sociaux… Car tout prend des proportions démesurées, à partir du nombre d’amis jusqu'à la moyenne d’âge des utilisateurs qui descend au fil des années. Related:  dossier personnel AJ

L’influence des réseaux sociaux sur les jeunes Dans l’UE27, 80% des internautes utilisent les réseaux sociaux. Une étude réalisée par l’Eurostat démontre que l’utilisation de l’internet à augmenté depuis 2006 surtout dans les ménages avec enfants. Elle est passée de 49% en 2006 à 89% en 2010 en Belgique 70% des jeunes âgés entre 16 et 24 ans envoient des messages à des forums de discussion, des blogs, des réseaux sociaux tels que Facebook et MySpace. Les réseaux sociaux en bien et en mal En bien Les jeunes d’aujourd’hui sont ceux qu’ont appelle "Les enfants de la Net-génération ".Ils ont grandi avec internet au bout de leur doigts. En mal. L’utilisation des réseaux sociaux entraine aussi de mauvaises rencontres sur la toile. 3 jeunes sur 10 sont être l’objet de sollicitations par des pédophiles sur le web. En conclusion On a montré qu’il y a réseau social (type site de jeu en ligne,"rencontre") et réseaux sociaux (type MSN fait pour discuter) chez les adolescents et tous deux exercent une influence plus ou moins grande sur celui-ci.

L’usage des médias sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille Utiliser les médias sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011). Un rapport clinique paru dans la revue américaine Pediatrics (2011) met en perspective les différents impacts des médias sociaux sur les enfants, les adolescents et les familles. Possibilité de développer des habiletés sociales et d’améliorer la communication Une belle opportunité d’apprentissage Accessibilité à de l’information portant sur la santé

Les réseaux sociaux professionnels Maîtriser l’information Blogs, sites Internet, forums, … Toutes les informations posées sur la toile vont bien au-delà du profil que vous avez pris soin de renseigner. Les réseaux sociaux professionnels sont des outils de veille très efficaces : beaucoup d’entreprises disposent d’un compte. Des candidats potentiels ont été trahis par des informations personnelles qu’ils ont publiées sur leur page personnelle (critiques envers un employeur, une société, photos compromettantes, expression des états d’âme pouvant effrayer les lecteurs…) et ont vu leur candidature rejetée. Pour éviter ces écueils, vous pouvez donner libre cours à vos pensées dans un compte dont vous aurez limité l’accès. Gérer son image virtuelle Pour véhiculer une image positive et vous faire connaître professionnellement, il vous faut construire une identité virtuelle. Cette démarche passe par une phase d’introspection : quels sont vos forces et vos faiblesses ?

Rôle et Objectifs du CPE dans l’évaluation des élèves 1Le rôle du conseiller principal d’éducation dans l’évaluation est un sujet qui relève davantage de l’interrogation que de la certitude. D’abord par sa diversité, le rôle du conseiller principal d’éducation ne se réduit pas au champ de l’évaluation des élèves. Cependant, le décret n° 89-730 du 11 octobre 1989 fait entrer les conseillers d’éducation dans l’évaluation des élèves à côté des personnels enseignants. Faire une place aux conseillers principaux d’éducation dans l’évaluation des élèves, permet d’interroger le concept d’évaluation. 2Historiquement, il y a longtemps que les notations scolaires ont été critiquées, mais la notion complexe d’évaluation ne s’est exprimée qu’à la lumière de la docimologie, qui va progressivement confirmer contre les illusions objectivistes, la relativité de la notation. 3La psychologie travaillera également en faveur de l’évaluation en pointant les dommages d’ordre psychologique dus à sa dureté. 6Que signifie évaluer ? 7Qu’est-ce qu’évaluer ? 33Comme C.

Medias sociaux Écrit par B. Bathelot, modifié le 27/11/2020 Glossaires : Marketing viral et social Le terme de médias sociaux désigne les plateformes digitales accessible par Internet (web et applications) et permettant à leurs membres d'établir ou d'intégrer des réseaux d'amis ou connaissances professionnelles et de participer à la vie de ces réseaux à travers la mise à disposition d'outils et interfaces de présentation, de communication et d'interaction. Les médias sociaux les plus connus et les plus utilisés en occident sont Facebook, Twitter, LinkedIn, Snapchat, Instagram, Pinterest et YouTube. Au vu de leur succès d'audience et d'usages, les médias sociaux constituent des médias ou supports incontournables dans le cadre de l'action marketing ou publicitaire. Voir également marketing des médias sociaux. Un état des lieux des médias sociaux en 2020 : Proposer une modification

Qui contrôle Internet ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Damien Leloup Après la publication de notre article consacré au projet Commotion, qui permet de créer des réseaux informatiques non censurés et faciles à déployer dans des pays dictatoriaux, de nombreux lecteurs nous ont interpellés pour savoir qui contrôle aujourd'hui Internet. En raison de sa nature décentralisée, Internet n'est pas "contrôlé" par un unique organisme, Etat, ou entreprise. Contrairement à une idée répandue, le réseau n'est pas non plus une "jungle" totalement libre : à tous les échelons, de nombreux organismes exercent ou peuvent exercer un contrôle ou une censure sur les informations qui y circulent. Les stuctures les plus fondamentales d'Internet sont sous le contrôle de l'Icann, l'Internet corporation for assigned names and numbers. Cet organisme a un statut particulier, puisqu'il s'agit d'une société à but non lucratif, soumise au droit californien.

Colloque « Sauver les jeunes des médias sociaux ? » - Sciencesconf.org Mercredi 22 novembre Session 1 - Ambivalences dans les usages des médias sociaux 9H45 Beatrice Guillier Grande sœur, modèle, star : la YouTubeuse et les adolescentes, entre influence normative et potentiel émancipateur. Les YouTubeuses sont souvent accusées par les médias traditionnels de prôner un mode de vie consumériste et superficiel auprès de leur jeune public. Traditional medias often accuse female YouTubers of promoting a consumerist, superficial lifestyle among young people. Principales références : Monnot Catherine (2009). Pasquier Dominique (2005). Radway Janice (1984). Béatrice Guillier est doctorante à l’École des hautes études en sciences sociales. Diaporama Beatrice Guillier 10H15 Anne Cordier S’informer aujourd’hui : Pratiques et regards de jeunes sur l’information et le paysage médiatique Qu’est-ce que « s’informer » pour « les jeunes » à l’heure des médias sociaux ? What is information for "young people" at the time of social media? Cordier, Anne (2015). 11h Nadia Gauducheau

Réseaux sociaux : usages et pédagogie SlideShare utilise les cookies pour améliorer les fonctionnalités et les performances, et également pour vous montrer des publicités pertinentes. Si vous continuez à naviguer sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies. Consultez nos Conditions d’utilisation et notre Politique de confidentialité. SlideShare utilise les cookies pour améliorer les fonctionnalités et les performances, et également pour vous montrer des publicités pertinentes. Si vous continuez à naviguer sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies. Consultez notre Politique de confidentialité et nos Conditions d’utilisation pour en savoir plus. SlideShare utilise les cookies pour améliorer les fonctionnalités et les performances, et également pour vous montrer des publicités pertinentes. SlideShare utilise les cookies pour améliorer les fonctionnalités et les performances, et également pour vous montrer des publicités pertinentes.

Conseils pour l'utilisation des réseaux sociaux un épisode parrainé par la CNIL - 1. Se poser les mêmes questions que celles que vous vous poseriez dans la « vraie vie » lors de la diffusion de données personnelles sur internet. Exemple : est-ce que je souhaite que mes parents ou encore que tout mon lycée ait accès aux photos prises avec ma petite amie ? 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Les adolescents sur Internet : expériences relationnelles et espace d’initiation 1 D’après Houssonloge, « près de 80 % des 6/17 et près de 100 %, 96 % des 15-17 ans naviguent sur le (...) 1Les usages spécifiques d’internet et du Web 2.0 par les adolescents interrogent sur l’évolution des pratiques d’accès à l’information des futurs citoyens dans le contexte d’un espace public diffracté, mosaïque (Bastien et Neveu : 1999 ; Dahlberg : 2001), et dont le déficit d’unité est indéniablement corrélé à la montée en puissance des technologie relationnelles. Ces dernières contribuent en effet, dans leur usage courant, à fragmenter des audiences et à générer davantage des communautés circonstancielles que de véritables publics délibératifs. 2Dans un microcosme juvénile marqué par une quête d’affirmation identitaire, la violence symbolique et les jeux de positionnement hiérarchique (la recherche de popularité) demeurent omniprésents, notamment entre 12 et 15 ans (Escofet : 2012). 7L’examen de la configuration d’usage des médias par les adolescents est riche d’enseignement.

↳ 1) Le cyber-harcèlement dans la législation française Le cyber-harcèlement est puni par la loi, au même titre que le harcèlement classique. L'article 222-33-2 du Code pénal de la législation française stipule que « le fait de harceler autrui par des agissements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 € d'amende. » Cette loi a été modifiée par l'article 2 de la loi numéro 2012-954 en date du 6 août 2012 : au lieu des deux ans de prison et de 15 000 € d'amende, cet amendement a réhaussé l'amende à 30 000 € (le double). Toutefois, les deux ans de prison sont maintenus. (source) (source qui tire l'image d'une source sûre) Quelles sanctions pour les mineurs ? Le cyberharcèlement est pour ainsi dire risqué, étant données les sanctions en jeu.

Instagram serait le pire réseau social pour la santé mentale des jeunes Capture d'écran de la vidéo de présentation d'Instagram Stories On a tous déjà ressenti ce sentiment d'infériorité, de malaise, voire d'anxiété, en surfant sur les réseaux sociaux et en voyant les trolls dans les commentaires et les photos hyper photoshoppées des Instagrameuses. Si les impacts négatifs des réseaux sociaux sur notre bien-être mental et l'estime de soi sont pointés du doigt depuis longtemps par les professionnels, un nouveau sondage vient mettre un coup de massue à Facebook, Snapchat, Instagram et Twitter : ils nuisent gravement à la santé mentale des jeunes de 14 à 24 ans. Instagram serait même le plus dommageable pour les jeunes, selon cette étude publiée vendredi par deux organismes, la Royal Society for Public Health et le Young Health Movement. Instagram le pire, YouTube le meilleur Snapchat, Facebook et Twitter ne sont pas épargnés. "Il est intéressant de voir qu'Instagram et Snapchat sont classés comme les plus néfastes sur la santé mentale et le bien-être.

Article riche en informations et vraiment intéressant surtout le témoignage en bas de page.
On réalise en effet que les réseaux sociaux fonctionnent sur l'instantané, parfois on ne prend pas vraiment conscience du fait que les traces laissées sur Internet peuvent être retrouvées et/ou consultées par n'importe qui. by messi_groupe3_psy Apr 5

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