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Inside a Google data center

Inside a Google data center
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Un data center chauffe l'eau d'une piscine de Paris à 27°C Les deux bassins, intérieur et extérieur, de la piscine de la Butte-aux-Cailles sont chauffés par des serveurs informatiques Les six chaudières installées permettent de réaliser une économie de 45 tonnes de CO2 par an Après les pompes à chaleur et le chauffage urbain, voici le chauffage numérique. La piscine de la Butte-aux-Cailles accueille dans le sous-sol des serveurs qui transfèrent de la chaleur dans les bassins intérieur et extérieur. Un système qui fonctionne 24 heures/24 pour les deux piscines ouvertes toute l’année. >> A lire aussi: A la piscine Aspirant-Dunand, les égouts chauffent le bassin (et les douches) Pour garder l’eau du bassin extérieur de 25 mètres de long à une température de 27 °C, même en hiver, l’utilisation de la chaleur produite par les serveurs informatiques est judicieuse. Stimergy revend la chaleur 15 à 20 % moins cher que la Compagnie parisienne de chauffage urbain (CPCU), fournisseur d’énergie de l’établissement.

Disney et Coca Cola choisissent Google Cloud Platform - ZDNet A l’occasion de sa Google Cloud Platform Next 2016, le géant californien a officialisé l’arrivée de Disney Consumer Products Interactive Media et Coca Cola en tant que nouveaux clients de sa plateforme cloud. Il y a quelques jours, on apprenait qu’Apple avait migré une partie de son infrastructure cloud chez Google tandis que Spotify avait fait une annonce similaire le mois dernier. Dans cette bataille du nuage, Google Cloud Platform se situe en troisième position derrière Microsoft Azure et Amazon Web Services (AWS).

Google Partnering With Foxconn to Test Industrial Robots Perhaps in hindsight we all should have seen Google’s turn to robotics coming when, under Andy Rubin, the company dubbed its mobile operating system Android. With Rubin now in charge of Google’s still mostly secret robotics division, the software engineer's trajectory seems to be the key to what the company is up to in robotics. While details are still scant and Google declined to comment for this article, an executive from the Chinese electronics manufacturer Foxconn spoke out of turn recently to the Wall Street Journal, telling the paper that Foxconn will partner with Google to try out some industrial robots made by the tech giant. After acquiring seven robotics companies, several of which focus on industrial machines, it’s no surprise that Google is preparing to try out a few new toys. And it makes sense that it would seek to do so away from prying eyes in Silicon Valley. An existing Foxconn robot “Robots, like smartphones, are platforms for products and services. Andy Rubin

Microsoft immerge un data center dans le nord de l'Écosse pour refroidir les serveurs Les data centers demandent souvent un grand espace de vu leur taille. Ces lieux regroupent de nombreux serveurs pour stocker des données et les faire transiter vers les utilisateurs. Microsoft en a plusieurs dans le monde et en a proposé un nouveau près de l’archipel des Orcades dans le nord de l’Écosse. Sa particularité : être sous l’eau. Ce data center consiste en un cylindre blanc de 12,2 mètres de long qui contient 864 serveurs et qui peut rester sous l’eau jusqu’à cinq ans. Il a été construit en France par le groupe de construction navale Naval, puis conduit aux Orcades, un archipel d’environ 70 îles. Mais au fait, pourquoi un data center sous l’eau ? Ici, la mer se charge de refroidir rapidement et facilement les serveurs, ce qui permet de réaliser d’importantes économies. Signaler une erreur dans le texte Merci de nous avoir signalé l'erreur, nous allons corriger cela rapidement. Intéressant ? Restez connectés avec nous :-)

Venafi intègre Trust Protection Platform avec Amazon Web Services Venafi annonce prendre en charge les services cloud Amazon Web Services (AWS). Ainsi les clients de la société disposent d’une solution de classe entreprise leur allouant une clé cryptographique et un certificat numérique pour la protection de leurs services cloud. Déployée via une plate-forme de sécurité automatisée, l’intégration de Venafi avec AWS Certificate Manager, AWS Elastic Load Balancing (ELB) et AWS CloudFront est la première et unique solution brevetée sur le marché à procurer une visibilité, une maîtrise et une automatisation très complètes tant sur les certificats Amazon que sur ceux émis par des tiers. À l’heure actuelle, les entreprises qui déploient des services cloud AWS et des certificats Amazon ne disposent pas de référentiel centralisé unique dédié au stockage et à la protection de leur stock de clés et de certificats. La prise en charge par Venafi des services cloud AWS est à présent disponible avec Venafi Trust Protection Platform 16.1.

HTC News France 24 Friday, July 04, 2014 12:47 PM GMT Il fallait bien un mastodonte du calibre de Goldman Sachs pour réussir ça. La banque d'affaires américaine a assuré, mercredi 2 juillet, avoir obtenu que Google bloque l'accès à un courriel qu'un de ses collaborateurs avait envoyé par erreur à une adresse Gmail. C'est la première fois que le géant de l'Internet empêche, sur demande d'une société privée, un internaute de lire un message qu'il a reçu, même par erreur. La banque d'affaires a souligné à quel point cette erreur d'aiguillage d'un de ses collaborateurs externes était importante à ses yeux. La bourde initiale aurait, pourtant, de quoi faire sourire. En l'occurrence, il ne s'agissait pas d'un courriel anodin, et c'est bien ça qui chiffonne le géant de la finance. "Dangereux précédent" Les responsables de Goldman Sachs ont dû être gagnés par quelques montées de sueurs froides à l'idée qu'un tel trésor se retrouve entre de mauvaises mains.

650 térawatt-heures : c'est la consommation prévue des data centers du monde entier en 2020 Sécurité : 91 % des services Cloud présentent un risque Plus de 9 services Cloud sur 10 utilisés par les entreprises en Europe font peser des risques de sécurité moyens à élevés sur ces organisations. Une étude choc qui tombe à pic pour Thierry Breton (Atos) et Octave Klaba (OVH). Co-pilotes du Cloud à la française, ces derniers préconisent dans leur rapport la création d’un label européen « Secure Cloud ». À l’heure où les chefs de projet du plan Cloud français préconisent la création d’un label européen « Secure Cloud », une nouvelle étude de Skyhigh Networks, spécialiste américain de la sécurité des services hébergés, témoigne de la porosité des services Cloud utilisés par les entreprises en Europe. Pour cette étude, les usages de plus de 40 organisations (1 million d’utilisateurs), du secteur financier à l’industrie, ont été analysés. Des services à hauts risques Malgré les révélations sur l’étendue de la surveillance pratiquée par la NSA américaine, les données sont stockées aux États-Unis dans 72% des cas, d’après Skyhigh. Lire aussi T.

Le cœur du business de Google enfreint un vieux brevet de Lycos, selon le juge WEB Google pourrait être contraint de payer des centaines de millions de dollars à un troll qui a racheté le portefeuille de l'ancien moteur français... Publié le Mis à jour le Blast from the past, comme disent les Anglo-Saxons. Roi des années 90, le moteur de recherche Lycos vient hanter Google indirectement, par l'intermédiaire de Vringo, une obscure entreprise qui a racheté certains de ses brevets. Google a d'ores et déjà fait appel. Selon le procès verbal rédigé par le juge Raymond Jackson, que le site Ars Technica publie, Google doit verser à Vringo 1,36% des revenus générés par sa régie publicitaire Adwords entre 2012 et 2016 aux Etats-Unis. «Troll» des brevets Vringo est ce que les Américains appellent un «troll» des brevets. Les brevets portent sur le système d'enchères d'Adwords, qui permet à un annonceur de choisir quelle somme il veut dépenser sur un mot-clé pour que son site apparaisse dans la section sponsorisée de Google. Mots-clés : Aucun mot-clé

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