Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce. Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Et 77% des Français affirment ne pas pouvoir se passer de l'achat traditionnel en magasin, d'après un sondage Ifop. Voici des conseils à suivre pour attirer les clients. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group. Théâtraliser le magasin Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Favoriser la relation humaine Les tendances du retail en 2014
Le terminal mobile, l'allié du commercial en rayon Mallette de travail ouverte sur le sol, PC portable posé sur une palette, catalogue papier coincé sous le bras... Pas facile pour un commercial de travailler dans ces conditions! C'est pourtant souvent le cas, car le chef de rayon a de moins en moins de temps pour le recevoir dans ses bureaux. Du coup, le chef de secteur doit se contenter d'un quart d'heure d'entretien, dans le rayon, en se débrouillant comme il peut pour sa présentation. Pour pallier ce désagrément, les industriels de la grande conso ont alors décidé, lors du renouvellement de leur parc informatique, d'équiper leur force de vente d'outils nomades: smartphone, tablette, PC hybride. "Toutes les grandes marques sont désormais dotées de ces nouveaux équipements", confirme Tina Miranda, responsable itinérante chez Carrefour City, lors de sa tournée au magasin parisien du Faubourg Saint-Antoine. Mallette de travail ouverte sur le sol, PC portable posé sur une palette, catalogue papier coincé sous le bras...
DOCUMENT 1 :L'enseigne Boulanger en 2019 Publié le 05/01/2019 14:21:00 Avec quelque 150 magasins développés en succursale dans toute la France, l'enseigne Boulanger, filiale du Groupe Mulliez quadrille le territoire et poursuit sa conquête de nouveaux clients via de nouvelles ouvertures. L'histoire de l'enseigne Boulanger débute en 1954 à Lille. A cette époque, les frères Bernard et Gustave Boulanger, fabriquent, réparent et vendent des postes de radio « faits maison » aux Lillois. Une filiale du Groupe Mulliez À la fin des années 70, l’entreprise est prospère. Entre 2002 et 2005, Boulanger essaime. En 2006, Boulanger ouvre le plus grand magasin de distribution d’équipement électroménager et multimédia de France à Avignon sur 4.000m², puis procède dans la foulée aux lancements de ses filiales B’dom et Sourcing & Création. En 2009, Boulanger lance Lokéo (location d’électroménager et multimédia longue durée) et en 2010 Boulanger Business Services. En 2016, Boulanger lance la livraison express. En 2017 Boulanger.pro est créé.
Guerre des supérettes en centre-ville Alors que les ventes des hypermarchés de périphérie stagnent, les distributeurs alimentaires s'affrontent au coeur des zones urbaines. La bataille y est plus féroce et plus complexe. Débarqués en mars dans le XVe arrondissement de Paris, les Mousquetaires veulent devenir la référence du quartier Balard. Un foyer typique de l'intensification de la guérilla que se livrent la quasi-totalité des distributeurs en centre-ville. 200 Intermarché Express d'ici à 2018 «Compte tenu des évolutions démographiques (vieillissement de la population, manque de temps, fragmentation des courses, baisse de la taille des ménages), ce format retrouve l'intérêt des grands distributeurs, analyse Jacques Dupré à l'IRI. Les grands de l'alimentaire accélèrent pour profiter du potentiel de ce circuit, dont le poids équivaut au hard-discount ou aux petits hypers (de 4000 à 6000 m2). Marks & Spencer Food à l'offensive à Paris
Les Français sont connectés, qu'attendent les magasins ? Toujours plus. Les Français ne sont pas tendres avec les magasins. C'est un comportement certes historique, mais il devient de plus en plus structurel. Ils en attendent donc davantage, quitte à payer un peu plus cher : 1 Français sur 2 fréquente moins les magasins qu'il y a 5 ans, 59% d'entre eux veulent aller à l'essentiel et 65% regrettent de ne pas avoir un conseil plus personnalisé par exemple. C'est ce que révèle une étude consacrée aux relations des Français avec les magasins signée miliboo.com et réalisée avec OpinionWay *. Principaux enseignements (extraits de l'étude) 47% des Français déclarent se rendre moins souvent en magasin qu'il y a 5 ans pour faire leurs achats. Manque de reconnaissance dans la vraie vie - 13% des sondés ont le sentiment que les magasins se souviennent des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs derniers achats - 22% pensent que les magasins se souviennent de la dernière fois qu'ils sont venus, Les vendeurs boucs émissaires Toujours plus vite
Ruée sur les appareils à raclette (en attendant les crêpes) Dopées par le confinement et le couvre-feu, les ventes d'appareils à raclette s'envolent depuis le début de l'hiver. La raclette, valeur refuge face à la crise. Plus forte que la fondue, le mont-d'or et l'aligot, la raclette reste la star de l'hiver, dopée par le confinement et le couvre-feu: depuis la fin des beaux jours, les Français se ruent sur les appareils à raclette. Des hausses des ventes de 100 à 300% L'appétit tricolore pour le fromage suisse n'est pas nouveau – pas moins de 65.000 tonnes de fromage s'écoulent chaque année dans l'Hexagone – mais la saison est particulièrement exceptionnelle. Dans les magasins Fnac-Darty, les ventes d'appareils ont grimpé de plus de 300% en novembre, et de 100 à 200% au même moment du côté de Boulanger. Du côté du spécialiste tricolore Tefal, l'engouement au printemps pour ses barbecues a donné le ton: la tendance est aux produits conviviaux et familiaux. Pour répondre à la demande, le site savoyard a accéléré ses cadences. En attendant les crêpes
Miliboo: Visite du premier showroom déco 100% connecté HIGH-TECH Le site de vente de produits de décoration miliboo.com ouvre à Paris son premier showroom où smartphones, tablettes et écrans tactiles guident le visiteur dans chaque rayon… Christophe Séfrin Créé le Mis à jour le Mots-clés Aucun mot-clé Transposer dans un magasin physique les techniques de vente du web et, pourquoi pas, réconcilier les deux univers, c’est le défi que lance miliboo.com. Le site de vente de mobilier en ligne vient d’ouvrir à Paris, au 100 de la rue Réaumur, son premier showroom 100% connecté. «Le meuble reste un produit que les gens ont besoin de tester», constate Guillaume Lachenal, Président de miliboo.com. Des promotions par smartphone interposé Dans cette «boutique en version bêta» (une galerie de 600 mètres carrés qui pourrait ressembler à de nombreuses autres dédiées à la décoration), l’approche est résolument neuve et… branchée. 3000 références accessibles sur tablette Quel que soit le produit en magasin, celui-ci est équipé d’une étiquette NFC.
Digital : la moitié des distributeurs français ne sont pas prêts La grande distribution française serait-elle à la traine en matière de stratégie digitale ? Il semblerait. Une étude menée par le cabinet Oliver Wyman pour le compte de nos confrères de chez LSA montre en effet que parmi l'ensemble des acteurs de la grande distribution (alimentaire et non-alimentaire) interrogés - points de vente, sièges de sociétés de distribution, centrales d'achat, et e-commerçants - près de la moitié (46%) affirment que leur société n'est pas adaptée aux transformations digitales actuelles. Cependant, il est intéressant de noter que les points de vue diffèrent selon la catégorie de sondés. Source : La Mutation digitale de la distribution, Oliver Wyman/LSA, novembre 2014 De même, 47% des sièges de la grande distribution estiment que leur stratégie multi-canal est avancée, mais seules 33% des personnes travaillant en points de vente ou sur un site e-commerce partagent cet avis (cf graphique ci-dessous).
Boulanger inaugure son 3e Comptoir à Amiens Nos et nous-mêmes stockons et/ou accédons à des informations stockées sur un terminal, telles que les cookies, et traitons les données personnelles, telles que les identifiants uniques et les informations standards envoyées par chaque terminal pour diffuser des publicités et du contenu personnalisés, mesurer les performances des publicités et du contenu, obtenir des données d'audience, et développer et améliorer les produits. Avec votre permission, nos partenaires et nous-mêmes pouvons utiliser des données de géolocalisation précises et d’identification par analyse du terminal. En cliquant, vous pouvez consentir aux traitements décrits précédemment. Vous pouvez également accéder à des informations plus détaillées et modifier vos préférences avant de consentir ou pour refuser de donner votre consentement.
Internet, grandes surfaces, hard discount… Comment les Français font-ils leurs courses Les Français achètent-ils plutôt en ligne ou dans les grandes surfaces ? Ou préfèrent-ils les commerces de proximité ? Pour répondre à ces questions, l’Insee a dévoilé vendredi une étude sur les habitudes d’achats sur la décennie 2001-2011. L’institut national de la statistique précise ainsi que depuis 2001, les lieux d’achats privilégiés par les Français ont assez peu varié. "Il dépend des produits achetés mais également des caractéristiques des ménages, notamment de leur lieu de résidence et de leur niveau de vie", analyse l’Insee. Parmi les résultats à retenir : la nette augmentation en cinq ans des achats sur Internet pour les biens durables et culturels. 72% des dépenses alimentaires dans les grandes surfaces Les dépenses alimentaires restent quant à elles effectuées à 72% dans les grandes surfaces. Pour ce qui est de l’habillement, les Français se tournent encore massivement vers les magasins de vêtements. En vidéo sur le même thème - Achats sur Internet : quels sont les risques ?
Le « Big » Data Marketing : quels bénéfices pour les annonceurs et pour le consommateur final ? Le Big Data ne doit pas devenir un grand Big BlaBla : les annonceurs doivent être capables d'en tirer un bénéfice business tangible tout en étant utile pour le consommateur final. Le Big Data ne doit pas devenir un grand Big BlaBla : les annonceurs doivent être capables d'en tirer un bénéfice business tangible tout en étant utile pour le consommateur final.Les technologies hyper puissantes du Big Data sont aujourd’hui disponibles et les données à agréger, structurer, segmenter et exploiter ne manquent pas ! Elles foisonnent au travers des différentes sources internes ou externes de l’entreprise (Données clients, Open Data, Données Tierces…).Cependant à quels objectifs opérationnels cette masse de données crunchée répond-elle ? Quelles finalités concrètes pour les annonceurs et les consommateurs ? Du Big Data au Small et Smart Data : pour être utile au consommateur, osons le marketing de l’anticipation Du marketing de masse au marketing one-to-one
Amazon-engrangerait-6-6-milliards-d-euros-en-france-selon-kantar,1083572 Publié le today 8 avr. 2019 Amazon aurait contribué l’an passé à 25 % de la croissance du e-commerce tricolore (estimé à 38 milliards d'euros, + 11 % en 2018), les Français ayant dépensé sur le portail du géant américain 6,6 milliards d’euros, selon le cabinet d'études de marché Kantar Worldpanel. Et cela malgré un panier moyen plus réduit que sur la plupart des sites, relève l’étude basée sur un échantillon de 12 000 Français de 18 ans et plus et dévoilée le 26 mars dernier lors de la journée de conférences "Disrupting the Future" à Paris. En termes de montant moyen par commande, Amazon arrive ainsi en bas de classement avec environ 35 euros moyenne, derrière Darty (223 euros), la Redoute (76 euros), Zalando (66 euros), Vente-Privée (54 euros), Showroomprivé (47 euros), Rakuten (43 euros) et Groupon (37 euros). Néanmoins, l’entreprise américaine, qui réalise 11 % de son chiffre d’affaires international en France, compense largement ce résultat par le nombre d’achats effectués.