Comment le partage de l’information contribue-t-il à l’émergence d’une « intelligence collective » ? - stmg Information et intelligence collective Et plus particulièrement de la question 2 : Présentation effectuée par : ÄFanny HERVE,professeur économie-gestion Académiede Toulouse ÄAlain SERE, inspecteur général section économie et gestion Compte-rendu effectué par : Jeannine LARBI et Grégory D'Amico (professeurs en Economie-Gestion, Académie de Versailles L’expression "intelligence collective" est apparue en 1997 lors d’un meeting du philosophe Pierre Levy. On se focalise durant cette présentation à différents aspects. ÄLa place dans le programme La question sur l’émergence de l’intelligence collective est la seconde question du thème 2, la 1ère étant «en quoi les technologies transforment-elles l’information en ressource ?». Il semble pertinent de dire que pour aborder ce thème de l’intelligence collective, il faut que l’élève ait pu appréhender la notion de collectif et donc celle d‘individuel avant. Ä Comment aborder les notions Le programme a été rédigé en direction des élèves.
Guerre des supérettes en centre-ville Alors que les ventes des hypermarchés de périphérie stagnent, les distributeurs alimentaires s'affrontent au coeur des zones urbaines. La bataille y est plus féroce et plus complexe. Débarqués en mars dans le XVe arrondissement de Paris, les Mousquetaires veulent devenir la référence du quartier Balard. Leur arme: Intermarché Express, une nouvelle enseigne calibrée pour le centre-ville. Ils ont inauguré une supérette de 875 m2, installée à la place d'un ancien garage. Un foyer typique de l'intensification de la guérilla que se livrent la quasi-totalité des distributeurs en centre-ville. 200 Intermarché Express d'ici à 2018 «Compte tenu des évolutions démographiques (vieillissement de la population, manque de temps, fragmentation des courses, baisse de la taille des ménages), ce format retrouve l'intérêt des grands distributeurs, analyse Jacques Dupré à l'IRI. Marks & Spencer Food à l'offensive à Paris
High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... Soyons clairs, cette révolution numérique ne s'est pas faite sans douleur. A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique. Les formations aussi ont dû être adaptées aux exigences nouvelles de la clientèle. Claire Bader Surprise !
Thème 2 Information et intelligence collective - stmg Information et intelligence collective Et plus particulièrement de la question 2 : Présentation effectuée par : ÄFanny HERVE,professeur économie-gestion Académiede Toulouse ÄAlain SERE, inspecteur général section économie et gestion Compte-rendu effectué par : Jeannine LARBI et Grégory D'Amico (professeurs en Economie-Gestion, Académie de Versailles L’expression "intelligence collective" est apparue en 1997 lors d’un meeting du philosophe Pierre Levy. On se focalise durant cette présentation à différents aspects. ÄLa place dans le programme La question sur l’émergence de l’intelligence collective est la seconde question du thème 2, la 1ère étant «en quoi les technologies transforment-elles l’information en ressource ?». Il semble pertinent de dire que pour aborder ce thème de l’intelligence collective, il faut que l’élève ait pu appréhender la notion de collectif et donc celle d‘individuel avant. Ä Comment aborder les notions Le programme a été rédigé en direction des élèves.
But, Conforama, Ikea :comment la bande des trois réagit à la crise du marché du meuble Les clients se font un peu prier pour venir dans les magasins de meubles ? Les trois leaders du secteur, But, Conforama, Ikea, se rapprochent d'eux avec des formats plus petits et en développant les services Web. Encore une exception culturelle : en France, plus qu'ailleurs, la crise de l'immobilier a un impact direct sur la vente de meubles. Contrairement à nos voisins européens, qui renouvellent plus régulièrement les leurs, les Français ont tendance à craquer pour un nouveau salon ou une cuisine flambant neuve seulement lorsqu'ils déménagent. Alors, quand la pierre vacille... En 2013, le marché du meuble a ainsi reculé de 3%. Dans ces conditions, comment les as de la commode, Ikea, Conforama et But, se débrouillent-ils pour attirer le chaland ? La première initiative des enseignes pour résister à la crise ? But a accéléré le déploiement de son concept urbain But City et de But Cosy à proximité des petites villes. Jean Botella
Les Français sont connectés, qu'attendent les magasins ? Toujours plus. Les Français ne sont pas tendres avec les magasins. C'est un comportement certes historique, mais il devient de plus en plus structurel. Ils en attendent donc davantage, quitte à payer un peu plus cher : 1 Français sur 2 fréquente moins les magasins qu'il y a 5 ans, 59% d'entre eux veulent aller à l'essentiel et 65% regrettent de ne pas avoir un conseil plus personnalisé par exemple. Principaux enseignements (extraits de l'étude) 47% des Français déclarent se rendre moins souvent en magasin qu'il y a 5 ans pour faire leurs achats. Ce constat souligne la relation imparfaite qu'entretiennent les Français avec les magasins : 23% d'entre eux affirment que lorsqu'ils y font leurs achats, ils ne trouvent pas facilement toutes les informations, tous les conseils dont ils ont besoin et seuls 22% d'entre eux estiment que les magasins savent les conseiller en fonction de leurs derniers achats. Manque de reconnaissance dans la vraie vie Les vendeurs boucs émissaires Toujours plus vite
Qu'est-ce que l'intelligence économique ? L’intelligence économique (IE) est un mode de gouvernance fondé sur la maîtrise et l’exploitation de l’information stratégique pour créer de la valeur durable dans une organisation. Elle se décline en veille/anticipation, maîtrise des risques (sécurité économique) et action proactive sur l’environnement (influence). Née de la multiplication des informations et en perpétuelle évolution, l’IE est une approche professionnelle indispensable à tous les acteurs économiques pour éclairer la décision et affronter une compétition internationale multiforme. L’IE est par nature transversale et s’appuie sur des informations issues de sources ouvertes, c’est-à-dire accessibles au public. Du côté de l’Etat, cette gouvernance doit irriguer les stratégies mises en œuvre par les différents acteurs publics et dans leurs relations avec les acteurs non-étatiques.
La répartition géographique de la grande distribution en France et à Paris L’implantation des enseignes la grande distribution n’est jamais anodine. C’est ce que révèle cette analyse de la carte de la grande distribution en France, constituée à partir des listes de magasins disponibles sur les sites des enseignes de grande distribution. Une situation d’autant plus particulière à Paris, où le groupe Casino est en situation de quasi monopole dans certains quartiers. Distribution : ces cartes qui prouvent qu’il y a des monopoles La répartition territoriale des enseignes est fortement liée au revenu : l’exemple parisien. Toutes les enseignes n’ont pas la même clientèle cible, bien entendu. La division Franprix/Monoprix, toutes deux du groupe Casino, à Paris est représentative de cette répartition des enseignes. Nombre de magasins Monoprix pour 10.000 habitants par arrondissement à Paris (cliquez sur les codes postaux dans la légende pour faire apparaître ou disparaître les données de l’histogramme) Nombre de magasins Franprix pour 10.000 habitants par arrondissement
Digital : la moitié des distributeurs français ne sont pas prêts La grande distribution française serait-elle à la traine en matière de stratégie digitale ? Il semblerait. Une étude menée par le cabinet Oliver Wyman pour le compte de nos confrères de chez LSA montre en effet que parmi l'ensemble des acteurs de la grande distribution (alimentaire et non-alimentaire) interrogés - points de vente, sièges de sociétés de distribution, centrales d'achat, et e-commerçants - près de la moitié (46%) affirment que leur société n'est pas adaptée aux transformations digitales actuelles. Cependant, il est intéressant de noter que les points de vue diffèrent selon la catégorie de sondés. Plus particulièrement, les sièges des sociétés de distribution paraissent plus optimistes que les opérationnels. Source : La Mutation digitale de la distribution, Oliver Wyman/LSA, novembre 2014
Danone surfe sur les échanges collaboratifs - Les RH en pratiques - José Garcia Lopez Chez Danone, il suffit de quelques clics pour se faire un nom dans le Who’s Who. L’annuaire intelligent interne ainsi baptisé est calqué sur le modèle du Web 2.0 et des réseaux sociaux grand public. Il donne la parole aux intranautes. Depuis début 2010, ce réseau social d’entreprise s’adresse aux 40 000 salariés qui disposent d’un accès à un ordinateur professionnel, dans la centaine de pays d’implantation du groupe. Créer du lien Le travail en réseau et l’échange de l’information “de pair à pair” sont des pistes prioritaires dans la politique RH du groupe. Dans cette optique, la plate-forme informatique d’échanges choisie (éditée par IBM) a été customisée. Accélérer les prises de décisions Le réseau permet donc de savoir qui sait faire quoi et d’entrer en contact avec des personnes aux projets similaires. Des « tiroirs verrouillés » Nicolas Rolland admet qu’un important accompagnement au changement a été nécessaire pour la réussite du projet. Rubrique : Enquête
High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... Soyons clairs, cette révolution numérique ne s'est pas faite sans douleur. A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique. Les formations aussi ont dû être adaptées aux exigences nouvelles de la clientèle. Claire Bader Surprise !
- Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub Un transfert des métiers du marketing traditionnel vers le digital Les experts interrogés par /le hub de La Poste s’accordent : alors que le marché de l’emploi est assez terne en France, le secteur du marketing et de la relation client recrute… sur certains postes. Essentiellement ceux liés au digital et à la connaissance client. Pour Martin Villelongue, responsable de la division Marketing au sein du cabinet de recrutement Michael Page : « Les fonctions marketing sont relativement conjoncturelles. Pour Claire Romanet, fondatrice et dirigeante du cabinet de recrutement Elaee, spécialisé dans les métiers de la communication, du marketing et du digital : « Le marketing est directement lié à l’acte d’achat, donc aux ventes et revenus de l’entreprise, vecteur important de sa rentabilité. Un exemple : la compétence la plus demandée sur LinkedIn l’an dernier, tous secteurs et tous métiers confondus, était le social media marketing. Pouvoir identifier les nouvelles exigences des clients