Dépendance à Internet
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction
Cyberdépendance - Dépendances - Infos drogue, prévention, dépendance en toxicomanie
De nos jours, les ordinateurs font partie de notre quotidien. Cet outil de travail et de loisirs est presqu'un incontournable dans la majorité des domiciles familiaux. Les ordinateurs, les iPad, les téléphones cellulaires, etc. nous permettent d'être connectés en tout temps avec ce monde de divertissement et de communication. Toutefois, lorsqu'utilisée de façon abusive, cette activité de loisirs peut mener à une véritable dépendance. Comme avec toutes les autres formes de dépendances, celle-ci, une fois installée, provoquent des sensations de malaise, d'anxiété et parfois même de souffrance, lorsque la personne est privée d'accès pour la réalisation de ses activités. Elle provoque alors un besoin irrépressible d'être en ligne ou de jouer afin de calmer les émotions négatives ressenties suite à l'impossibilité de combler ce besoin.
L'addiction des enfants aux nouvelles technologies constituerait une menace sérieuse à leur développement
Si avant les parents responsables protégeaient leurs enfants de l’addiction aux programmes télé, ceux d’aujourd’hui devront mener le même combat mais feront face à un adversaire différent. En effet, durant la conférence annuelle de l’association ATL (Association of Teachers and Lecturers) qui a eu lieu au Royaume-Uni, les enseignants ont exposé un danger auquel sont confrontés nos enfants : l’addiction aux nouvelles technologies. Durant leur passage, ils ont décrit par exemple comment les enfants âgés de trois à quatre ans ayant été exposés à internet et aux appareils numériques depuis la naissance ont désormais « peu ou pas de dextérité dans leurs doigts », ces derniers ayant gardé le réflexe de tapoter l’écran encore et encore.
VIDEO. «L’addiction au numérique se mesure à la perte de liberté»
SANTE A l'occasion de la sortie du MOOC de l'université de Nantes sur l'addiction numérique, Didier Acier, professeur de psychologie clinique fait le point sur ce phénomène... Propos recueillis par Delphine Bancaud Publié le Mis à jour le Un phénomène de société qui est devenu un sujet d’étude. C’est ce lundi que l’université de Nantes lance un Mooc sur l’addiction au numérique.
Isabelle Varescon : Qu'est-ce que l'addiction comportementale ?
Peut-on vraiment être "accro" au jeu, au travail, au sport ?... La notion d'addictions sans substance fait l'objet de plus en plus de travaux. Mais comment une addiction peut-elle être purement comportementale ?
La cyberdépendance, ennemie du sommeil ?
Chaque soir, Fabrice, 34 ans, s’adonne à ce qui est devenu un rituel : il se connecte fébrilement, répond à ses courriels, en adresse d’autres, surfe sur ses réseaux sociaux, visite ses nombreux sites préférés. Ses yeux sautent d’une image à l’autre des heures durant. Et comme à chaque connexion, le temps semble s’être arrêté.
Cyberdépendance : La nouvelle drogue 2.0
Difficile de séparer un adolescent de sa connexion. Son ordinateur, son téléphone portable ou encore sa console de jeux est devenue sa bouteille d’oxygène... Et cette habitude peut rapidement devenir une dépendance.
La cyberaddiction existe-t-elle ?
L’addiction dépasse en effet dans les discours les plus divers la simple préoccupation, certes légitime, de soignants ou de responsables de santé publique envers des sujets en souffrance. Elle représente aujourd’hui une forme dominante de représentation du mal-être, voire de la condition de l’individu dans la société. Avec par exemple Alain Ehrenberg [1, 2], le constat peut être fait que l’addiction est devenue, avec la dépression, « la » pathologie emblématique de la société actuelle, au même titre que l’hystérie, ou plus généralement la névrose, l’avaient été au temps de l’invention de la psychanalyse par Freud. À l’époque victorienne, il était important de savoir « se tenir », de camoufler ses sentiments, de mettre en avant le devoir et de masquer le désir : l’hystérique posait alors problème, les liens des symptômes aux organes génitaux, puis au cerveau, enfin au désir et à l’histoire du sujet devenant les grandes questions théoriques de l’époque.
Certes, il faut laisser les gens vivre avec leur temps, surtout lorsqu'il s'agit des adolescents et des jeux vidéo. En effet, pouvoir partager avec ses pairs est également une façon d'asseoir les liens sociaux et pas forcement de les détruire. Ce qui reste toutefois essentiel, c'est d'encourager les ados à avoir une vie sociale non virtuelle, à travers les sports collectifs et autre activités "réelles". Marta by sporysz_groupe2_psy Apr 10
Cet article finit sur un point positif ( ce n'est pas négligable!!), c'est que cette dépendance est encore bien contrôlé et facilement réversible... Ouf by gaquere_groupe4_psy Apr 2