La chanson Je Suis Charlie par JB Bullet
Je Suis Charlie en chanson par JB Bullet à la guitare. JB Bullet – Chanson Je Suis Charlie par Spi0n Le français JB Bullet (Jean-Baptiste Bullet), originaire de Tarbes, a écrit une chanson en hommage aux victimes de l’attentat de Charlie Hebdo intitulée Je Suis Charlie. Les paroles de sa chanson raconte l’histoire de l’attaque à Charlie Hebdo, les idéaux des tueurs, des dessinateurs morts et de la religion. Un bel hommage en chanson sur un air de l’Hexagone de Renaud à la guitare. Le MP3 est disponible gratuitement. Merci à Rezou, Peps65, Nanuk et Jesuischarlie pour leur e-mail
Coucou Charlie Hebdo
MÉDIAS - Salut Charlie Hebdo. Je te respecte énormément, tu sais. Je fais partie de ceux qui te lisaient déjà avant que toute la France devienne "Charlie". Je rigole à tes mauvaises blagues depuis pas mal de temps. Tu sais quoi, même, j'ai vécu, par écran de télé interposé parce que j'étais alors enceinte de huit mois, la tuerie dans tes locaux, et la manif monstre qui a suivi. Et puis elle est venue au monde. Depuis je me bats, et je me battrai toujours pour que sa condition cesse d'être une insulte de cour d'école. Et aujourd'hui, Charlie, tu crois faire du mal à Nadine Morano, en la qualifiant de fille trisomique de De Gaulle. Laisse-moi te dire quelquechose: l'intelligence, c'est l'ouverture d'esprit, l'acceptation de l'autre. Trisomique, ma fille ne dira pour autant jamais la moitié des conneries que peut sortir Morano pour racler les fonds de tiroir électoraux. Alors voilà Charlie, aujourd'hui je te soutiens toujours, tu as le droit de faire de l'humour comme tu l'entends.
Causette - Voici la liste des lieux et horaires des...
Boualem Sansal: "A ce point, la passivité des musulmans est mortelle"
Boualem Sansal est un écrivain algérien. Infatigable adversaire des islamistes et du régime algérien, il a reçu, entre autres, le prix Tropiques en 1999 pour Le Serment des barbares, le grand prix RTL-Lire pour Le Village de l'Allemand en 2008, le prix du Roman arabe en 2012 pour Rue Darwinou encore le grand prix de la Francophonie en 2013. Il vit en Algérie. Quel a été votre sentiment quand vous avez appris l'attaque contre les dessinateurs de Charlie Hebdo et celle de l'épicerie casher de la porte de Vincennes? L'incompréhension d'abord, puis l'effroi, la peine, le dégoût, la colère, la rage, l'envie folle de faire quelque chose. Les islamistes nous ont infligé tant de mal et nous, nous en sommes là, au même point, on pleure les morts, on attend le prochain drame, on tremble de peur et on se surveille pour ne pas offenser les islamistes. Diriez-vous, comme le scandent les manifestants français, "je suis Charlie"? L'Algérie a connu des années terribles de guerre civile.
John Oliver: «Si vous faites une guerre à la culture et l’art de vivre français, bah bonne...
Lors de son show télé de ce dimanche 15 novembre, le présentateur de l'excellente et très populaire émission «Last Week Tonight», de John Oliver a évoqué de manière originale les attaques terroristes de Paris. «Cela ne fait que 48 heures, et beaucoup de choses restent encore inconnues, mais il y a certaines choses que l’on peut dire avec certitude, commencent-il par dire. Et c’est là que le fait d’être sur HBO aide, c'est une chaîne où ces choses peuvent être dites sans restriction, parce qu’après les moments de silence nécessaires et appropriés, j’aimerais vous offrir un moment de jurons sur le câble.» Et là, il s’est complètement lâché, prononçant le moment «fuck» à sept reprises. «Donc voilà ce que nous savons: tout d’abord, nous savons que cette attaque a été perpétrée par des putains d’énormes enfoirés, des enfoirés de tarés; qui travaillaient peut-être avec d’autres enfoirés de merde; au nom d’une idéologie à la con.
Antigone XXI - A ceux qui déclarent que le silence des...
« Monsieur le Président, vous êtes tombé dans le piège ! »
David Van Reybrouck, d’expression néerlandaise, est l’auteur de nombreux ouvrages dont Congo, une histoire (Ed. Actes sud), pour lequel il a notamment reçu en 2012 le prix Médicis dans la catégorie « essai ». L’écrivain et historien interpelle le président français sur le champ lexical guerrier de son discours, samedi 14 novembre, lendemain des attentats qui ont endeuillé Paris. Et sur la surenchère que cela pourrait entraîner. Monsieur le Président, Le choix extraordinairement irréfléchi de la terminologie que vous avez utilisée dans votre discours de samedi après-midi [14 novembre 2015], où vous répétiez qu’il s’agissait d’un « crime de guerre » perpétré par « une armée terroriste » m’a interpellé. « Ce qui s’est produit hier à Paris et à Saint-Denis, près du Stade de France, est un acte de guerre et, face à la guerre, le pays doit prendre les décisions appropriées. Destabilisation de la région Les conséquences de ces paroles historiques sont connues. Et pourtant, que faites-vous ?