Guillaume étiévà. Les retraites dorées des seigneurs du capitalisme - Privilèges. Pas question d’augmenter les cotisations patronales pour financer le régime des retraites.
Cela handicaperait la compétitivité des entreprises, dixit la patronne du Medef, Laurence Parisot. Les grandes entreprises cotées en bourse ne se privent pourtant pas de provisionner des dizaines de millions d’euros pour financer de faramineuses retraites complémentaires à leurs dirigeants, ces « retraites chapeaux » qui défraient régulièrement la chronique.
Comme si malgré leurs salaires souvent excessifs, leurs stock-options, et leurs parachutes dorés, les PDG à la retraite risquaient de galérer, tel un smicard qui voit sa pension baisser irrémédiablement. 30. Retraites : le but principal des réformes est de pousser les gens vers les « produits » d’épargne retraite. Deux mois après l’annonce par le gouvernement du passage progressif à 43 annuités pour une retraite à taux plein, le message a été reçu 5 sur 5 par la jeunesse.
Un sondage de septembre 2013 montre que "57% des Français ne font plus confiance au régime de retraite par répartition" et qu’une majorité des jeunes de 18 à 34 ans "préfèrent la capitalisation à la répartition". Certes, comme souvent dans les sondages, les questions étaient formulées de façon biaisée afin d’orienter les résultats du sondage dans le sens souhaité par l’institut de sondage (très libéral) et ses commanditaires. 43 ans de cotisations : Le cheval de troie de la capitalisation retraite ! Même si Laurence Parisot vit ses dernières semaines de présidente du Medef, c'est elle qui représente l'organisation patronale reçue par Jean-Marc Ayrault, dans le cadre de la préparation de la conférence sociale des 20 et 21 juin.
Pousser les gens vers les « produits » d’épargne retraite ? Reforme_2013_des_retraites_10_diapos_pour_comprendre_essentiel__version_19_juin. L'exemple de la refonte du régime de base en Suède - Retraites : quelles réformes ? Le passage éventuel à un régime en points ou en comptes notionnels, qui constitue une caractéristique du modèle suédois 1, est-il une réponse satisfaisante aux problèmes actuels, et surtout futurs, du système de retraite français ?
Ce sera à nos responsables d'en décider, mais il est intéressant dans ce contexte de se pencher sur l'historique et la méthode de la réforme suédoise, à l'origine d'un surprenant quasi-consensus entre droite, gauche et partenaires sociaux. L'inquiétude générale au début des années 1990 au sujet du défi démographique auquel est confrontée la Suède, comme la France, à l'horizon 2015, a été à l'origine de la réforme. De même, la possibilité d'accroître le recours à l'immigration a fait l'objet de réflexions approfondies, d'autant que la population suédoise (9,25 millions de personnes en 2008) évolue principalement grâce aux flux migratoires.
Un long processus Deux régimes obligatoires Capitalisation : le cotisant choisit ses placements Un taux plein à 63 ans.
Parlementaires : un régime de retraite décidément très spécial - retraite des élus - Sauvegarde Retraites. Le régime des parlementaires paraît assurément le plus spécial de tous les régimes spéciaux.
Sa spécificité ? Un rendement sans équivalent qui va de un à 6, alors qu’il se situe entre 1 et 1,5 dans le régime général. En clair, par rapport au montant des cotisations qu’il aura versées pendant toute son activité, le parlementaire, à la retraite, touchera six fois sa mise. Pas étonnant, avec un tel rendement, que les députés s’astreignent à cotiser double, au taux de 16.6%, (1 153 euros par mois) pendant les trois premiers mandats, puis une fois et demie pendant les 5 années suivantes. Parlementaires : un régime de retraite décidément très spécial - retraite des élus - Sauvegarde Retraites. Systèmes de retraite en Europe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les systèmes de retraite en Europe sont tous confrontés à la réduction du nombre de naissances et à l'allongement de l'espérance de vie, qui se traduisent par moins de cotisants pour plus de pensionnés, dans un contexte de chômage élevé pour la plupart d'entre eux. L'inquiétude est particulièrement forte en Italie et en Allemagne : dans les années 2000 l'arrivée à la retraite de la génération baby-boom de l'après 1945 y avait jusqu'ici moins pesé qu'en France ou en Espagne, selon une étude de la Fondation Robert Schuman en 2003[1], mais ce facteur ne joue plus car ces deux pays ont en plus un déficit de jeunes cotisants, pour avoir expérimenté une natalité[2] plus faible qu'ailleurs depuis une trentaine d'années[3].
Cadre bismarckien ou beveridgien[modifier | modifier le code] Le premier modèle, dit bismarckien, organise une solidarité horizontale entre les travailleurs, financée sur les salaires et par une participation des employeurs. Salaire retraite conf gesticulée le pavé. Retraites : déplacer le débat, par Bernard Friot. Retraites : déplacer le débat Bernard Friot L’affaire semble entendue et ne pas souffrir de débat : il y a un problème des retraites.
Dans l’introduction de son indispensable livre, L’enjeu des retraites, Bernard Friot revient sur la construction même de ce « problème », et met en évidence la manière très particulière dont il a été posé par le gouvernement pour imposer sa « réforme ». Retraites chomage Enjeux & Débats.