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Minimum Viable Product

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Dans le cadre d’un cours que j’anime à HEC sur – évidemment – la création d’entreprise (avec Clément), j’ai eu envie de prouver qu’en quelques heures, il était possible, sans frais, de créer une première version (ou version zéro) d’un service web. La solution : le faire en direct, devant les étudiants… et sans préparation sur le sujet même du service. Image sous licence Creative Commons par Earls37a Nous avons donc, à 8h30 du matin, sollicité notre cinquantaine d’étudiant(e)s pour nous donner des mots-clés qui pourraient déclencher notre réflexion. Une fois notre « nuage de tags » réalisé, nous avons brainstormé un moment, puis avons associé les mots-clés « Expats + idées cadeaux + e-commerce » pour inventer www.travel-basket.com, le premier site qui vous permet de voyager depuis votre salon, avec un panier cadeau provenant d’un pays. Vous rajouteriez une étape ??? En cadeau, les slides de notre présentation, qui est plus un pense-bête qu’une liste parfaite et exhaustive

Realtime marketing The data revolution has turned customers into unwitting business consultants, as our purchases and searches are tracked to improve everything from websites to delivery routes Dralo/Shutterstock In the 1670s, in Delft, Netherlands, a scientist named Anton van Leeuwenhoek did something many scientists had done for 100 years before him. He built a microscope. This microscope was different, but it was not extraordinary. Like so many inventions, he borrowed and tweaked his predecessors' ingenuity. The Leeuwenhoek discovery is crucial to our understanding of innovation, not only because it changed the face of biochemistry, but also because it represents a fundamental theme of discovery. Breakthroughs in innovation often rely on breakthroughs in measurement. Today businesses can measure their activities and customer relationships with unprecedented precision. In turn, customers are acting as unwitting business consultants for these companies. That tool is called experimentation.

Les incubateurs pour startups… | Creation d'entreprise ! | Guilhem Bertholet Par Guilhem Bertholet De plus en plus de personnes me demandent si j’ai une liste des incubateurs à disposition, ou si je sais où en trouver une. La réponse est malheureusement non, puisque je les connais de tête, mais que je n’ai jamais trop pris la peine de mettre ça par écrit. Voilà donc, en guise de bonne résolution de début d’année, la liste de ceux qui me semblent intéressants en France. Je vous ai rajouté les incubateurs que je benchmark à l’étranger, et notamment beaucoup de « Business accelerators », ces programmes courts (3 à 6 mois), incluant la plupart du temps un tout premier tour de financement de 6000 à 20000€ (ou dollars), et fortement axés sur le mentoring et la sortie d’un premier prototype en mode « quick and dirty ». Après 2010 et l’arrivée des Super-Angels en France, je prédis que ce sera la tendance en 2011 en France. Vous en voyez à rajouter ?

Sur mobile, les sociétés adoptent en priorité le modèle freemium Pour accroître leur notoriété et toucher un plus large public, les entreprises qui développent des applications sur ordiphone privilégient un modèle économique qui combine gratuité et micro transactions. Les entreprises qui sont tentées de se lancer dans le développement d'applications mobiles ont tendance à opter pour un modèle économique gratuit ou hybride, affirme dans une étude Jack Kent, analyste chez ScreenDigest et iSuppli. La prééminence des contenus gratuits sur le marché semble en effet se confirmer : plus de 90 % des applications téléchargées sur les plates-formes d’Apple, de Google et de RIM sont gratuites. Cela représente au total plus de 6.7 milliards de téléchargements. Avec parallèlement une montée en puissance d’un modèle économique hybride, dit "freemium", qui propose un téléchargement gratuit et des contenus payants ensuite. Gagner en visibilité Des biens virtuels payants, dans les applications gratuites

Comment appliquer le lean startup quand on monte sa boîte ? | Entrepreneurs grand angle « Le lean startup, c’est se mettre dans des conditions pour « dérisquer » son modèle économique » Un entrepreneur qui se lance n’a qu’un seul ennemi : le temps ! Heureusement, une méthode permet de l’optimiser, le lean startup. C’est quoi le lean startup ? En somme, « fail faster, succeed sooner » (échouer plus vite, réussir plus tôt) ? L’idée, c’est de se mettre dans des conditions pour « dérisquer » son modèle économique, et, plus tard, son produit, de façon à trouver le bon produit à la typologie de clients auxquels on va s’adresser. Alors, l’idée de base du lean startup, c’est la validation des hypothèses préalables de l’entrepreneur. En effet. « N’attendez pas pour aller parler directement à vos clients » Comment ? En allant parler à des clients ! Concrètement, comment procéder, surtout si on n’a pas de compétence Web ? Prenez l’exemple de l’application Sunrise qui vise à remplacer les agendas. Finies donc les traditionnelles études de marché ? Quelle est la méthode ?

7 étapes pour dominer son écosystème Lorsque l’on crée sa boite, c’est un peu comme lorsqu’on arrive dans un nouveau pays ou une nouvelle ville : il faut nouer de nouvelles relations avec tout un tas de personnes si l’on veut rapidement avoir une vie normale, tant sur le plan professionnel que personnel, et prendre de nouvelles habitudes. Pour une entreprise, cela s’appelle « s’insérer dans son écosystème ». Et l’écosystème d’une start-up, c’est justement toutes les parties prenantes qui se trouvent sur son espace de jeu : clients, décideurs, influenceurs, partenaires, prestataires, fournisseurs, presse, syndicats professionnels, … Dès que l’on crée une entreprise qui est censée grossir, il est primordial d’être bien connecté. Pensez en termes d’écosystème. Et vous, que faites-vous pour connaître et être connu de votre écosystème ?

Bleekin, stratégie et marketing web à Nice et Paris Modèle de croissance des startups : comment monter un business « scalable » ? | Creation d'entreprise ! | Guilhem Bertholet L’une des questions qui revient souvent dans les divers jurys auxquels je participe est celle de la « scalability », comprenez la capacité pour une jeune entreprise de grossir facilement, ou en tout cas avec des coûts maîtrisés, et d’être capable de reproduire son modèle. Certains parleront même d’industrialisation. Question pertinente côté investisseurs, mais aussi pour les entrepreneurs : si tous les créateurs ne se lancent pas pour faire une « grosse » entreprise, la plupart y songent tout de même et pour certains c’est même l’une des seules façons de se faire plaisir à terme. Comment grandir, vite, bien, et de manière rentable ? Mais alors, qu’est-ce que c’est qu’un business « scalable » ? Car finalement, et là est l’enjeu, si on veut pouvoir inscrire un chiffre élevé pour l’année 3 de son compte de résultat prévisionnel (les hypothèses sont conservatrices – haha !) La course à la taille n’est pas si importante que ça, au fond. Et vous, comment vous industrialisez votre modèle ?

Conseils des Stones pour réussir votre startup Je suis actuellement en train de lire « Life« , l’autobiographie de Keith Richards, le guitariste des Stones. Leur vie est passionnante, c’est plutôt bien écrit, souvent drôle, bref c’est un très bon bouquin. Cela permet en plus de faire des rapprochements entre la création d’un groupe de rock et la création d’une entreprise. Des associés Si Keith Richards et Mick jagger se « trouvent » en 1960 à la gare de Dartford c’est parce que Mick Jagger tient sous le bras The best of Muddy Waters et un titre de Chuck Berry, or cette musique n’est pas très populaire à ce moment là dans Londres. Les rencontres suivantes (avec Brian jones ou Ian stewart) seront toute « musicales » avant d’être personnelles. Une Vision La vision du groupe au tout début était la suivante: « faire découvrir et écouter du Rythm&Blues à tout Londres ». Du Travail Une rupture Un Positionnement En 1963, Andrew Loog Oldham devient à 19 ans le premier manager des Stones. Du Fun Bien entendu…

Développer son entreprise L’entrepreneur n’a pas d’idées. Par Guilhem Bertholet Pour beaucoup, entrepreneur rime avec créativité. En tout cas avec génération d’idées. Pour l’avoir dit et pensé bien trop souvent, je suis bien placé pour savoir désormais que c’est une belle bêtise. Le meilleur entrepreneur n’est pas celui qui a le plus d’idées. Le plein d'idées ! privilégie la mise en oeuvre ses idées. A vous d’accélérer le cycle de vie de vos idées.

Marketing inversé Lee Beaumont reçoit 0,80 euro par appel. - Images_of_Money/CC-BY-SA 2.0 Marre des coups de téléphone promotionnels ? L'idée de ce Britannique pourrait vous intéresser. En 2011, Lee Beaumont, excédé d'être la cible téléphonique et marketing des assurances, a décidé de littéralement faire payer le télémarketing. Moyennant 10 livres, Lee Beaumont a ouvert sa propre ligne téléphonique, payante et surtaxée. @PMC_WindowClean Sure, my home number is 0871 288 5045 (Calls to my number are 10p per min from BT Landlines)— Newt / Lee Beaumont (@NewtBeaumont) August 28, 2013 Afin d'augmenter son revenu d'appoint, il fait en sorte d'être le plus souvent possible contacté par les entreprises. Lee Beaumont ne pousse toutefois pas le procédé jusqu'à faire payer son entourage. Intriguées, les entreprises lui demandent souvent pourquoi il a un tel numéro. Son idée pourrait inspirer d'autres Britanniques. Signaler ce contenu comme inapproprié Cette entrée a été publiée dans Actualité.

Création d'entreprise, ou comment j'ai monté mon e-commerce... Par Mathilde Le Rouzic (contributeur) - Entrepreneuse Suite à la Petite histoire de Bagatelles en 4 volets, j'ai reçu des mails de certains d'entre vous qui me posaient des questions concrètes et regrettaient de ne pas avoir une version synthétique de mon parcours de créatrice d'entreprise. Voici un petit récapitulatif des différentes choses que je conseillerais de faire ou de ne pas faire, en espérant que cela puisse guider ceux qui souhaiteraient se lancer dans l'aventure... L'idée Concernant le fait d'avoir une idée, rien ne sert d'attendre l'idée de votre vie. La phase préparatoire Ce n'est pas parce que je viens de dire de ne pas se triturer les méninges à propos de l'idée qu'il ne faut pas penser mûrement son projet. Le business plan de Bagatelles a porté sur : Une analyse du marché (concurrents directs, indirects : CA, panier moyen, points forts et points faibles, actions commerciales...). Les aides financières Argent et prise de risque Ben oui, j'en ai fait des erreurs au début.

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