Mieux gérer la voiture dans la ville intelligente. 01net le 17/10/14 à 18h28 La moitié des dirigeants d’entreprise considèrent que la smart city est au cœur de leur stratégie, mais qu’elle est encore peu associée à des revenus selon l’enquête "Smart Cities : de la vision à l’exécution" publiée cette année par EY en partenariat avec Cap Digital. De fait, la ville intelligente concerne de multiples domaines et secteurs d’activités touchant à la mobilité, à l’environnement, au logement et à l’énergie. « C’est une cité qui exploite au mieux les capacités données par les TIC pour améliorer le confort des citoyens, réduire l’utilisation globale des ressources et s’inscrire dans une démarche durable du point de vue démographique et des besoins en énergie », définit Samuel Loyson, directeur marketing "Connected cars" chez Orange Business Services.
Mieux gérer les places de parking dans les villes L’un des enjeux principaux des villes est de fluidifier la circulation automobile. Autopartage : "Une voiture passe plus de 90 % de sa vie à l’arrêt" Tiers Lieux et fabrique des villes contemporaines. Les technologies numériques participent de manière croissante à la fabrique et au fonctionnement des villes (mobilité, sécurité, urbanisme, environnement, sociabilité, culture, loisirs). Un axe de recherche à explorer. L’intégration des innovations techniques dans la fabrique des villes est un phénomène ancien.
Sans remonter à l’époque Antique et à l’origine des villes, évoquons les projets urbains des architectes-urbanistes du début du 20ème siècle. La Ville Contemporaine de Le Corbusier (1922), Broadacre City de Frank Lloyd Wright (1931), Manhattan 1950 de Raymond Hood (1929) ou encore la Cité Idéale de Tony Garnier, mettent en scène de manière systématique les dernières avancées technologiques : intégration des nouveaux matériaux de construction (acier, béton armé), immenses gratte-ciel monolithiques, obsession du transport rapide (ascenseur, train métropolitain, automobiles), perspectives aériennes.
La période actuelle s’inscrit pleinement dans cette perspective. La FabLab House :
Réinventer la démocratie grâce à la ville intelligente | La sphère. Société Réinventer la démocratie grâce à la ville intelligente Le samedi 23 janvier 2016 Une ville intelligente, ce n'est pas seulement une ville connectée et remplie d'écrans ; c'est surtout une ville qui utilise le numérique pour renouveler sa démocratie et mettre en place des mécanismes de concertation ou de mise en commun. C'est ce que pense notre invité Armel Le Coz, qui a fondé en France deux organismes se dédiant à ces questions. . « Nous pouvons changer les choses collectivement, dit-il, sans forcément attendre des instances politiques et des institutions. » Le collectif Démocratie ouverte et la plateforme Parlement&Citoyens sont des outils de plus en plus utilisés par les Français et se veulent des ébauches de solution citoyenne aux grands problèmes de notre époque et de nos sociétés.
Créer un compte. Who owns our cities – and why this urban takeover should concern us all | Cities. Does the massive foreign and national corporate buying of urban buildings and land that took off after the 2008 crisis signal an emergent new phase in major cities? From mid-2013 to mid-2014, corporate buying of existing properties exceeded $600bn (£395bn) in the top 100 recipient cities, and $1trillion a year later – and this figure includes only major acquisitions (eg. a minimum of $5m in the case of New York City). I want to examine the details of this large corporate investment surge, and why it matters. Cities are the spaces where those without power get to make a history and a culture, thereby making their powerlessness complex.
If the current large-scale buying continues, we will lose this type of making that has given our cities their cosmopolitanism. Indeed, at the current scale of acquisitions, we are seeing a systemic transformation in the pattern of land ownership in cities: one that alters the historic meaning of the city. A new phase • The extent of new construction. Interactions dans un groupe d’apprenants. Plusieurs stratégies peuvent animer un groupe d’apprenants et caractériser les interactions qui se vivent entre les différents participants. 4 organisations différentes sont présentées et caractérisées ici : collaboration, confrontation, compagnonnage et compétition. Après avoir étudié l’intérêt de chacune, on verra la pertinence de les associer. 1 – La collaboration La collaboration est pertinente dans le cadre d’une pédagogie par projets ou par problème, à condition que la tâche ne soit pas réalisable seul. Dans ce contexte, il ne suffit pas de dire aux apprenants « vous allez collaborer, débrouillez-vous !
De telles situations d’apprentissage permettent de travailler spécifiquement des compétences directement utilisables en contexte professionnel (communication, collaboration, écoute, …). L’outil du web qui correspond le mieux à cette organisation est historiquement le wiki, mais des outils plus récents de collaborations comme ceux proposés par framasoft (framapad, framindmap, etc…) La ville: ouverte et/ou intelligente. « Smart city » et « open data » : les deux approches ont en commun de mettre la donnée au coeur du fonctionnement de la ville intelligente. Mais au-delà des questions liées à la production des données, les conditions de son partage font débat. Doit-on les ouvrir à tous, en s’appuyant sur une possible intelligence des foules ou au contraire en faire un objet de pilotage centralisé des activités urbaines, quitte à en réserver l’accès à quelques opérateurs urbains ?
Illustré d’exemples français (Rennes Métropole, Grand Lyon) et internationaux (Singapour), ce billet se propose d’éclairer les évolutions en cours et les combats d’acteurs qui s’annoncent autour de ce « nouveau pétrole » que constitue la donnée urbaine… La version originale de cet article a été publiée dans le numéro 25 de la revue urbaine Place Publique Rennes. 1 – La donnée, carburant des services urbains La donnée (data) est au coeur du fonctionnement des villes et des territoires. A quoi ressemble la « smart city » ? J'aime : 4 scénarios pour la Ville Numérique de demain. En juin dernier, Google annonçait la création de Sidewalk Labs, une “entreprise d’innovation urbaine dédiée à l’amélioration de la vie en ville des résidents, actifs et municipalités ». Sidewalk propose de créer des services « à l’intersection des mondes physiques et numériques ».
Par exemple, reconvertir des anciennes cabines téléphoniques à New York pour créer plus de 10 000 hotspots, accès publics gratuits au WiFi. Allons-nous un jour voir nos bons vieux services publics remplacés par des solutions designed in Mountain View (ou Cupertino, ou Seattle) ? Difficile à croire : toutes les villes ne sont pas comme New York rompues aux partenariats publics-privés de grande ampleur. Qui dit ville dit domaine public, action publique, commande publique,… Pourtant, quasiment tous les élu(e)s affirment compter sur le numérique pour améliorer et valoriser leur territoire. Ils sont de plus en plus nombreux à soutenir les startups. Toute ressemblance avec des villes existantes est purement fortuite.
La Ville Intelligente. La ville numérique est un dossier transversal qui emprunte à la fois au numérique, à l’Internet, à la communication, etc. C’est une utopie, la technologie devançant encore une fois le sociétal. 1- Intelligent = smart 2- La ville intelligente 3- Les nouveaux espaces de connectivité 4- La citoyenneté numérique 5- La communication narrowcasting 6- La prise de parole 7- Les outils d’animation participative 8- La démocratie participative 1- Intelligent = smart L’adjectif français intelligent se traduit, plus ou moins, par smart en anglais. Smart veut dire que le système offre un meilleur résultat lors du traitement des informations et l’accès à la connaissance est plus approfondi qu’avec les applications précédentes. Le concept de ville intelligente nait de la rencontre de trois facteurs récents : • la rapide montée des villes en importance stratégique partout dans le monde ; • les prises de parole citoyennes de plus en plus nombreuses ; 2- La ville intelligente Les caractéristiques d’une ville smart.
4 scénarios pour la Ville Numérique de demain. Quelles villes en 2030 ? - Infographie - ENGIE. Vous avez accepté l'utilisation des cookies. Vous pouvez à tout moment désactiver l'utilisation des cookies en cliquant sur le bouton "Désactiver" Vous avez refusé l'utilisation des cookies. Vous pouvez à tout moment activer l'utilisation des cookies en cliquant sur le bouton "Activer" En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies « tiers » ou technologies similaires destinés à vous proposer des services et contenus personnalisés, réaliser des statistiques de visite ainsi que pour vous permettre de partager des contenus sur des réseaux sociaux.
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Ce phénomène n’est pas nouveau : Hérodote raconte déjà la manière dont les Egyptiens pensaient leur urbanisation et les commentaires grecs sur leur retard. César dans la Guerre des Gaules ne fait pas d’autres remarques sur l’urbanisation romaine dans les territoires conquis. On retrouve également ces considérations dans les notes de l’intendant Tourny, le grand urbaniste de Bordeaux.
Plus proche de nous, au XIXe siècle, les utopies prolifèrent : la pensée d’une ville renouvelée, modernisée est portée par Charles Fourier et son phalanstère, par Robert Owen ou encore Etienne Cabet et son Voyage en Icarie. Elles le peuvent parce que les circonstances ont changé : les élections locales ont vu la victoire de nouveaux élus, dont les prérogatives seront renforcées par la loi sur la nouvelle organisation territoriale de la République.