3D-printed surfaces influence taste intensity, study finds. Partnership aims to boost 3-D food printing use in professional kitchens. Igus met au point son premier matériau pour l'impression 3D dédié au secteur de l'alimentaire. Homologué pour le secteur alimentaire en vertu du règlement européen CE 10/2011, le matériau iglidur l150 mis au point par le spécialiste des plastiques en mouvement igus, constitue à lui seul une petite ...
Homologué pour le secteur alimentaire en vertu du règlement européen CE 10/2011, le matériau iglidur l150 mis au point par le spécialiste des plastiques en mouvement igus, constitue à lui seul une petite révolution. La bio-impression 3D : une réalité dans le domaine alimentaire (deuxième partie) La bio-impression 3D : une réalité dans le domaine alimentaire (première partie) 3-D printed food set to enter its next dimension. Dive Brief: The market for 3-D printed food is expected to reach $425 million by 2025, growing at a compound annual growth rate of about 55% from 2018, according to a new report from MarketsandMarkets.Customized chocolate and cakes are currently the largest segments of the printed food market, and the report suggests these foods are likely to see the most significant growth.North America is expected to hold the largest share of the market in 2018, but the Asia-Pacific market for 3-D printed food is expected to grow at the fastest rate from 2018-2025.
Scientists Are Developing A 3D Food Printer For The Home. 3D printers poised to have major implications for food manufacturing. Baromètre de l'impression 3D. La société Sculpteo a publié son premier Baromètre de l'impression 3D, qui dresse un état des lieux (en anglais) de cette technologie, en s'appuyant sur les résultats d'une enquête menée auprès de 1 118 professionnels utilisateurs, issus de différents secteurs d'activité en Europe et aux Etats-Unis.68 % des répondants prévoient d'augmenter leurs investissements dans l'impression 3D en 2015, notamment pour réduire les délais de développement des produits, et proposer des produits personnalisés ou en petite série.Deux visions s'opposent dans cette enquête : les Européens considèrent majoritairement l'impression 3D comme un domaine réservé à des spécialistes, tandis que les Américains pensent que cette technologie peut être utilisée pout tout et est accessible à tous dans l'entreprise. 21/10/2015 4 axes de travail pour un écosystème numérique transfrontalier Une note d'analyse de France Stratégie décrit 4 axes de travail prioritaires pour la mise en place ...
Lire la suite. Impression 3D dans l'alimentation. L'impression 3D, mise au point dans les années 1990, se développe depuis 3 ans et ouvre de nombreuses perspectives.
Le potentiel de cette technologie, pour le secteur de l'alimentaire, réside notamment dans les possibilités de personnalisation de la nourriture, que ce soit pour la nutrition spécialisée, pour proposer une alimentation savoureuse et facile à avaler, ou pour créer des formes et décorations personnalisées.Pour les artisans des métiers de bouche, l'impression 3D constitue un important levier de développement, en leur permettant de proposer de nouveaux produits, de nouvelles formes et de nouveaux services.
Source(s) :Impression 3D : futur de l'alimentation / CRMA Limousin .- in : Site Enchanteurs de goût, 01/07/2015, 5p., (Dossiers techniques) - En ligne sur le site des Enchanteurs de Goût, le site de l'artisanat des métiers de bouche en Limousin. 3D food printing seen as future challenge. The novel form of food production joined insects as food, climate change and big data tools on a list given by the FSA’s head emerging risks Terry Donohoe at a conference in London yesterday (September 14).
Donohoe worried about consumers starting to use 3D printers, which he described as highly complex pieces of equipment that could take in substrates, or ingredients, and “squash out” food. “There’s huge opportunity in that. But given that we can’t get people to cook chicken in a safe manner…there are some risks there,” he said. ‘Individual, personalised nutrition’ Impression 3D et agroalimentaire : un potentiel réel pour l’innovation au service de la nutrition et de l’alimentation personnalisée. Notre directeur, Christophe Breuillet, nous présentait dans cet article sa vision sur le potentiel de l’impression 3D comme outil au service du rapprochement entre producteurs et consommateurs grâce au rôle à jouer par l’industrie agroalimentaire.
Une vision prospective qui s’intéresse aux enjeux entre impression 3D et produits alimentaires. Car au-delà des applications en architecture, ameublement, technologie, la technique de l’impression 3D mérite en effet d’être également explorée par l’industrie agroalimentaire. Bien plus qu’une utilisation anecdotique, il s’agit d’un potentiel réel d’applications « sérieuses ». C’était d’ailleurs la thématique d’un Vitagora Café, où un expert de la question, Philippe HEINRICH, Consultant en nouvelles technologies, systèmes d’information et Innovation nous livrait des clés de réponses. Des applications « process » et « développement de produits » La machine à fabriquer des repas en 30 secondes. Les amateurs de Star Trek se souviennent du Replicator, cette machine capable de fabriquer des repas automatiquement dans la navette des conquérants de l’espace.
Ce rêve est désormais devenu réalité. Une startup israélienne annonce la sortie de The Genie. Comme les machines à expresso désormais devenues communes, The Genie accueille des capsules contenant des ingrédients naturels lyophilisés. Vous avez envie d’un couscous pour midi ? Pas de problème. Cette innovation est produite pas White iInnovation ; elle a nécessité plusieurs années de mise au point et le lancement sur le marché s’avère prometteur. L’impression 3D, futur de l’alimentation. L’impression 3D, futur de l’alimentation ?
Plusieurs entreprises se lancent dans le développement d’imprimantes 3D spécialisées dans la production alimentaire. Miguel Valenzuela, passionné du « Maker movement », vient de lancer Pancakebot, une imprimante à pancake qui utilise un logiciel intégré et rend possible la modélisation d’une forme particulière au moment où la pâte est déversée. Ce projet est tout sauf fantaisiste et il est actuellement sur la plate-forme de financement participatif Kickstarter, où il a largement dépassé son objectif de 50.000 dollars pour atteindre plus de 300.000 dollars, une semaine avant la fin de la campagne. 3D printed food for the elderly may hit shelves in 2016. The 'Smoothfood’ concept was introduced by German company Biozoon in 2010, aimed at producing food for the elderly in nursing and care homes who have mastication and swallowing problems.
Taking with FoodNavigator, Matthias Kuck, CEO of Biozoon, said: “We are a food company specialising in texturising food. We take fresh food items and transform them into different textures. Foodini, l'imprimante 3D alimentaire de la Nasa se pose dans vos cuisines. Belgique - Première conférence internationale sur le thème du 3D Food Printing. La 6e édition de 3D Stereo MEDIA (Liège, 9-11 décembre 2014) a été l'occasion de présenter la première conférence internationale sur le thème du 3D Food Printing, rencontre professionnelle organisée à l'initiative des équipes de Gembloux Agro-Bio Tech (Université de Liège).
Imprimer soi-même, où l'on veut, quand on veut, ses propres aliments n'est plus une utopie. ‘Snack to the future!’ 3D printing concept promises ‘fully edible ecosystem’, including the soil… Freelance food and concept designer Chloé Rutzerveld recently graduated from Eindhoven University of Technology with a degree in Industrial Design, and has made headlines around the world in recent months, for her 2014 3D food printing project Edible Growth. Using this technology she has created the concept for a snack product comprising multiple layers – with an outer shell of dough or pasta and spores, seeds, yeast and ‘edible soil’ on the inside. ‘Future food concept’ seeks to inspire scientists, designers, cooks. Discov3ry : Un kit pour imprimante 3D destiné aux pâtissiers. L'impression 3D vue au prisme des dépots de brevets.
Objet d'innovations tous azimuts, la fabrication additive séduit de plus en plus d'industriels dans tous les pays. L'analyse des brevets déposés autour de cette technologie témoigne de son dynamisme, et permet de positionner les différents acteurs les uns par rapport aux autres. Une analyse de Jean-Charles Hourcade, directeur général de la structure d'appui aux entreprises dans leur stratégie de valorisation de leur R&D, France Brevets.
"L'analyse des dépôts de brevets montre que les acteurs américains sont au cœur de l’innovation sur les différentes technologies de l’impression 3D. Entre 1993 et 2011, ils représentent plus de 70% des dépôts de brevets. Les sociétés américaines détiennent en effet le leadership sur le marché avec deux grands acteurs, Stratasys et 3D Systems. Stratasys et 3D Systems s’efforcent de conserver leur leadership sur le marché avec une stratégie d’acquisition de nouveaux acteurs innovants. Jean-Charles Hourcade, directeur général, France Brevets. Des pancakes imprimés en 3D débarquent sur Kickstarter.