Réactions. TPE. Général. Aspartame sans danger. La somme écrasante de preuves scientifiques démontre clairement que l’aspartame, même en quantités plusieurs fois supérieures à celles que les personnes consomment généralement, est sans danger et n’est pas associé à des effets indésirables sur la santé.
Cependant, au fil des années, des consommateurs ont signalé des symptômes qu’ils pensaient être associés à l’aspartame. La FDA a mené l’enquête sur ses allégations et a conclu qu’il n’y avait pas de « preuve raisonnable de possibles effets nuisibles pour la santé publique » et « aucun schéma cohérent ou unique de symptômes signalés en rapport à l’aspartame pouvant avoir un lien de causalité avec son utilisation ». En conséquence, de nombreuses études scientifiques « ciblées » sur ces allégations ont été menées par des chercheurs experts dans des institutions académiques majeures.
Maux de tête Appétit et gain de poids Variations de l’humeur, à travers un processus ou le comportement Comportement chez les enfants. SOCl2. Triéthylamine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Comme les autres amines tertiaires, Et3N catalyse la formation des mousses polyuréthanes et des résines époxy. Elle est aussi très utile dans les réactions de ß-élimination. Elle est également utilisée dans les oxydations de Swern : La triéthylamine s'alkyle facilement pour donner l'ammonium quaternaire correspondant : Alkylation de la triéthylamine. Séchage de la triéthylamine[modifier | modifier le code] Pour obtenir de la triéthylamine anhydre, celle-ci est distillée à pression atmosphérique sur de l'hydroxyde de potassium (KOH) puis stockée sur du tamis moléculaire à 3 ou 4Å.
Références[modifier | modifier le code] ↑ a, b, c, d, e, f, g, h et i TRIETHYLAMINE [archive], fiche de sécurité du Programme International sur la Sécurité des Substances Chimiques [archive], consultée le 9 mai 2009↑ (en) David R. Portail de la chimie. L'aspartam - Edulco, le site d'information sur les édulcorants. Télécharger la fiche complète sur l'aspartam : Même si de sérieux concurrents ont vus le jour ces derniers temps (comme la stévia), l'aspartam reste la star des édulcorants intenses !
Décrié constamment, accusé de tous les maux, on le retrouve dans la plupart des produits allégés. Pour une étude approfondie, edulco.com a même consacré un dossier complet, le plus impartial possible sur ce produit star... Autres noms utilisés : canderel, sucrettes, faux-sucre... Composition chimique. Trois composés de l'aspartam semble poser un réel problème : - la phénylalanine (50 % de l'aspartam) : ce composé est allergène pour, estime-t-on, 1 personne sur 16 000.
Ces individus souffre de "phénylcétonurie" : la substance n'est pas éliminée et s'accumule dans le cerveau et cause à terme des dommages considérables comme des troubles mentaux (surtout chez l'enfant). Laspartame. L’aspartame fut découvert en 1965 par un chimiste d’une société s’appelant Searle.
Une première Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) fut accordée en 1974 aux Etats-Unis. Aspartame. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'aspartame est un édulcorant artificiel découvert en 1965. C'est un dipeptide composé de deux acides aminés naturels, l'acide L-aspartique et la L-phénylalanine, le dernier sous forme d'ester méthylique. L'aspartame a un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du saccharose et est utilisé pour édulcorer les boissons et aliments à faible apport calorique ainsi que les médicaments. Cet additif alimentaire est utilisé dans un grand nombre de produits et autorisé dans de nombreux pays, il est référencé dans l'Union européenne par le code E951. Depuis sa première autorisation de mise sur le marché aux États-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA) en 1974, l'aspartame a fait l'objet de polémiques sur ses possibles effets nocifs sur la santé. Histoire[modifier | modifier le code] La première apparition de l'aspartame date de la publication de sa synthèse en 1966[9].
Synthèse' Synthèse. Aspartame. Il s’agit d’un dipeptide, combinant l’acide L-aspartique et l’ester méthylique de la L-phénylalanine, un des 8 acides aminés essentiels.
Contrairement au sucre, il ne peut contribuer ni à la formation de graisses dans les tissus adipeux, ni remplacer le rôle métabolique fondamental du glucose. Sa métabolisation ne produit aucun composé toxique. En Europe, l’aspartame (codé en tant qu’additif alimentaire E 951) est autorisé (directive 94/35/CE et 95/31/CE pour les critères de pureté ; directive 2003/115/CE pour un dérivé intense le sel d’aspartame-acésulfame) dans les boissons non alcoolisées (0,6g/l), les bières (0,6g/l), les desserts (0,6 à 1g/kg), les confiseries (0,5 à 1g/kg), et dans de nombreux aliments et compléments alimentaires (près de 5 000, sans compter les utilisations comme adjuvants ou enrobages en pharmacie).
Sa consommation chez l’homme est actuellement autorisée dans plus de 90 pays. Du nouveau ?