La tolérance aux herbicides. Les mauvaises herbes peuvent réduire fortement le rendement des cultures en détournant à leur profit les éléments nutritifs, l’eau et la lumière - indispensables à la croissance des plantes.
Pour limiter leur prolifération, l'application d'herbicides s'avère généralement nécessaire. Herbicide, explications Pour lutter contre les adventices (mauvaises herbes) et garantir rendements et qualité des récoltes, il existe deux types d'herbicides : les sélectifs qui affectent des processus différents selon les espèces et/ou ont une localisation précise de leur application. Ce qui signifie qu'ils sont toxiques pour certaines espèces sans en affecter d'autres ;les totaux ou non sélectifs, tels que le glyphosate et le glufosinate qui affectent sans distinction toutes les espèces de plantes - cultures ou mauvaises herbes. Herbicides, usages Les herbicides appliqués aux cultures conventionnelles sont des herbicides de synthèse. Herbicides, ces plantes tolérantes. Le rein : anatomie et fonctionnement. Ce traAM, travail académique mutualisé, se présente sous la forme de 2 activités utilisant le numérique ; Étude anatomique du système urinaire et du néphron : travail s’appuyant sur des vidéo et une image active Constitution de l’urine et travail du rein : travail mettant en œuvre le tableur, la recherche sur internet, l’étude de vidéo et la réalisation d’une image active Ces activités ont été conçues pour des élèves de première dans le cadre du CBSV.
L’activité propose l’utilisation d’Image Active, logiciel développé par l’académie de Versailles, permettant d’animer des images par des commentaires adaptés. Par sa simplicité d’utilisation, il peut être utilisé aussi bien par l’enseignant lors de présentation de cours que par les élèves pour des restitutions ou autres. Compétences B2i développées : • Domaine1 : s’approprier un espace numérique de travail. • Domaine 3 : produire, traiter, exploiter et diffuser des documents numériques • Domaine 4 : organiser la recherche d’informations.
Biotechnologie médicale : vers une médecine personnalisée. La médecine personnalisée se fait peu à peu une place dans le secteur des biotechnologies.
Elle permet un meilleur ciblage de la maladie et un accompagnement plus efficace du patient grâce au recueil et à l'analyse des données. Bientôt, elle pourrait notamment jouer un rôle majeur dans la lutte contre le cancer. Le docteur Jean-Pierre Armand est consultant en oncologie à l'Institut Gustave Roussy. Ancien directeur général de l'Institut Claudius Regaud, il a présidé l'European Society for Medical Oncology. Jacques Biot est président exécutif de l'École polytechnique. Chaque maladie et chaque cas sont-ils uniques ? Jacques Biot : Chaque maladie n'est pas unique, mais chaque malade est unique. Jean-Pierre Armand : Oui. Sur quels outils la médecine personnalisée s’appuie-t-elle ? Clonage et caractérisation de deux gènes codant des enzymes lipolytiques de la microalgue Isochrysis galbana. Abstract : Lipolytic enzymes present in all known species play a key role in lipid metabolism and are involved in several industrial processes.
They catalyse lipid hydrolysis and synthesis. Actually and particularly in microalgae, isolation and characterization of this type of enzyme remains an unexplored research area.The potential of the lipidic content of microalgae in food industry or energy field requires specific lipolytic enzymes. Docosahexaenoic acid (DHA), an 3 poly insaturated fatty acid (3 PUFA) is well known for its beneficial effects on human health. Among many species, Isochrysis galbana, a unicellular marine microalga belonging to the Prymnesiophyceae class, is considered as a potential alternative source of DHA.Lipid analysis of I. galbana shows free fatty acids and suggests the presence of lipolytic enzymes with potential interesting selectivities and substrate specificities. Biotechnologie : la main bionique dernière génération. La réalité rejoint la fiction (lire l’article sur le buzz Sarif Industries).
En 2010, Patrick, un jeune autrichien de 24 ans, a été le premier patient au monde à choisir l’amputation de la main, après avoir perdu son usage dans un accident, pour un remplacement par une prothèse bionique pilotée par son cerveau. Comme le montre la vidéo ci-dessous, les avancées technologiques en la matière sont assez impressionnantes. Avec sa main bionique, il a maintenant la possibilité de réaliser des tâches impossibles jusqu’alors : déboucher une bouteille et se servir un verre d’eau, faire ses lacets ou encore saisir de petits objets.
Patrick est en train de tester une nouvelle main avec plus de capteurs qui lui permettra d’avoir une plus grande latitude de mouvements. Cette main se montre très agile, précise et ses mouvements sont rapides. Pour fonctionner les capteurs de cette main bionique sont directement montés sur les nerfs du bras. Reportage de la BBC sur les mains bioniques.