Economie : la vie chez Google Vendredi, 18 heures : dans la cour d’un superbe hôtel particulier, au cœur du 9e arrondissement parisien, une centaine de salariés de Google trinquent sous le soleil, une bière ou une coupe de champagne à la main. Au siège français, les « Googlers », comme ils s’appellent entre eux, fêtent l’arrivée du week-end lors d’un apéritif hebdomadaire. L’occasion de se mélanger, du stagiaire au patron, et de discuter de projets parfois confidentiels. Tandis que certains jouent au ping-pong, des ingénieurs américains de passage en France se livrent, devant quelques curieux, à une démonstration en avant-première des Google Glass, des lunettes futuristes capables de recevoir des textos, équipées d’un GPS et d’une caméra. « C’est pour ce genre de projets fous que je travaille ici », glisse un salarié. Bienvenue chez Google ! « C’est une fiction, pas un film sur l’histoire de Google », tempère une porte-parole du groupe. Mini-cuisines et salle de fitness Des stagiaires en grande forme Un coup de barre ?
Pourquoi Google pose les mêmes questions à tous ses candidats? Google fait partie des entreprises les plus attractives de la planète. Au quotidien, le monde entier utilise son moteur de recherche et les différents services qui gravitent autour. Alors forcément, quand on est recruteur au sein d’une entreprise asi attrayante aux yeux des candidats, on doit mettre en place des techniques de recrutement très pointues afin de sélectionner les meilleurs talents. Précédemment, on a pu voir la typologie du CV idéal selon Lazlo Block, le responsable RH de Google. Continuons dans cette direction avec les questions posées aux candidats lors des entretiens d’embauche. Saviez-vous que Google posait les mêmes questions à tous ses candidats? Google arrête de poser des devinettes à ses candidats Il y a encore peu, Google posait des questions très surprenantes à ses candidats. Combien factureriez-vous pour laver toutes les vitres à Seattle ? Des entretiens comportementaux pour en apprendre davantage sur les candidats
Le Recrutement chez Google Part. 2 | Management RH Lorsqu’un recruteur effectue une mission de sourcing, il dispose d’un certain nombre d’outils classiques : Agence Pôle Emploi, cabinets de recrutement, sites spécialisés & contacts avec les écoles. Google utilise ces réseaux mais, en analysant la stratégie de recrutement, on se rend qu’elle utilise des méthodes aussi insolites qu’efficaces. Recruter par une publicité codée Le “billboard myster” est une équation mathématique affichée sur un panneau publicitaire, sans logo, ni signe distinctif. Des événements pour le recrutement Google organise ses propres événements RH, spécifiquement pensés en prévision des besoins en ressources humaines. Gestion par processus Une gestion industrielle de la division des tâches a été mise en place dans le service Ressources Humaines. L’intégration chez Google Google est une entreprise de renom à la réputation sérieuse, l’arrivée dans une telle organisation peut être stressante pour les nouveaux recrutés. A lire également :
Pour motiver ses salariés, Google mise sur l'interaction et l'autonomisation Chez la firme de Mountain View, motiver ses collaborateurs passe par deux choses : la possibilité de prendre du temps pour travailler sur un projet personnel, et la gratification des personnes qui aident leurs pairs. Pour favoriser l'engagement de ses salariés, Google a décidé de leur laisser plus de temps libre, tout en les incitant à communiquer entre eux. Les managers de la firme de Mountain View sont partis du principe suivant: au cours de la réalisation de leur travail, ingénieurs comme développeurs acquièrent de nombreuses compétences, qu'ils peuvent souhaiter mettre en œuvre dans un cadre plus personnel. C'est pourquoi ils ont lancé en 2006 une initiative permettant aux employés de diviser leur temps de travail en deux parties. Utiliser les interactions entre employés comme assurance d'un travail effectif Ce dernier pouvant être pris afin de mettre au point de nouveaux concepts, qui peuvent au final être récupérés par l'entreprise, sur le principe du don réciproque.
Travailler chez Google, ce n'est pas que du bonheur Une cantine gratuite, des salaires alléchants (88.000 euros par an en moyenne pour un ingénieur), des fauteuils massants ou encore 20% de temps libre pour développer ses projets personnels… A priori, Google paraît l'endroit rêvé pour tout salarié. Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que le groupe américain figure régulièrement parmi les premières places des palmarès consacrant les employeurs préférés des jeunes diplômés. Si travailler chez le géant de la Silicon Valley est une expérience très enrichissante, cela peut bizarrement avoir de mauvais côtés. > Des employés trop qualifiés Vu le nombre de personnes souhaitant travailler chez Google, la firme peut se permettre de ne recruter que les meilleurs éléments. Autre problème lié à la surabondance de talents : la difficulté à grimper rapidement dans la hiérarchie. Cet environnement peut, par ailleurs, favoriser l'émergence de comportements arrogants. > Un impact limité sur la stratégie de la société > Esprit start-up, es-tu là ?
11 qualités que Google recherche chez ses candidats Avez-vous le profil idéal pour être engagé dans cette société qui offre des conditions de travail rêvées à ses employés ? Google reçoit entre 2,5 et 3,5 millions de candidatures par an. L'entreprise ne recrute que 4 000 personnes environ. Laszlo Bock, vice-président chargé des RH, dirige cette procédure hyper sélective. Dans des interviews au New York Times, à The Economist et à des étudiants sur Google+, le patron du recrutement révèle comment le géant de la recherche en ligne évalue ses candidats. Nous avons passé au crible ces entretiens et avons découvert les caractéristiques les plus surprenantes. Google ne recherche pas des experts "Nous préférons employer des gens intelligents et curieux, plutôt que des personnes très expérimentées dans un domaine ou un autre", déclare-t-il, tout en faisant remarquer que les individus qui ont de fortes capacités d'apprentissage parviennent généralement à trouver des réponses aux questions insolites. Google recherche des gens qui ont du cran
Google : les salariés bousculent le mythe Le géant de l'informatique, pourtant auréolé d'une réputation d'entreprise modèle, est loin d'être un Éden pour ses salariés. Entre querelles d'ego et faiblesses managériales, leurs témoignages chamboulent les idées reçues. Florilège. Fréquemment, Google est attaqué de l'extérieur. • «Arrogance et sexisme» «Beaucoup de gens qui travaillent chez Google ont le sentiment d'avoir tous les droits parce qu'ils sont issus de l'élite», témoigne une ancienne directrice des ressources humaines. • Une sélection drastique… mais des tâches mesquines «Ce qu'il y a de pire dans cette boîte, c'est le décalage entre l'exigence du recrutement et la simplicité d'un grand nombre de missions», écrit Vlad Patryshev, resté trois ans et demi à Mountain View. • Impossible de changer seul la donne «J'ai travaillé trois ans pour Google. • Des cadres intermédiaires «pas à la hauteur» Au vu des commentaires, aucun doute ne subsiste quant aux aptitudes techniques des cadres. • La vie en «G» • Un campus pas si sympa
Organisations publiques Contrairement aux entreprises, les organisations publiques ne sont pas animées par la recherche du profit mais par l’INTÉRÊT GÉNÉRAL (y compris économique, voir page pouvoirs publics et économie). Cette page présente les différentes organisations publiques qui existent en France ainsi que leurs finalités et leur financement. Elle peut appuyer le cours de management des organisations enseigné en première STMG ou de SES au programme de seconde (ce n’est pas un cours de droit public !). Vous n'y trouverez donc qu'une simple introduction à un vaste sujet. Variété des organisations publiques L’État et ses administrations : il s’agit d’organisations qui possèdent une compétence sur l’ensemble du territoire français. Les collectivités territoriales : elles sont si nombreuses que la France est parfois qualifiée de millefeuille administratif ! Les hôpitaux reflètent bien la complexité du système puisque certains dépendent de la région, d’autres sont locaux, etc. Fonction publique et fonctionnaires